samedi 17 mars 2007

TEST SUR LES ORIGINES



QUE S’EST-IL PASSE A L'ORIGINE ?
Choisissez la réponse qui vous semble la meilleure
Bonne réponse = 2, réponse valable = 1, réponse fausse = 0


1 - Pour comprendre les doctrines chrétiennes fondamentales, il faut :
a) Lire la Genèse
b) Croire les parties principales de la Genèse
c) Croire et comprendre la Genèse
d) Croire les versets de la Genèse cités dans le N.T.

2 - Problèmes, souffrances, maladies, guerres, injustices et mort sont les résultats :
a) De l’orgueil de Satan
b) Du péché d’Adam et Eve, qui ont mangé le fruit défendu
c) De la révolte de l’homme contre le créateur
d) De tout ce qui précède

3 - Peut-on savoir depuis quand l’Archéoptéryx existe ?
a) Oui bien sûr
b) Impossible
c) On ne peut pas en être sûr
d) Seule la science a la réponse

4 - Le Tyrannosaurus Rex avait des dents de 15 cm, quel était son régime au début ?
a) Carnivore
b) Végétarien
c) Nécrophage
d) Impossible de le savoir

5 - Est-ce que les kangourous ont vécu au Proche-Orient ?
a) Oui
b) Non
c) Ils ne vivent qu’en Australie
d) On ne peut pas savoir

6 - Où était le jardin d’Eden ?
a) En Afrique
b) En Europe
c) Au proche orient
d) On ne peut pas le savoir

7 - Laquelle de ces déclarations est la plus exacte ?
a) La Bible contient la Parole de Dieu
b) La Bible est une parole d’hommes
c) La Bible est la parole de Dieu
d) La Bible devient la Parole de Dieu quand on la lit

8 - Les chrétiens qui ne prennent pas la Genèse littéralement :
a) Tirent leurs idées de la Bible
b) Interprètent la Genèse logiquement
c) Sont influencés par des idées extérieures à la Bible
d) Ce n'est pas important car c'est un sujet secondaire

9 - Certains peuples d’aujourd’hui ont une manière de vivre très rudimentaire (pas de maison, pas d’agriculture, pas de métal, …) parce que :
a) Ils sont moins intelligents que les autres
b) Ils n’ont pas encore de connaissances technologiques
c) Ils sont primitifs
d) Ils ont perdus leurs connaissances technologiques

10 - L’évolution Darwinienne (du microbe jusqu’à l’homme) est :
a) Une croyance
b) Une religion
c) Une philosophie
d) Tout ce qui précède

11 - Le livre de la Genèse est :
a) Le fondement des principales doctrines chrétienne
b) Une narration historique
c) Le livre le plus cité de toute la Bible
d) Tout ce qui précède

12 - Caïn s’est marié avec :
a) Une femme d’un peuple dont la Bible na parle pas
b) Sa sœur
c) Une hominidée
d) Cette histoire n’est pas logique, il n’y avait personne à épouser

13 - L’eau du déluge :
a) A dépassé les montagnes de l’époque
b) A dépassé l’Everest
c) C’est une légende des hébreux
d) C’était une inondation régionale

14 - Le récit biblique du déluge :
a) A été influencé par l’épopée de Gilgamesh
b) A été influencé par le mythe de l’Atlantide
c) A été influencé par les diverses traditions tribales
d) C’est lui qui est resté dans la mémoire de nombreux peuples

15 - Le berceau de la civilisation est :
a) En Afrique de l’Est
b) En Mésopotamie
c) A Jérusalem
d) En Europe

16 - Les peuples se sont séparés à cause de leurs :
a) Races
b) Religions
c) Langues
d) Cultures

17 - Pourquoi le mot dinosaure ne se trouve pas dans la Bible ?
a) Parce qu’à l’époque de sa rédaction les connaissances scientifiques étaient insuffisantes
b) Ce mot grec n’existait pas à l’époque de sa rédaction, mais elle en parle avec des mots hébreux
c) Parce que les dinosaures avaient disparu longtemps avant sa rédaction
d) Parce que les dinosaures n’ont jamais existé

18 - Les jours de la création :
a) Correspondent aux ères géologiques
b) Durent 1000 ans chacun
c) Sont des jours ordinaires
d) Sont symboliques

19 - Les instruments de musique (à cordes et à vent) ont été inventés par :
a) Les premiers hommes (à l’époque d’Adam)
b) Les sumériens
c) Les égyptiens
d) Les chaldéens

20 - Le feu, le bronze et le fer ont été découverts et utilisés :
a) A différentes époques (âge du bronze et du fer)
b) Au début, par les premiers hommes
c) Par des peuples différents
d) Longtemps après les premiers hommes

21 - Adam et Eve étaient :
a) Des symboles
b) Des personnages légendaires
c) Des hominidés en qui Dieu aurait donné son souffle de vie
d) Nos premiers parents


pierre.danis@wanadoo.fr



REPONSES AU TEST


QUE S’EST-IL PASSE A L'ORIGINE ?
Voici les bonnes réponses aux questions

1 - Pour comprendre les doctrines chrétiennes fondamentales, il faut :
a) Lire la Genèse
b) Croire les parties principales de la Genèse
c) Croire et comprendre la Genèse : Oui, car la Genèse est le fondement de toute la Bible.
d) Croire les versets de la Genèse cités dans le N.T.

2 - Problèmes, souffrances, maladies, guerres, injustices et mort sont les résultats :
a) De l’orgueil de Satan
b) Du péché d’Adam et Eve, qui ont mangé le fruit défendu
c) De la révolte de l’homme contre le créateur
d) De tout ce qui précède : Ces 3 déclarations sont exactes pour définir les causes du mal.

