vendredi 27 novembre 2009

Biologie moléculaire et chromosomique

Complémentaire de la paléontologie, de l'anthropologie et de la paléo-anthropologie, la biologie moléculaire et chromosomique étudie les composants biochimiques (structure des protéïnes en particulier) des cellules des animaux actuels et compare les chromosomes entre eux. Les différences ou les ressemblances permettent d'envisager des parentés.

Les protéïnes sont des associations en chaîne, dans un ordre déterminé, de briques élémentaires, les acides aminés. Au sein d'un même groupe, les chaînes sont assez constantes, mais elles varient entre les groupes d'animaux. Ces différences sont recensées pour isoler les divers groupes.

Actuellement, les données biochimiques (hémoglobine b, par exemple), immunologiques ou chromosomiques sont relativement cohérentes. Les comparaisons permettent d'évaluer les parentés mais non l'ancienneté, et la paléontologie garde là un rôle essentiel et irremplaçable.

J. Lowenstein a récemment proposé les premiers résultats d'une étude immunologique mettant en évidence les réactions protéïniques entre espèces fossiles et actuelles. A partir de fragments osseux de représentants du groupe Ramapithèque-Sivapithèque, les résultats obtenus montrent une affinité avec les orangs-outans, les gorilles et les gibbons (singes d'Indo-Malaisie). Ces résultats préliminaires sembleraient confirmer ceux de la paléontologie.

Ainsi, comme nous venons de le voir, la biochimie étudie l'essence même de la vie; elle pénètre à l'intérieur même de la matière, au coeur de la cellule vivante. De nos jours, nul n'est donc aussi qualifié que le savant biochimiste pour nous dire si une forme d'organisme vivant pourrait se transformer en une autre forme.

Les nouvelles découvertes en biologie moléculaire (et chromosomique) ont considérablement modifié nos idées sur bien des questions et en particulier sur celle qui nous intéresse, c'est-à-dire l'évolution... Ces résultats et ceux obtenus en génétique, ont montré que ce que prétend l'évolutionisme, à savoir que les mutations se trouvent renforcées par la sélection naturelle est tout simplement erroné.

La sélection naturelle ne fait qu'éliminer les nouveautés entrainées par les mutations. Elle a un effet stabilisateur sur la vie. Pourtant, on pourrait penser que les fossiles et les dinosaures montrent que les animaux et les plantes étaient différents autrefois, et qu'ils ont changés !

Mais ce n'est pas vrai. C'est une erreur de croire que si les êtres vivants étaient différents autrefois, comparés à ceux d'aujourd'hui, ces derniers seraient dérivés de ceux qui ont disparus. En fait, ils se sont tout simplement éteints. Les anciens organismes n'ont pas donné naissance à de nouveaux êtres en disparaissant. Sur ce point, tous les biologistes sont d'accord. Nul ne soutient que les mamifères dérivent des dinosaures : ce n'est pas possible.

C'est ridicule, impossible, qu'un organisme primitif ait pu évoluer jusqu'à l'homme, biologiquement parlant. Rien ne permet à un organisme de se transformer en homme. Mais ce qui est encore plus important, c'est que ce qui nous apparaît comme un organisme simple, est une réalité biologique très complexe. Même les bactéries possèdent une structure biologique et biochimique à ce point complexe qu'elles ne peuvent dériver de forme plus simple.

Cela signifie que dès les origines, tout ce qui est vivant a été complexe. Par exemple, l'étude entreprise du noyau de la cellule montre que le système responsable de la production des enzymes sans lequel la synthèse des protéïnes ne peut se faire est identique depuis la bactérie jusqu'à l'homme. Puisque les mêmes types de créatures existent aujourd'hui comme dans le passé, il est clair que le même mécanisme de la vie a existé depuis l'origine. C'est une preuve irréfutable pour le biophysicien que l'évolution biochimique n'a jamais eu lieu. Au sujet des cellules, voici ce que l'on peut lire dans l'ouvrage La nouvelle biologie, à la page 30:
"La moindre cellule est le théâtre de centaines de réactions chimiques chaque seconde, et elle est capable de se diviser toutes les vingt minutes environ. Pourtant tout cela se produit à une échelle microscopique, plus de 500 bactéries pouvant tenir dans le point de cette phrase. Le biologiste François Jacob est en admiration devant le minuscule laboratoire qu'est la bactérie, elle qui exécute près de 2 000 réactions distinctes avec une précision incomparable et dans le plus petit espace qu'on puisse imaginer. Ces 2 000 réactions qui s'effectuent à toute vitesse, sont divergentes ou convergentes, mais jamais elles n'interfèrent."

Dans son livre Evolution: Une théorie en crise, Michael Danton, spécialiste en biologie moléculaire, écrit :
"La biologie moléculaire a montré que même les plus simples des systèmes vivants, les cellules bactériennes, sont d'une extrême complexité. Malgré sa taille incroyablement minuscule, son poids inférieur à un milliardième de gramme, la plus petite des bactéries est en effet une véritable usine miniature dotée d'une puissante machinerie moléculaire, riche de milliers de pièces magnifiquement conçues; ce système, composé d'une centaine de milliard d'atomes, est beaucoup plus complexe que n'importe quelle machine fabriquée par l'homme et absolument sans équivalent."
"La biologie moléculaire a également montré que la conception fondamentale du système cellulaire est essentiellement la même chez tous les êtres vivants, des bactéries aux mamifères. Dans tous les organismes, les rôles de l'ADN, de l'ARNm et des protéïnes sont identiques. Le sens du code génétique ne varie guère d'une cellule à l'autre. La taille, la structure et le modèle constitutif de la machinerie de synthèse des protéïnes est pratiquement invariant quelque soit la cellule. Sur le plan biochimique, aucun système vivant ne peut donc être considéré comme primitif ou ancestral par rapport à un autre. Il n'y a pas non plus le moindre indice empirique d'une séquence évolutive parmi l'incroyable diversité des cellules de la Terre."

Ce que nous pouvons dire en observant les chromosomes ou l'ADN de l'homme et en les comparant à ceux des autres espèces, c'est que l'homme est un être original : il ne dérive d'aucune autre espèce, comme nous le dit la Parole de Dieu, non seulement pour l’homme, mais pour toutes les créatures vivantes !

EMC

mercredi 28 octobre 2009

L'être humain, une création spéciale !


Les hommes sont la création toute particulière de Dieu

Des choses particulières TE concernant !

• Ton cœur actionne automatiquement sa pompe environ 72 fois à la minute ou 40 000 000 fois par an.

• Tu as 12 000 km de vaisseaux sanguins.
• Dans une vie normale, ton cœur pompera environ 450 000 tonnes de sang.
• Il y a près de 1 000 000 d’anti-corps différents qui combattent des virus dans ton corps.

• Même si ton oeil n’est pas plus grand qu’une balle de ping-pong, il a des millions de minuscules connections électriques et peut gérer 1 500 000 messages au même moment !

• La rétine dans le fond de ton oeil possède 137 000 000 de cellules spéciales.
• Ton cerveau est un ordinateur incorporé disposant de 30 000 000 000 de cellules.
• Les messages que ton cerveau diffuse dans les différentes parties de ton corps circulent
à 480 km heure.

• Ton corps – en ne comptant pas ton cerveau – dénombre au moins 26 000 000 000 de cellules.
Chacune d’elles est composée de nombreuses parties différentes et s’agence selon un ordre, une interdépendance et un objectif précis.

• Ton corps montre qu’une personne intelligente, toute-puissante et dotée d’une sagesse
infinie l’a créé.

Tu as été conçu d’une façon merveilleuse.

Pourquoi ceci est-il important pour TOI ?
• Tu n’es pas un animal parmi les autres. Tu es fait à l’image de Dieu. Tu es créé pour être comme Lui !

• Tu peux penser, choisir, faire des choses nouvelles, parler, raisonner, pleurer, rire et aimer.
Mais surtout, tu as une âme qui peut vivre pour toujours avec Dieu.
• Tu as été mis à part des animaux parce que tu as été créé à l’image de Dieu.

• Si tu ne crois pas aux deux premiers chapitres de la Bible, tu ne peux pas non plus croire le reste.
Il est impossible de fonder sa vie sur le reste de la Parole de Dieu et de mettre de côté des versets que l’on n’arrive pas à expliquer !

• Tu es créé par Dieu, alors tu as des comptes à lui rendre. Parce que tu as brisé sa loi, tu es séparé de lui et tu mérites une punition.

Mais il t’aime, c’est pourquoi il existe un moyen pour toi d’être pardonné et de devenir son enfant.

Si tu crois en Jésus et si tu l’acceptes comme ton Sauveur, comme Celui qui te délivre du péché, alors tu seras sauvé.

• Lorsque tu es relié au Créateur en devenant un enfant de Dieu, ta vie a un sens et une espérance.
Sans relation avec Dieu, la vie n’a pas de sens, de but ni d’espérance.

samedi 12 septembre 2009

Evidence de la création

A votre avis, quel est l’argument scientifique qui parle le plus en faveur du créationnisme et qui, par conséquent, s’oppose le plus à la théorie évolutionniste?

La vie apparaît sous des formes variées et plus ou moins complexes. Mais même la cellule la plus simple est d’une constitution si compliquée et d’une finalité telle qu’elle dépasse tout ce que l’esprit humain a pu inventer.
Pour expliquer l’origine de la vie, deux thèses opposées sont en présence: l’évolutionnisme et le créationnisme. La première donne de la vie la définition suivante :

«La vie est un événement purement matériel, qui peut donc se décrire en termes physico-chimiques; elle se différencie de la matière inerte uniquement par sa complexité.»
Depuis Darwin, la théorie évolutionniste a été battue en brèche par des spécialistes de différentes branches de la science (informatique, biologie, astronomie, paléontologie, géologie, médecine).