3 - Peut-on savoir depuis quand l’Archéoptéryx existe ?
a) Oui bien sûr : Depuis le 5ème jour de la création (c’est un oiseau) Genèse 1 v 20.
b) Impossible
c) On ne peut pas en être sûr
d) Seule la science a la réponse

4 - Le Tyrannosaurus Rex avait des dents de 15 cm, quel était son régime au début ?
a) Carnivore
b) Végétarien : Bien sûr puisque tout les animaux étaient végétariens à l’origine (Ge 1 v 30).
c) Nécrophage
d) Impossible de le savoir

5 - Est-ce que les kangourous ont vécu au Proche-Orient ?
a) Oui : Lorsqu’ils sont sortis de l’arche, ils étaient dans ce qui est aujourd’hui la Turquie.
b) Non
c) Ils ne vivent qu’en Australie
d) On ne peut pas savoir

6 - Où était le jardin d’Eden ?
a) En Afrique
b) En Europe
c) Au proche orient
d) On ne peut pas le savoir : Car toute la géographie de la terre à été bouleversée par le déluge.

7 - Laquelle de ces déclarations est la plus exacte ?
a) La Bible contient la Parole de Dieu
b) La Bible est une parole d’hommes
c) La Bible est la parole de Dieu : Oui, c’est la pensée de Dieu sous forme d’écriture.
d) La Bible devient la Parole de Dieu quand on la lit

8 - Les chrétiens qui ne prennent pas la Genèse littéralement :
a) Tirent leurs idées de la Bible
b) Interprètent la Genèse logiquement
c) Sont influencés par des idées extérieures à la Bible : Principalement par la théorie de l’évolution, qui est prêchée à l’école et dans les médias.
d) Ce n'est pas important car c'est un sujet secondaire

9 - Certains peuples d’aujourd’hui ont une manière de vivre très rudimentaire (pas de maison, pas d’agriculture, pas de métal, …) parce que :
a) Ils sont moins intelligents que les autres
b) Ils n’ont pas encore de connaissances technologiques
c) Ils sont primitifs
d) Ils ont perdus leurs connaissances technologiques : Car leurs ancêtres, Noé…etc. construisaient des villes, cultivaient la terre et travaillaient les métaux…etc

10 - L’évolution Darwinienne (du microbe jusqu’à l’homme) est :
a) Une croyance
b) Une religion
c) Une philosophie
d) Tout ce qui précède : Oui !

11 - Le livre de la Genèse est :
a) Le fondement des principales doctrines chrétienne
b) Une narration historique
c) Le livre le plus cité de toute la Bible
d) Tout ce qui précède : Oui !

12 - Caïn s’est marié avec :
a) Une femme d’un peuple dont la Bible na parle pas
b) Sa sœur : Evidement puisqu’il n’y avait personne d’autre.
c) Une hominidée
d) Cette histoire n’est pas logique, il n’y avait personne à épouser

13 - L’eau du déluge :
a) A dépassé les montagnes de l’époque : C’est ce qui est écrit dans Genèse 7 v 19.
b) A dépassé l’Everest
c) C’est une légende des hébreux
d) C’était une inondation régionale

14 - Le récit biblique du déluge :
a) A été influencé par l’épopée de Gilgamesh
b) A été influencé par le mythe de l’Atlantide
c) A été influencé par les diverses traditions tribales
d) C’est lui qui est resté dans la mémoire de nombreux peuples : Oui !

15 - Le berceau de la civilisation est :
a) En Afrique de l’Est
b) En Mésopotamie : C’est ce qui est écrit dans Genèse 11 v 1 à 9.
c) A Jérusalem
d) En Europe

16 - Les peuples se sont séparés à cause de leurs :
a) Races
b) Religions
c) Langues : Ces groupes linguistiques sont devenu des groupes ethniques ( Ge 11 v 9).
d) Cultures

17 - Pourquoi le mot dinosaure ne se trouve pas dans la Bible ?
a) Parce qu’à l’époque de sa rédaction les connaissances scientifiques étaient insuffisantes
b) Ce mot grec n’existait pas à l’époque de sa rédaction, mais elle en parle avec des mots hébreux : Comme le Behemot et le Léviathan dans Job 40 v 15 à 41 v 26.
c) Parce que les dinosaures avaient disparu longtemps avant sa rédaction
d) Parce que les dinosaures n’ont jamais existé

18 - Les jours de la création :
a) Correspondent aux ères géologiques
b) Durent 1000 ans chacun
c) Sont des jours ordinaires : Oui, car chaque jour il est dit qu’il y eu un soir et un matin (Ge 1).
d) Sont symboliques

19 - Les instruments de musique (à cordes et à vent) ont été inventés par :
a) Les premiers hommes (à l’époque d’Adam) : C’est ce qui est écrit dans Genèse 4 v 21.
b) Les sumériens
c) Les égyptiens
d) Les chaldéens

20 - Le feu, le bronze et le fer ont été découverts et utilisés :
a) A différentes époques (âge du bronze et du fer)
b) Au début, par les premiers hommes : Oui , du vivant d’Adam (Ge 4 v 22).
c) Par des peuples différents
d) Longtemps après les premiers hommes

21 - Adam et Eve étaient :
a) Des symboles
b) Des personnages légendaires
c) Des hominidés en qui Dieu aurait donné son souffle de vie
d) Nos premiers parents : Oui nous descendons tous d’eux.