A la base de la controverse création - évolution il y aura toujours une opposition irréductible, liée au fait que les deux thèses proposent un modèle de référence radicalement différent. On pourrait sortir de cette impasse au moyen d’un système reposant exclusivement sur des expériences scientifiques. Mais il faudrait alors que ces expériences ne prêtent flanc à aucune critique, car le seul fait de réaliser une contre-expérience solidement prouvée ou d’apporter des démentis bien étayés suffirait à discréditer la théorie scientifique en question. Si aucune expérience contraire ne vient s’opposer à la théorie, celle-ci gagne en certitude et pourra valablement interpréter des faits encore inexplicables. Ainsi, on peut s’appuyer sur toutes les expériences qui prouvent que l’énergie est indépendante du système de référence considéré.

C’est ce qui a rendu possible le vol sur la lune - jamais entrepris auparavant - car les techniciens étaient certains de l’absolue validité de cette loi dans n’importe quelles conditions. Les affirmations relatives à l’échange d’informations sont d’une fiabilité comparable. Nous disposons donc d’un argument extrêmement solide sur le plan des lois naturelles. La matière et l’énergie sont certes des grandeurs fondamentales nécessaires aux organismes vivants, mais elles ne différencient pas les organismes vivants de la matière inanimée. Ce qui caractérise formellement tout organisme vivant, c’est l’«information» qu’il contient et qui lui est indispensable pour le déroulement de sa vie.

C’est l’information qui régule toutes ses fonctions vitales, c’est l’information génétique qui préside au processus de multiplication. La transmission des informations joue un rôle considérable dans tout ce qui vit. Ainsi, lorsque des insectes transportent le pollen d’une fleur à une autre, c’est avant tout le transfert d’une information de nature génétique. La matière qui sert de support à cette information n’a que peu d’importance. L’information ne décrit pas encore la vie dans sa totalité et sa complexité, mais elle en constitue un élément essentiel.

C’est sans aucun doute l’homme qui possède le système de traitement d’information le plus sophistiqué. Si on totalise toutes les informations conscientes (parole, mouvement volontaire des membres, etc.) et inconscientes (système neurovégétatif, système hormonal), on arrive à un chiffre d’environ 10 puissance 24 bits par jour!
Ce chiffre astronomique qui exprime la quantité d’informations traitées journellement par l’homme est un million de fois plus élevé que la somme de toutes les connaissances consignées dans toutes les bibliothèques du monde, évaluées à 10 puissance 18 bits.

Si l’on examine la question de l’origine de la vie en s’appuyant sur la théorie de l’information, il faut considérer, comme dans tout système qui transmet ou traite l’information, les théorèmes suivants:

1. Il n’existe aucune information sans code.
2. Il n’existe pas de code sans accord réciproque libre.
3. Il n’existe pas d’information sans émetteur.
4. Il n’existe pas de chaîne d’informations qui n’ait pas à son origine un créateur spirituel.
5. Il n’existe pas d’information sans une source spirituelle préalable; autrement dit, dans son essence, l’information est une grandeur spirituelle et non matérielle.
6. Il n’existe pas d’information sans une volonté qui lui donne naissance.

7. Il n’existe pas d’information sans les cinq niveaux successifs suivants: Statistique (fréquence de l’information et de son transfert) Syntaxique (aspect du code et de la manière dont l’information est composée) Sémantique (étude de la signification) Pragmatique (manipulation de l’information) Critique (analyse du résultat et de l’objectif final).

8. Il n’existe aucune information qui soit le fait du hasard.

Ainsi, en opposition à l’évolutionnisme, on peut définir la vie comme suit: La vie se compose d’un support matériel (aspect physico-chimique) et d’une partie immatérielle (l’information venant d’une source spirituelle). Cette formule brève montre que la vie possède une composante immatérielle à côté de sa composante matérielle. La partie immatérielle comprend l’information venant d’une source spirituelle. Mais cela ne suffit pas pour décrire la partie immatérielle de la vie. Peu après la mort, les cellules du corps contiennent encore l’information génétique, mais il manque cependant ce qui fait toute la différence entre la vie et la mort. Cette différence est visible pour tous, même si elle est insaisissable scientifiquement. Jusqu’à présent, aucune des conceptions propagées, relatives à la naissance autonome de l’information dans la matière, n’a pu être démontrée par l’expérience.

On se demande alors pourquoi M. Eigen croit toujours pouvoir démontrer un jour l’origine matérielle de l’information: «Nous devons chercher un algorithme, une directive naturelle pour expliquer l’origine de l’information». Ses paroles: «L’information provient de la non-information» (p. 55), contredisent toutes les expériences et n’ont donc aucun lien avec la réalité. Par contre, les huit propositions indiquées ci-dessus ont été maintes fois confirmées par l’expérience et n’ont jamais été prises en défaut dans aucun laboratoire du monde.
Il est donc légitime de se poser la question suivante: «La vie ne procéderait-elle pas d’une intention créatrice délibérée?»
C’est cette intention que révèle la Bible. La source spirituelle de toute information - et par conséquent la source de l’information biologique -, nécessaire à la science informatique, apparaît dès les premiers mots de la Bible: «Au commencement, Dieu créa ...» (Gn 1:1).

La théorie évolutionniste prétend, quant à elle, que l’information présente dans l’organisme vivant n’a pas besoin d’émetteur. Cette affirmation est démentie tous les jours par l’informatique. C’est pourquoi cette science fournit aujourd’hui les arguments les plus solides en faveur d’une création des êtres vivants.

Werner Gitt

jeudi 6 août 2009

Les dinosaures

Le mot “dinosaure” vient du grec et signifie : « affreux (ou terrible) lézard ». Il a été inventé en 1841, c’est pourquoi il n’est pas dans la Bible.

Cependant on y trouve des mots hébreux décrivant des animaux aujourd’hui disparus, mais qui ont été vus par les gens de l’époque, ainsi que par les générations qui nous ont précédées. Ils y a également de nombreux témoignages dans le monde : Les fossiles, les empreintes ainsi que les figurines, peintures et gravures antiques.
Squelette dans un musée.

Empreintes de dinosaures croisant des empreintes d'homme (Rivière Paluxy, USA).

Figurine en terre cuite du Mexique (Acambaro), entre 800 ans avant Jésus Christ et 200 ans après.

Scène de chasse (Dessin aborigène d'Australie.).

Combat de dinosaures (Grotte de Bernifal, Dordogne, France).

Genèse 1 v 20 : Création des grands animaux aquatiques (parfois traduit par monstres marins). Ils étaient parfaits et végétariens, comme les autres animaux, et vivaient en harmonie avec l’ensemble de la création. Le régime carnivore est une conséquence de la chute.

Job 40 v 10 dans certaines versions ( ou 15 ) à 24 : Description détaillé du béhemot, énorme animal semi-aquatique et herbivore, connu des gens de l’époque, mais disparu aujourd’hui. Louis Segond a traduit faussement « hippopotame » (et d’autres : Eléphant), ce qui est impossible car le béhémot avait la queue comme un cèdre, verset 17.
Job 40 v 20 dans certaines versions (ou 25 ) à chapitre 41 v 26 + psaume 104 v 26 : Le Léviathan qui était un animal connu et redouté était appelé « Le roi des plus fiers animaux ». Il est beau, contrairement aux représentations que l’on voit dans les livres ainsi que dans les films, et il a des dents pointues et des écailles. Il est devenu par la suite un symbole de Satan (Esaie 27 v 1). Louis Segond a traduit faussement « crocodile », ce qui est impossible car le Léviathan crache des étincelles et de la fumée, verset 11 à 13.

Il se pourrait que le Leviathan soit à l'origine des légendes sur les dragons.

Psaume 74 v 13-14 : Ce texte parle du Tannin (monstres ), un autre animal inconnu, vivant dans la mer, et Léviathan.
Psaume 89 v 10-11 + Esaie 51 v 9 : Rahab (parfois traduit par Egypte ) et Tannin ( Dragon ou monstre ).
Esaie 27 v 1 : Léviathan et Tannin (Dragon ).
Ezechiel 29 v 3 : Tannim ( Dragon ).

pierre.danis@wanadoo.fr
Au commencement


mardi 30 juin 2009

Blague


Une petite fille demande un jour à sa mère : "Maman, comment l'humanité est-elle apparue ?"

La maman répond : "Dieu fit Adam et Ève et ils eurent des enfants. C'est ainsi que l'humanité est apparue."

Deux jours plus tard, la petite fille pose à son père la même question. Le papa répond : 'Il y a très longtemps existaient les singes. Au fil des années ils se transformèrent pour devenir des hommes. C’est ainsi qu’est apparue la race humaine."

Confuse, la petite fille retourne voir sa mère et lui demande : "Maman comment se fait-il que tu m'aies dit que l'humanité a été créée par Dieu et que papa m'affirme qu'elle vient du singe ?"

"Chérie, répondit la maman, c'est que moi je t'ai parlé de l'origine de ma famille et ton père de la sienne !"




vendredi 15 mai 2009

une grotte unique au monde !

La grotte Cosquer


Henri Cosquer, scaphandrier professionnel, découvrit l'entrée de la grotte en 1985.
Cette grotte unique au monde se trouve entre Marseille et Cassis, dans le sud de la France.
Lors de l’ère glaciaire (voir l’article sur ce sujet), une grande quantité d'eau était mobilisée sous forme de calottes glaciaires et le niveau de la mer était de cent dix à cent vingt mètres plus bas qu'aujourd'hui.