Pierre Danis pierre.danis@wanadoo.fr


La sélection naturelle

La sélection naturelle' est souvent comprise comme la survie du meilleur ou, plus récemment, la reproduction du meilleur. Beaucoup de gens sont confus à ce sujet, pensant qu'une évidence pour la sélection naturelle est automatiquement une évidence pour l'idée que des molécules se sont transformées en microbes, en mille-pattes, en magnolias, ou en PDG. La plupart des présentations de l'évolution ajoutent à la confusion en ne précisant pas que même selon la théorie évolutionniste, ceci ne peut pas être vrai; la sélection naturelle par elle-même ne créé rien de nouveau.

Darwin le plagiat ?
Le sélection naturelle est vraiment une observation directe, d'évidence. Un créationniste, le chimiste/zoologiste Edward Blyth (1810-1873), a écrit à ce sujet en 1835, avant Darwin, qui a très probablement emprunté l'idée à Blyth. Un organisme peut posséder certains traits ou caractères qui, dans un environnement donné, donnent une plus grande chance de passer ses gènes à la prochaine génération (comparé à ceux de ses camarades qui ne l'ont pas). Après des générations successives, ce trait ou caractère a une bonne chance d'être plus répandu dans cette population.

Une plus grande chance de survie = l'organisme est plus apte à survivre
C'est ce que la survie du meilleur veut dire, d'ailleurs; ça ne se rapporte pas nécessairement à la santé physique comme c'est généralement compris. Si vous êtes plus (ou moins) apte à survivre, vous aurez également plus (ou moins) de progéniture, et passerez ainsi vos gènes aux autres. Par exemple, les gènes pour des poils longs amélioreront les chances de survie de l'animal dans un climat froid. Des gènes pour la coloration blanche amélioreront le camouflage d'un ours dans un désert neigeux (le camouflage n'aide pas seulement à un animal d'éviter d'être attrapé et mangé; il peut également aider un prédateur à attraper sa proie sans se faire repérer aussi rapidement). Ainsi, évitant la famine, un ours de couleur plus pâle survivra pour transmettre sa coloration plus pâle à la prochaine génération.

Une plus grande chance de trouver un partenaire
Si les femelles d'une espèce de poissons préfèrent habituellement des compagnons avec de plus longues queues, alors les poissons masculins avec des gènes pour de plus longues queues auront plus de chance de se reproduire, en moyenne, de sorte que leurs gènes (qui incluent ceux pour de longues queues) ont plus de chance d'être copiés. Les gènes pour les queues longues (et ainsi la variété de queue longue) deviendra donc plus répandue dans cette population.

Augmenter le succès de la reproduction
Considérez une espèce de plante, dont les graines sont dispersées par le vent. S'il y a des gènes qui donnent à ses graines une forme qui leurs confère un aérodynamisme légèrement meilleur que les graines de ses camarades, alors les gènes pour ce trait particulier seront favorisés, c-à-d. sélectionnés de manière 'naturelle'. Réciproquement, si cette espèce de plante s'avère justement être sur une petite île, les graines qui voyagent loin vont être perdues en mer. Par conséquent, les gènes qui donnent moins d'aérodynamisme seront favorisés. Présumant que les gènes pour les graines de courte distance et de longue distance étaient disponibles, cet effet simple assurerait que tous les membres d'une population d'île de telles plantes produiraient par la suite seulement des graines de courte distance; les gènes pour une plus longue distance étant éliminés.

Adaptation
De cette façon, les créatures peuvent devenir plus adaptées à l'environnement dans lequel elles se trouvent. Admettons qu'une population de plantes a un mélange de gènes pour la longueur de ses racines. Exposez cette population sur des années de sécheresse, les plantes qui survivront seront celles qui ont de plus longues racines qui descendent à des couches plus profondes. Ainsi, les gènes pour des racines plus courtes ne sont pas reproduits. Plus tard, aucune de ces plante ne possèdera des gènes pour avoir des racines courtes, ainsi elles auront toutes des racines longues. Elles sont maintenant mieux adaptées aux conditions arides que leurs ancêtres l'étaient.

La croyance de Darwin
Cette adaptation à l'environnement était cru par Darwin être un processus qui était essentiellement créateur, et pratiquement sans limites. Si de nouvelles variétés ont pu surgir en peu de temps pour s'adapter à leur environnement, alors avec beaucoup de temps, de nouvelles créatures pourraient apparaître. Il croyait, que des poumons ont surgi dans un monde à l'origine sans poumons, et des plumes dans un monde ou il n'y en avait pas. Darwin ne savait pas comment fonctionnait vraiment l'hérédité, mais les gens d'aujourd'hui devraient le savoir plus. Il ne savait pas, par exemple, que ce qui est passé dans une reproduction est essentiellement un tas d'informations (gènes), des instructions codées.
Ce que fait réellement la sélection naturelle est de se débarrasser de l'information. Elle n'est pas capable de créer quelque chose de nouveau. Dans l'exemple ci-dessus, la population de plantes est dans l'ensemble devenue mieux capable de survivre en temps sec en raison de l'élimination de certains gènes; c-à-d. qu’ils ont perdu une partie de l’information que leurs ancêtres avaient. L'information pour des racines plus longues était déjà dans la population proche; la sélection naturelle n'a rien ajouté de nouveau à la population.
Le prix payé pour l'adaptation, ou la spécialisation, est toujours la perte d'un peu d'information dans le groupe d'organisme. Si l'environnement revenait comme auparavant, de sorte que des racines plus courtes soient la seule manière pour les plantes de survivre, l'information pour ces types de racines n'apparaîtrait pas par magie; la population ne pourrait plus s'adapter dans cette direction. La seule manière pour qu'une variété de racines courtes surgisse en adaptation à l'environnement serait que les plantes se mélangent avec une population proche, dans laquelle les deux types de gènes sont présents.