Le rivage de la Méditerranée se situait alors à plusieurs kilomètres de l'emplacement de la grotte. Lorsque le niveau de la mer s'est élevé progressivement, l'entrée de la grotte a été submergée.

La grotte n'est aujourd'hui accessible que par un tunnel long de 175 mètres, dont l'entrée se trouve à 37 mètres au-dessous du niveau actuel de la mer.

Cette grotte abrite plusieurs dizaines d'œuvres peintes et gravées :
* La grotte compte 65 mains négatives, noires (44) ou rouges (21), réalisées par la technique du pochoir.

* Des peintures et des gravures figuratives essentiellement animales. Les chevaux sont les animaux les plus représentés (63),

suivis des bouquetins (28), des cervidés (17), des bisons (10)

et des aurochs (7). On note aussi la présence originale d'animaux marins (16), comme les phoques (9), les pingouins (3),

les méduses, les poissons ou les cétacés. En tout, 177 animaux ont été recensés.
Les hommes n'ont probablement pas habité la grotte. L'absence d'ossements, la rareté des outils et des indices d'activités quotidiennes laissent penser à des incursions brèves liées à la réalisation des dessins et éventuellement à des cérémonies. La présence de l’homme est également attestée par des foyers au sol.

Selon plusieurs scientifiques créationnistes, l’ère glaciaire a été une conséquence du déluge global dont parle le livre de la Genèse. De nombreuses traditions écrites et orales de par le monde parlent également d’un déluge. Selon la chronologie biblique, basée sur les généalogies, le déluge a eu lieu il y a environ 4500 ans, et cela ne peut donc être qu’après cette époque que la grotte Cosquer a été fréquentée par ces gens que les évolutionnistes appellent « hommes des cavernes ».

Le chapitre 11 de la Genèse relate l’histoire de la première civilisation en Mésopotamie, et de sa brusque fin (voir l’article sur ce sujet), ainsi que de la dispersion des groupes linguistiques. Les gens qui ont visité la grotte Cosquer étaient membres de l’un de ces groupes venant de Babel.
Ces « hommes des cavernes » étaient donc contemporains des premiers sumériens, égyptiens, chinois…
Cela nous démontre encore une fois que ce que nous observons s’explique plus facilement par le modèle biblique.

L’histoire biblique est authentique et 100% digne de confiance.

Renseignements : pierre.danis@wanadoo.fr
Vous trouverez beaucoup d’autres articles en cliquant ICI

jeudi 19 mars 2009

Les preuves de l'évolution

Voici la liste complète des faits prouvant que la théorie de l'évolution (du microbe jusqu'à l'homme) est une science observable :


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Si vous en connaissez d'autres, écrivez-moi : pierre.danis@wanadoo.fr


mercredi 18 février 2009

Qui est le créateur?

Le monde que nous observons

L’observation des êtres vivants permet la découverte de fonctions biologiques autrement spécialisées:

le cachalot
, un mammifère, est équipé pour plonger jusqu’à 3000 mètres de profondeur sans souffrir du mal de compression; un pic épeiche donne de forts coups de bec dans les arbres, sans contracter la moindre commotion cérébrale.
Dans la plupart des cas, la vie suppose que les organes fonctionnent dans leur intégralité (ex.: le cœur, le foie, les reins). Des organes inachevés, en cours de développement ou à moitié terminés, sont sans valeur. Que ceux qui penchent dans la direction du Darwinisme en soient conscients: l’évolution ne connaît pas de perspective visant à un fonctionnement ultérieur des organes.

De nombreux oiseaux migrateurs disposent d’un système de pilotage automatique qui les conduit au but de façon certaine, indépendamment des conditions météorologiques et de l’heure du jour. Le Pluvier doré, par exemple, vole de l’Alaska à Hawaï pour hiverner. Son besoin énergétique pour ce vol de 4 500 km est très exactement calculé: 70 grammes de lipides, une réserve de 6,8 grammes étant même prévue en cas de vents contraires.

Le nautile (un céphalopode) vit à l’extrémité extérieure d’une coquille cartilagineuse en colimaçon dont l’intérieur est divisé en compartiments.
Ceux-ci se remplissent de gaz en fonction de la profondeur de plongée, ce qui permet à l’animal de se maintenir en permanence à une profondeur stable. Ces animaux vivent normalement à une profondeur de 400 mètres, mais remontent la nuit jusqu’à 100 mètres de la surface. Comme nos sous-marins modernes paraissent lourds et gauches en comparaison !

Quelques petites bactéries microscopiques possèdent des moteurs électriques fonctionnant au moyen de protons qui leur permettent d’avancer ou de reculer. Dans le volume incroyablement petit de six milliardièmes de millimètre cube, le colibacille dispose de six de ces moteurs, d’une centrale électrique pour la production de son propre courant électrique, d’un système informatique et d’un nombre assez important d’usines chimiques.

Une cellule vivante est façonnée de manière bien plus complexe et bien plus ingénieuse que toutes les machines construites par l’homme. A l’intérieur d’une cellule, des milliers de processus chimiques synchronisés les uns avec les autres se déroulent simultanément.

Dans les molécules de l’ADN des cellules vivantes, on trouve la densité d’information la plus élevée que l’on connaisse.
Combien de livres de poche pourrait-on caser dans une tête d’épingle avec cette technique de sauvegarde? 15 mille milliards d’exemplaires. Placés l’un sur l’autre, ils formeraient une pile de livres de 200 millions de kilomètres de hauteur, ce qui correspond à 500 fois la distance de la Terre à la Lune (384 000 km).

Dans notre univers se trouvent environ 1025 étoiles (25 zéros après le 1). Une vie humaine ne suffirait pas pour les compter.
Si on utilisait, pour ce calcul, un ordinateur capable d’effectuer dix milliards d’opérations par seconde, il ne lui faudrait pas moins de 30 millions d’années.

En considérant seulement ces quelques exemples, tout homme réfléchissant un tant soit peu se posera la question de l’origine de tous ces systèmes fabuleux. L’évolution, bien qu’acceptée par de nombreux contemporains, n’est pas une réponse valable, parce qu’elle attribue tout, sans exception, à la matière – l’information immense contenue dans les cellules, de même que l’âme et la conscience. Les lois naturelles de l’information affirment pourtant que celle-ci est quelque chose d’immatériel, qu’elle nécessite donc une source intelligente, c’est-à-dire un auteur doté d’une volonté. L’intelligence et la sagesse qui s’expriment dans les œuvres de la création sont tout simplement bouleversantes.
La conclusion qui s’impose au vu des œuvres de cette création est l’existence d’un Auteur-Créateur.

Où trouver une solution fiable à cette question?

En sciences naturelles, seule la réalité qui nous entoure dans l’espace et dans le temps peut être explorée au moyen des différentes méthodes d’investigation dont nous disposons. Mais celles-ci ne peuvent analyser que le «comment» des choses créées, pas le « pourquoi». La réponse à cette dernière question dépasse tout effort de l’imagination humaine et ne peut être donnée que par l’auteur lui-même. Mais où ce Créateur s’est-Il révélé ?

Est-ce dans la Bible, dans le Coran ou dans un autre livre de l’histoire du monde?
Les religions du monde ne peuvent pas toutes être vraies: elles donnent toutes des réponses trop diverses et contradictoires. Ou bien elles sont toutes fausses, ou bien une seule d’entre elles est vraie. Les prophéties accomplies sont un critère important pour en contrôler la véracité. Il est prouvé que la Bible est le seul livre dans lequel 3 268 prophéties énoncées à l’avance se sont effectivement réalisées. Aucun autre livre du monde ne possède ce critère de qualité. La Bible est incomparable avec tout ce qui a jamais été écrit, elle est au-dessus de tout.
Et dès le premier verset, la Bible répond à la question concernant le Créateur: «Au commencement Dieu créa.» Cela correspond bien à la nécessité d’une source intelligente.

Qui est le Créateur ?

Dieu était là avant tout. Avant qu’il y ait l’espace, le temps et la matière, Il agissait. La première phrase de la Bible, prise isolément, pourrait suggérer que Dieu le Père ait été le seul Créateur.
Mais un détail décisif, indiquant qu’Il n’était pas le seul à agir, ressort dès le début du récit de la création: «Faisons l’homme » (Genèse 1,26). Le Saint - Esprit y participe; son activité
est indiquée dans le deuxième verset du récit: «Et l’Esprit de Dieu planait au-dessus des eaux.» La Bible ne donne pas toutes les explications à la fois; elle nous informe souvent pas
à pas. La question de savoir «qui est le Créateur» est développée plus en détail dans le Nouveau Testament. C’est ainsi que, selon 1 Corinthiens 8,6, Jésus-Christ participe aussi à l’œuvre de la création. «Il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses, et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui sont toutes choses, et par
qui nous sommes.»

Le mot hébreux «Elohim» de Genèse 1,1 est un pluriel qui désigne le Dieu Créateur. Nous pouvons facilement imaginer l’acte de la création, sous forme imagée, grâce à un exemple de la vie quotidienne: nous partons en voiture voir des amis. Au moment de repartir, je dis, en tant que père de famille: «Nous allons rentrer à la maison.» Même si je parle au pluriel, il est évident qu’une seule personne sera au volant pour conduire la voiture.
Le reste de la famille est également du voyage, mais seul le chauffeur actionne le volant, l’accélérateur et le frein.
Cette image imparfaite aide à comprendre Celui qui, selon la Bible, a réalisé l’œuvre de la création. Dieu a fait le monde par Jésus-Christ. C’est ce qui est clairement formulé dans Hébreux 1,2. Le début de l’Évangile de Jean précise aussi que tout ce qui existe a son origine en Jésus: «Tout a été fait par elle (= la Parole = Jésus) et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle» (Jean 1,3).