Les limites à la variation
Dans un tel processus perdant de l'information, il y a automatiquement une limite à la variation, puisque le patrimoine génétique ne peut pas continuer à perdre de l’information indéfiniment.
Ceci peut être vu dans le croisement, qui est juste une autre version (dans ce cas-ci, artificielle) de la sélection, mais le principe est exactement identique. Prenons les chevaux, les éleveurs ont multiplié toutes sortes de variétés des chevaux à partir des chevaux sauvages, allant des gros chevaux forts pour travailler aux poneys miniatures pour l’amusement, et ainsi de suite. Mais des limites sont bien vite atteintes, parce que la sélection naturelle peut seulement travailler sur ce qui est déjà là. Vous pouvez croiser des variétés de chevaux blancs, bruns et ainsi de suite, mais aucune quantité de croisement ne produira jamais un cheval vert, car l'information pour des poils verts n'existe pas dans la population du cheval.
Des limites à la variation surviennent également parce que chaque variété de cheval porte moins d'information que les chevaux sauvages de laquelle elle est descendu. Le bon sens confirme que vous ne pouvez pas commencer avec des petits poney et essayer d'obtenir des grands chevaux, parce que l'information n'existe plus! Plus grande est la spécialisation (ou adaptation), plus le patrimoine génétique est aminci ou épuisé, et donc moins de variations futures sont possible à partir d'un tel groupe.
Ces faits évidents et logiques indiquent clairement que la sélection naturelle est loin d'être le processus créateur sans limites qu'a imaginé Darwin.
Les évolutionnistes savent qu'ils doivent compter sur un autre processus pour créer de nouvelles informations, parce que la théorie de l'évolution l'exige.

Comment est-ce que les évolutionnistes expliquent la nouvelle information ?
Puisque le sélection naturelle peut seulement sélectionner ce qui existe déjà, les évolutionnistes d'aujourd'hui comptent sur les mutations (erreurs de copie aléatoires dans le processus reproducteur) pour créer la matière première sur laquelle la sélection naturelle peut ensuite opérer. Il a été démontré de façon convaincante que les mutations observées n'ajoutent pas d'information. Un des scientifique spécialiste de l'information, le Dr Werner Gitt de l'institut fédéral de physique et de technologie d’Allemagne, dit : Il n'y a aucune loi naturelle connue par laquelle la matière peut créer de l'information, pas plus qu’il n'y a de processus physique ou matériel connu qui peut faire cela. Même ces mutations qui donnent un avantage de survie sont vues comme étant des pertes d'information, ne créant pas le nouveau matériel nécessaire sur lequel la sélection naturelle pourrait alors fonctionner.

En résumé :
a. La sélection naturelle n'ajoute aucune information, en fait elle en enlève.
b. L'évolution exige l'ajout de nouvelles informations.
c. Les mutations (erreurs de copie génétiques) doivent être utilisées pour expliquer comment la nouvelle information peut surgir afin que la sélection naturelle puisse guider le processus évolutionniste présumé.
d. Les mutations étudiées jusqu'ici semblent toutes être des pertes d'information - ce qui n’est pas étonnant pour un processus aléatoire.
e. Il est ainsi tout à fait illégitime d'utiliser des exemples dans lesquels la sélection naturelle se produit (réduisant l'information dans les populations) comme exemples ou évidences d'évolution.
f. Le sélection naturelle, fonctionnant sur l'information créée dans le patrimoine génétique original, est conforme avec la Bible qui dit que nous vivons dans un monde déchu. Cela peut aider organismes à s'adapter à leur environnement, et peut éviter l'extinction. En séparant un grand patrimoine génétique en de plus petits, cela produit de nouvelles variétés, comme les nombreuses races de chevaux. Ceci aide à expliquer pourquoi il y a une plus grande diversité aujourd'hui qu’il n’y en avait à bord de l'arche de Noé.

Aveuglement évident ?
Un orateur visitant une caverne en Australie a été informé par le guide au sujet d'une crevette aveugle qui, dans cet environnement sans lumière, aurait évolué la capacité de ne pas voir. (!)
Évidemment, une mutation (erreur de copie génétique) causant la cécité à une crevette vivant dans la lumière nuirait normalement à sa capacité de survivre. Cependant, ce n’est pas un handicap dans l’obscurité, mais plutôt un avantage, car la crevette est moins sujette à des infections à l’œil comme ses cousines encore voyantes.
Après quelques dizaines de générations, toutes les crevettes porteront le gène défectueux, et elles seront ainsi toutes aveugles. En fait, elles n'ont évolué aucune capacité, elles en ont perdu une.
Une perte peut être un avantage de survie dans certains cas, mais c'est toujours une perte. La croyance évolutionniste exige que des quantités massives de nouvelles informations aient surgies avec le temps.

Carl Wieland

mardi 13 mars 2007

Des scientifiques qui croient à la Bible


Un grand nombre de chercheurs ayant contribués aux progrès de la science croyaient que la Bible est la Vérité.


En voici quelques-uns :


COPERNIC (fondateur de l’astronomie Moderne) : « Qui ne s’exalterait au spectacle de ce qu’il voit dirigé dans l’ordre le plus parfait avec une sagesse divine, qui n’admirerait le Maître de toutes choses ? »

GALILEO (Astronome et physicien, inventeur de la lunette spatiale) : « La Bible n’est pas là pour nous apprendre comment va le ciel, mais comment on va au ciel ».