Jésus-Christ est le Créateur

Lisons encore quelques versets sur l’activité créatrice de Jésus dans Colossiens 1,16-17: «Car en Lui (= en Jésus-Christ) tout a été créé dans les cieux et sur la terre, ce qui est visible et ce qui est invisible, trônes, souverainetés, principautés, pouvoir. Tout a été créé par Lui et pour Lui. Il est avant toutes choses et tout subsiste en Lui.» Dans le monde matériel visible, il n’y a rien qui n’ait été créé par Jésus: l’immense cosmos avec ses millions de galaxies, les cellules dont le fonctionnement est réglé jusque dans les moindres détails ou la structure des atomes en font tout autant partie. Jésus est non seulement l’auteur de l’ensemble du micro-cosmos et du macro–cosmos, mais Il a aussi la suprématie sur tout.

Et qui plus est, tout ce qui est encore invisible à nos yeux a aussi été fait par Jésus. Il a peuplé le ciel d’innombrables êtres que la Bible appelle des anges. Tout comme ce qui fait partie de la création est varié, mais ordonné, il en est de même pour le monde invisible, comme le montrent les expressions: trônes, souverainetés, principautés et pouvoir.
Jésus est non seulement le Créateur du monde, mais aussi Celui qui maintient toutes choses. Tout est en vie grâce à Lui.

Le monde n’a pas été livré à lui-même après sa création; c’est Jésus qui le soutient par sa parole puissante et le maintient en vie. Nous n’avons pas besoin d’avoir peur d’une catastrophe cosmique, que ce soit une collision d’étoiles, le réchauffement ou le refroidissement du Soleil. Jésus conservera le monde jusqu’à son retour.
L’homme n’est pas le produit d’une loterie, comme le pensait le lauréat du Prix Nobel Jacques Monod; nous avons été créés avec un but et une destinée bien arrêtés: pour Jésus! Sans Lui, notre vie n’a pas de sens.

L’activité créatrice de Jésus dans l’Ancien Testament

Dans le livre des Proverbes 8,22-24, il est dit: «L’Eternel me possédait au commencement de son activité, avant ses œuvres les plus anciennes. J’ai été établie depuis l’éternité, dès le commencement, avant l’origine de la terre …» Dans ce chapitre de la Bible, c’est la sagesse qui parle, mais Christ n’est- Il pas la sagesse personnifiée? Le verset 30 ajoute: «J’étais à
l’œuvre auprès de Lui…» L’expression peut aussi être rendue par «son ouvrier», ce qui indique une activité de Jésus au cours de la mise en place de la création. Le verset 26 du Psaume 102 est cité dans le Nouveau Testament, dans Hébreux 1,10, et y est appliqué à Jésus: «C’est toi, Seigneur, qui au commencement as fondé la terre ; le ciel est ton ouvrage.»

Comment le Créateur a-t-Il accompli son ouvrage ?

Si nous nous demandons comment la création a été réalisée, c’est encore la Bible qui nous révèle les méthodes du Créateur:

• par la parole de Dieu: Psaume 33,6; Jean 1,1-4
• sans matériel de départ: Hébreux 11,3
• par la puissance de Dieu: Jérémie 10,12
• par la sagesse de Dieu: Psaume 104,24; Colossiens 2,3
• par la volonté de Dieu: Genèse 1,26; Apocalypse 4,11
• par le Fils de Dieu: Jean 1,1-4; Jean 1,10; Colossiens 1,15-17
• d’après les traits de caractère de Jésus: Matthieu 11,29; Jean 10,11.

Tous ces facteurs entrèrent en jeu durant les six premiers jours de la création. Ils ne sont pas soumis aux lois de la nature et ne sont saisissables que par la foi. Les lois actuelles de la nature coordonnent le fonctionnement de notre monde, mais elles ne sont pas la cause de la création; elles en sont seulement le résultat.

Qu’est-ce qui nous est donné en Jésus-Christ ?

Il est le fondement sur lequel nous pouvons bâtir notre vie. Nous affirmons au sujet de Christ: «Vous pouvez bâtir sur Lui.» Toutes choses sont fondées en Lui: la création, la foi, le salut, la paix, l’espérance, le chemin du ciel, le but de la vie.