LEONARDO DA VINCI : (Spécialiste des sciences hydrauliques).
ISAAC NEWTON (Père de la loi de la gravitation, et inventeur du télescope) : « En l’absence de toute autre preuve, mon pouce seul me convaincrait de l’existence de Dieu ».

LINNÉ (fondateur de la classification des plantes) : « J’ai vu passer Dieu. Je ne l’ai pas vu en face, mais ce reflet de lui, saisissant soudain mon âme, l’a jetée dans la stupeur et l’admiration ».

AMPÈRE (fondateur de l’électrodynamique) : « Que Dieu est grand ! Que Dieu est grand et que notre savoir n’est rien ! »

LOUIS PASTEUR (Spécialiste de la bactériologie, de la vaccination, découvreur de la loi de la biogenèse, et inventeur du contrôle de la fermentation) : « Tant pis pour ceux dont les idées philosophiques sont gênées par mes études ».

LIEBIG (auteur de la chimie appliquée) : « Celui qui s’efforce de lire les pensées de Dieu dans le livre de la nature peut seul connaître sa grandeur et sa sagesse infinies ».

THOMAS EDISON : « J’admire tous les ingénieurs, mais surtout le plus grand d’entre eux : Dieu ! ».

BLAISE PASCAL (Spécialiste de l’hydrostatique, et inventeur du baromètre) : « Il y a dans le cœur de tout homme un vide qui a la forme de Dieu ».
GEORGES CUVIER (Anatomie comparative et paléontologie des vertébrés).

MICHAEL FARADAY (Inventeur du générateur électrique).

JOSEPH HENRY (Inventeur du moteur électrique et découvreur de l’auto-induction).

CHARLES BABBAGE (Inventeur de la machine à calculer et père de l’ordinateur).
WILLIAM HERSCHEL (Astrophysicien, auteur du catalogue global des étoiles, et découvreur des étoiles doubles).

JOHANN KEPLER (Astrophysicien,, découvreur des 3 lois dites de Keppler) : « Que Dieu est grand ! Que sa puissance et sa sagesse sont infinies ! Ciel, soleil, lune, planètes, proclamez sa gloire ! Proclamez sa gloire, harmonies célestes... Autant qu’il fut donné à mon chétif esprit de saisir ton infinité, j’ai voulu révéler aux hommes la sublimité de ta création ».

GREGOR MANDEL (fondateur de la génétique).
SAMUEL MORSE (inventeur du télégraphe).
CHRISTOPHER SHOLES (inventeur de la machine à écrire)
NICOLAE PAULESCU (Découvreur de l’insuline qui permet à des millions de diabétiques de vivre) : « Le scientifique ne dit pas simplement : Je crois en Dieu, mais il doit affirmer clairement : Je sais que Dieu existe »..
WILLIAM THOMSON (Spécialiste de la thermodynamique et du câble trans-atlantique, inventeur de l’échelle de température absolue).
ALBERT EINSTEIN (Physicien) : « Je veux savoir comment Dieu a crée ce monde, je veux connaître sa pensée, le reste n’est que contingence ».

WERNER VON BRAUN (Inventeur de fusées d’exploration spatiale) : « Par dessus tout à Dieu revient l’honneur d’avoir créé le grand univers, que l’homme et sa science pénètrent et étudient de jour en jour avec une profonde vénération ».

ARTHUR WILDER-SMITH (Expert en chimie et pharmacologie, détenteur de 3 doctorats) : « Le modèle évolutionniste ne colle pas avec les faits scientifiques, contrairement au modèle créationniste d’un plan intelligent ».
ROBERT GENTRY (physicien et chimiste).
RAYMOND DAMADIAN (inventeur du scanner IRM) : « Le but le plus élevé qu’un homme puisse trouver pour sa vie est de servir la volonté de Dieu ».


Et beaucoup d’autres…Il y a actuellement des milliers de scientifiques dans divers pays qui croient que la Bible est 100% digne de confiance.

pierre.danis@wanadoo.fr



Les premiers hommes


Comment vivaient nos ancètres ? (du vivant d’Adam et Eve, avant le déluge).

Ceux qui croient à l’évolution spéculent qu’à mesure que l’homme évoluait, il devait apprendre d’abord à émettre des sons, puis à écrire. Il devait employer des outils faits de pierre et apprendre l’agriculture avant de développer ce qu’on pourrait appeler “une technologie avancée”.
Cependant, la Bible décrit Adam comme un individu hautement développé. Par exemple, nous notons en Genèse 2 v 20 que “l’homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel et à tous les animaux des champs”. De toute évidence, Adam pouvait parler ; il avait un langage complexe et nuancé. De plus, en Genèse 3 v 20, nous apprenons qu’Adam a donné le nom d’Eve à sa femme, car elle était la mère de tous les vivants. En Genèse 5 :1, nous lisons ces mots :

“Voici le livre de la postérité (litt. un compte rendu écrit de la lignée) d’Adam”. On peut supposer qu’Adam a écrit tous les détails que Dieu lui avait donnés concernant la création originelle. Il aurait donc enregistré par écrit les autres événements sous la direction de Dieu. Moïse aurait obtenu plus tard ce matériel et l’aurait compilé pour l’inclure dans le livre de la Genèse. S’il en était ainsi, Noé a dû embarquer les précieux documents écrits par Adam.