Christ est le Rocher inébranlable (1 Corinthiens 10,4) sur lequel tout système de l’imagination humaine se brise. Quand Dieu dit: «Je détruirai la sagesse des sages» (1 corinthiens 1,19), Il le fait sur le Rocher appelé Jésus. Là se fracassent toutes les idéologies, l’athéisme et les systèmes évolutionnistes. Leurs adeptes devront un jour plier les genoux devant ce Seigneur (Philippiens 2,10) qu’ils rejettent avec véhémence comme Planificateur, Dessinateur, Créateur et Sauveur.

Pourquoi la théorie de l’évolution est-elle si dangereuse ?

Non seulement elle transmet une conception fausse du monde, mais encore elle nous ôte tout espoir, tel que l’écrivain allemand Jean Paul (1763-1825) le décrivait de manière si pertinente dans son roman «Siebenkäs»: «Il n’y a pas de Dieu … Le néant figé et muet! La nécessité éternelle et froide! Le hasard fou … Que chacun est solitaire dans le grand sépulcre cadavérique de l’univers!»

La théorie de l’évolution prétend pouvoir expliquer le monde sans Créateur. En conséquence, elle entraîne les hommes vers l’athéisme, et cette attitude athée mène à l’enfer, selon les paroles de Jésus: «Celui qui ne croira pas sera condamné» (Marc 16,16). Certains essaient de faire de l’évolution la méthode de travail de Dieu. Mais si Dieu avait créé par l’évolution, alors :

• il n’y aurait pas de premier couple d’humains
• il n’y aurait pas de péché, car «la lutte pour la survie est la roue qui fait avancer l’évolution» (Joachim Illies)
• Dieu aurait utilisé la mort comme moyen créateur
• il n’y aurait pas de raison d’être pour le salut apporté par Jésus qui, en contraste avec le premier homme pécheur, est appelé «le dernier Adam» (1 Corinthiens 15,45).

Ces déclarations prouvent que ce qu’on appelle l’ «évolution théiste» ébranle les fondements de la Bible et la rejette tout entière.
C’est pourquoi nous réprouvons au plus haut point cette fausse idéologie.

Une pensée extraordinaire

Nous connaissons maintenant Jésus comme le Créateur de toutes choses. Il est Celui qui était de toute éternité, qui est le Souverain du royaume céleste. Toute autorité Lui a été donnée dans le ciel et sur la terre (Matthieu 28,18). Pouvons-nous concevoir cette pensée vertigineuse:

L’homme sur la croix de Golgotha et le Créateur de ce monde sont une seule et même personne!
Dans son amour incommensurable envers nous, Il s’est laissé crucifier sans opposer de défense, pour que les portes du ciel s’ouvrent pour nous. Celui qui rejette ce fait perd tout: «Comment pourrons-nous échapper à la punition si nous négligeons un tel salut?» (Hébreux 2,3). Celui qui l’accepte gagne tout: «Celui qui écoute ma parole et qui croit à Celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle … il est passé de la mort à la vie» (Jean 5,24).

Demandez au Seigneur Jésus le pardon de tous vos péchés pour que vous puissiez échapper au jugement de Dieu, acceptez-Le comme votre Créateur et Sauveur personnel et venez marcher à sa suite.

Dr. Werner Gitt
Titre de l’édition originale: Wer ist der Schöpfer?
Site Internet de l’auteur: www.wernergitt.de
Traduction française: Eliane Siegel

vendredi 9 janvier 2009

Les comètes

Les comètes se désintègrent trop rapidement


Selon la théorie de l'évolution, les comètes sont supposées être aussi vieilles que le système
solaire, c'est-à-dire environ 5 milliards d'années. Soulignons que chaque fois qu'une comète s'approche du soleil, elle perd une si grande quantité de sa matière qu'elle disparaîtrait au bout d'environ 100 000 ans. Beaucoup de comètes ont l'âge typique de 10 000 ans.




Les évolutionnistes expliquent cette incohérence en supposant que :


Les comètes proviennent d'un "nuage d'Oort" jamais observé, loin derrière l'orbite de Pluton, à l'abri de la destruction solaire. Des interactions gravitationnelles improbables avec le passage irrégulier d'étoiles entraînent souvent les comètes de ce "nuage" dans le système solaire.





D'autres interactions improbables avec les planètes ralentissent l'arrivée des comètes. Considérant ces faits, le système solaire devrait remplacer par de nouvelles comètes toutes celles qui se désintègrent.
Tout ceci doit se produire assez souvent pour rendre compte des centaines de comètes observées. Jusqu'à maintenant, aucune de ces suppositions n'a été démontrée ni par observation, ni par des calculs réalistes.


J'habite à 3 kms du lac du Bourget, et au pied de la montagne d'oû j'ai pris cette photo...

J'habite à 3 kms du lac du Bourget, et au pied de la montagne d'oû j'ai pris cette photo...
Ma région (Savoie) France

Voici un livre intérréssant

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Ce sont des généralités sur l'évolution

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Voici des super DVD que je vous conseille :

  • "Qu'est-ce que la science?"
  • "Débat sur les origines"

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