Genèse 4 v 2 : Ils pratiquaient l’élevage et l’agriculture.
Genèse 4 v 17 : Mariage de Caïn avec une de ses sœurs . Construction d’une ville (architecture, maçonnerie, charpente, etc…).
v 19 : Premier acte de polygamie (destruction de l’image de Dieu dans le couple : ch 1 v 27).
v 20 : Elevage nomadique ( tentes ).
v 21 : Invention des instruments de musique (à cordes et à vent), ils avaient donc des qualités artistiques.
v 22 : Métallurgie : Bronze (cuivre + étain), fer, apparaissent à la même époque . Les outils métalliques ont été fabriqués avant les outils en pierre, en os, en corne ou en défense. (Ils maîtrisaient le feu : le fer fond à 1530°).
v 23 : Ils étaient artistes, Lemek parle à ses femmes sous forme poétique.
v 26 : Certains avaient une vie spirituelle (prière).
Genèse 5 v 4 : Adam engendra des fils et des filles (en 930 ans, il a eu le temps d’en avoir beaucoup).
Job 30 v 3-6 : "Hommes des cavernes" (après le déluge, pendant l'ère glaciaire).



Note : Il existe aujourd’hui des peuples qui ne connaissent pas le métal, ni l’agriculture, ni l’élevage, et qui habitent dans des cabanes de branches ou même dans des cavernes. Ils sont souvent considérés comme primitifs, moins évolués, voire même moins intelligents que les autres, ce qui peut conduire au racisme et parfois au génocide. Cette conception qui est totalement fausse est la conséquence logique de la croyance à la théorie de l’évolution des espèces(du microbe à l'homme). En réalité, certains groupes ethniques ont oubliés et donc perdus les connaissances scientifiques et techniques de leurs ancêtres, après la division et la dispersion de l’humanité à Babel. Aucun peuple n’a hérité de la somme totale de la connaissance. Nous sommes tous descendants d’Adam, et donc, de la même famille.

Pierre DANIS pierre.danis@wanadoo.fr


Le pluvier doré

On m’appelle “Pluvier doré”.

A peu de chose près, ma taille est comparable à celle de la colombe et, comme elle, je suis capable de voler. Mais là s’arrête pratiquement tout ce que j’ai de commun avec cette collègue. Observez mon plumage ! Ma nuque est noire comme un tuyau de poêle ainsi que ma gorge, les reflets de mon poitrail et de mon dos. Et regardez donc comme mon Créateur a décoré chacune de mes plumes d’un merveilleux liseré. Tout le dessus de mon plumage scintille de reflets verts dorés, d’où mon nom : “Pluvier doré” ou encore “Pluvialis dominica fulva” pour vos scientifiques. […]
Au terme de 26 jours d’incubation, je cassai la coquille de mon œuf. Ensemble avec mes frères et sœurs, je me retrouvais dans une petite cuvette capitonnée de mousse et de feuilles mortes.

C’était en Alaska. […]
Voilà donc mon lieu de naissance. Nos parents nous alimentaient de vitamines et de protéines: des fruits sous forme de baies acidulées et de baies de camarine, et de la viande sous forme de chenilles bien grasses et de croustillants coléoptères.
Nous avons grandi rapidement. Bientôt ce fut le moment d’apprendre à voler: quelle merveille! Pour la marche, en revanche, c’est tout à fait différent. Si vous me regardez, vous allez certainement sourire. Oui, oui, vous avez raison, mon pas est vacillant. Mon Créateur a jugé bon de me construire ainsi. Pensez-vous sérieusement que je serais “apparu” par hasard selon ce que certains d’entre vous appellent, de façon légèrement pompeuse, “l’organisation autonome de la matière”?

Et savez-vous aussi que je vole jusqu’à Hawaii? Oui, c’est vraiment une très grande distance. Vous vous demandez certainement comment j’y parviens. Tout simplement en volant. Mon Créateur ne m’a pas destiné à être champion de course ou recordman à la nage. Par contre, je peux voler d’autant mieux, je vais vous le prouver.

Quelques mois seulement après la naissance, nous savions à peine voler que déjà nos parents nous quittaient. Ils nous devançaient en direction de Hawaii. Évidemment, nous l’ignorions à ce moment-là. En fait, le départ de nos parents nous importait fort peu! La seule chose qui nous intéressait vraiment, c’était la nourriture. De vrais gloutons! En un temps record, nous prenions 70 g. Donc plus de la moitié de notre poids. Essayez de vous représenter cette donnée à votre échelle humaine. Au bout de trois mois, votre pèse-personne indiquerait 125 kg au lieu de 80 kg! Vous aimeriez certainement savoir pourquoi je mange tant.

C’est tout simple : mon Créateur m’a programmé ainsi. Cet excédent de poids, mon carburant, m’est indispensable pour ma très longue traversée d’Alaska à Hawaii, soit une distance d’environ 4 500 km. Oui, oui, vous avez bien entendu ! Mais attendez, il y a mieux encore ! Durant tout ce trajet, je n’ai aucune possibilité de me reposer un seul instant! Pas d’île, pas d’îlot, pas le moindre petit espace de terre sèche. Et, comme vous le savez, je ne sais pas nager.

Avec mes compagnons d’âge, je vole sans interruption au-dessus de la mer durant 88 heures, donc trois jours et quatre nuits. Certains savants ont fait un petit calcul pour arriver au résultat de 250 000 battements d’ailes. Ce qui équivaudrait pour vous à faire un quart de million de pompes.
J’aimerais à présent vous poser une question. Comment pouvais-je savoir qu’il me fallait engraisser de 70 g exactement pour arriver jusqu’à Hawaii? Qui donc m’a dit d’aller à Hawaii ? Qui m’a indiqué la direction à prendre ?

Je n’ai jamais effectué un vol de reconnaissance sur ce trajet ! L’itinéraire ne présente aucun point de repère pour mon orientation. Comment donc ai-je pu, avec mes compagnons, découvrir ces îles minuscules dans l’immensité de l’Océan Pacifique ? Si nous les avions “loupées”, nous serions tombés dans l’Océan, faute de carburant. Tout autour, en effet, à des centaines de kilomètres à la ronde, il y a de l’eau, rien que de l’eau.

Vos scientifiques se creusent encore et toujours les méninges pour comprendre comment nous déterminons et corrigeons notre itinéraire de vol. Les tempêtes nous font fréquemment dévier du cap. En dépit de cela, notre vol se poursuit à travers brouillard et pluie. Indépendamment des rayons du soleil, d’une nuit étoilée ou d’un ciel totalement couvert, nous arrivons toujours au but. En admettant qu’un jour vos scientifiques puissent percer l’un ou l’autre détail concernant ce mystère, sauraient-ils pour autant comment cette surprenante faculté s’est mise en place ?

Je veux bien vendre la mèche: Dieu, le Seigneur, a intégré dans notre organisme un système de pilotage automatique. Vos avions à réaction sont équipés d’instruments de navigation analogues. Ils sont connectés à un dispositif d’ordinateurs qui mesurent en permanence la position de vol et la comparent avec le trajet programmé. En cas de déviation, ils corrigent et redressent automatiquement le cap. Concernant notre propre système de navigation, le Créateur a programmé les coordonnées du trajet “Destination Hawaii” de telle sorte que nous puissions maintenir le cap sans peine. Considérez bien ce détail! Ce dispositif de pilotage automatique est incorporé dans un volume des plus réduits, tout en fonctionnant de manière absolument fiable!

Êtes-vous toujours persuadé que tout cela n’est que le fruit du pur hasard ? Moi, pas ! Réfléchissez donc un peu ! Supposez qu’un ancêtre du pluvier doré -peu importe ce que cela pouvait être- ait engraissé de 70 g exactement tout à fait par hasard. Croyez-vous que, de la même manière, par hasard, lui soit venue l’idée de s’envoler ? Que par aventure il ait pris la bonne direction, sans dévier, sur une distance de plus de 4 000 km?

Pensez-vous sérieusement qu’il ait pu trouver “ces îles” dans l’immensité de l’Océan, comme cela, par hasard ? Et les jeunes pluviers (de la nouvelle génération) auraient-ils pu vraiment, à leur tour, revivre ces mêmes situations hasardeuses ? Considérez-le donc bien ! La plus légère déviation du cap programmé suffirait à faire périr irrémédiablement l’espèce tout entière !
Je ne vous ai pas encore tout raconté.

J’effectue les 4 500 km de vol, en 88 heures, donc à une vitesse d’environ 51 km/h. Certains scientifiques ont découvert que, pour notre espèce, cette vitesse est idéale.
Si nous volions plus lentement, nous utiliserions trop de carburant rien que pour maintenir le “moteur” en mouvement. En vol plus rapide, trop d’énergie serait gaspillée pour surmonter les forces de frottement de l’air. Un phénomène analogue se produit d’ailleurs pour votre voiture. Si vous dépassez la vitesse de 110 km/h, la consommation d’essence augmente pour la même distance parcourue, à cause de la résistance de l’air. Seule différence : vous pouvez vous arrêter à la prochaine station pour refaire le plein! Pas moi!... Les 70 g de graisse doivent à tout prix suffire pour atteindre le but, en dépit d’éventuels vents contraires.

Avez-vous la “bosse des maths” ? Dans ce cas, prenez votre calculatrice ! Selon certains chercheurs, les pluviers de notre espèce transforment en une heure de vol 0,6 % de leur poids en énergie motrice et en chaleur. La construction de vos avions s’avère nettement plus médiocre. Par rapport à son poids, un hélicoptère, par exemple, utilise 7 fois plus de carburant que moi et un avion à réaction, 20 fois plus.
Je pèse 200 g en début de vol; 0,6 % de ce poids représentent 1,2 g. Après une heure de vol, je pèse donc encore 198,8 g dont 0,6 % correspondent à 1,19 g. Après deux heures de vol, mon poids est donc réduit à 197,61 g dont à nouveau il faut déduire 0,6 %... Vous suivez toujours? Vous verrez, même les “maths” peuvent servir à célébrer la gloire de Dieu...

Au terme de mon voyage, mon poids ne doit pas être inférieur à 130 g, sinon toutes mes réserves seraient épuisées, je ferais une chute libre dans l’océan et me noierais. Continuez vos calculs, s’il vous plaît! Après trois heures de vol, je pèse 196,42 g. Après quatre heures, 195,24. Calculez encore, j’attends vos résultats... Qu’y a-t-il? Ah bon! Vous pensez que le calcul ne peut tomber juste, vous êtes persuadés que je ne peux arriver au but avec 70 g de graisse. Vous avez constaté qu’il me faut en réalité 82,2 g de lipides. Votre calcul est tout à fait juste! Sur la base de mes données, la totalité de mon carburant serait utilisé après 72 heures de vol. Ce qui signifie qu’à 800 km du but, je serais condamné à la chute fatale.

Voyez! Mon Créateur a aussi pensé à cela. Il nous a équipés chacun de deux informations vitales.
1. Ne vole pas en solitaire par-dessus l’immense océan, mais reste toujours en groupe.
2. Pour ce vol, rangez-vous toujours en forme de “V ”.
Ce type de vol permet à chaque participant une économie moyenne d’énergie de 23 % par rapport au vol solitaire. Ce bénéfice ne profite évidemment pas à l’oiseau de tête, mais celui-ci ne remplit pas cette tâche en permanence. Comme l’effort à fournir à l’avant est plus considérable, ce sont les plus costauds qui se relaient. En queue de groupe, on utilise d’autant moins d’énergie.
C’est ainsi que nous mettons en pratique un comportement que votre Bible mentionne comme “la loi du Christ “: “Portez les fardeaux les uns des autres”.

Nous sommes ainsi en mesure d’atteindre en toute sécurité nos quartiers d’hiver. Il nous reste même à chacun quelques grammes de graisse. Notre Créateur a prévu et programmé ce petit excédent pour pallier d’éventuels vents contraires. Quelle merveilleuse prévenance!
Pouvez-vous continuer à croire que je suis le fruit du hasard et que j’ai échoué là par pure aventure ?

Tiré du livre de Werner Gitt / K.-H. Vanheiden Si les animaux avaient la parole.© CLV Christliche Literatur-Verbreitung, D-33661 Bielefeld.

vendredi 9 mars 2007

L’ORIGINE DES LANGUES, DES PEUPLES ET DES RACES



Genèse 11 v 1 à 9 : Il y a environ 4500 ans, il n’y avait qu’une seule famille, celle de Noé, car le cataclysme mondial du déluge avait éliminé tous les autres descendants d’Adam et Eve, une centaine d’années plus tôt. Ils parlaient la même langue (ils utilisaient le même code de mots) et habitaient la même région, la Mésopotamie, berceau de toutes les civilisations actuelles. Il n’y avait pas de races (groupes ethniques) puisqu’ils se mariaient entre eux, et toutes les caractéristiques physiques étaient manifestées.

Par exemple : Cham en hébreu = chaud ou bronzé, Kouch = noir, et plus tard Laban = blanc, Esaü = roux. La plupart des scientifiques créationnistes pensent qu’avant Babel, toute la palette de couleurs était représentée, mais que la couleur de peau dominante était le brun moyen.
Ils construisirent des villes avec des briques qu’ils maçonnèrent avec du bitume, puis bâtirent la fameuse tour de Babel, symbole de leur orgueil et de leur rébellion contre le Créateur (depuis ce temps-là, les hommes ont la manie de construire des tours).

Ils ne voulaient pas être disséminés à la surface de toute la terre, contrairement à l’ordre de Dieu (Ge 9 v 1). L’avantage de parler la même langue est de pouvoir mettre notre intelligence en commun et de travailler ensemble, mais à cause du péché, cela ne peut aboutir qu’au mal. Alors Dieu envoie un jugement, un châtiment : la confusion (Babel en hébreu). Les hommes ne se comprenant plus ont abandonné le chantier, et se sont rassemblé par groupes linguistiques, puis Dieu les a disséminés dans toutes les directions.


A partir de ce moment-là, ils cessèrent de se mélanger et ne se marièrent plus qu’au sein de leur groupe respectif, à cause de la barrière de la langue et de l’isolement géographique. C’est ainsi que se sont fixées les différentes caractéristiques physiques au sein de chaque peuple (taille, forme du nez et des yeux, couleur de peau et de cheveux…), donnant émergence à ce que nous appelons «races».
Il n’y a qu’un seul pigment (colorant) qui détermine la couleur de la peau, des yeux et des cheveux : La mélanine, et c’est son dosage qui fait les différentes couleurs, allant du brun foncé au beige clair.

Le facteur principal est génétique, et non pas climatique ou nutritionnel. Chaque tribu a perdue quelques informations génétiques, ou subie quelques mutations mineures, mais n’a absolument pas acquis de nouvelles informations. Le même processus s’est produit dans le règne animal et végétal.

Le créateur a prévu des variations au sein de chaque espèce, mais une espèce ne peut pas se transformer en une autre, comme le croient les évolutionnistes, en fait chacune se reproduit selon son espèce ( genèse 1 v 12 et 25).

C’est ainsi que sont nés les différents groupes ethniques ou tribus qui sont à l’origine des peuples d’aujourd’hui (au cours de l’histoire, certains groupes ont disparu, d’autres ont été absorbés, et d’autres se sont mélangé). La notion de races supérieures ou inférieures est donc totalement fausse et non-scientifique, puisque nous sommes tous de la même famille d’origine. Le racisme est un fruit empoisonné de l’orgueil humain, et a été exacerbé par la doctrine erronée de «l’évolution des espèces» qui dit que certains peuples ont évolué plus vite, et ont supplanté les autres par la sélection naturelle (survie du plus fort au détriment du plus faible), ce qui justifie les génocides racistes et les «épurations ethniques».

Il est vrai que des groupes ont perdu certaines connaissances technologiques (métallurgie, maçonnerie) ou agricoles, et ont adopté un mode de vie simple et rudimentaire (chasse, pêche, cueillette…) qu’ils ont gardé jusqu’à nos jours.
Ceux qui ont émigré vers le nord ont été confrontés au climat rude et froid de l’ère glaciaire, et se sont contentés d’habiter provisoirement dans des cavernes (Neandertal, Cro-magnon…). Plusieurs langues ont évolué, donnant naissances à de nouvelles langues (français, anglais, espagnol…) et d’autres se sont subdivisé en divers patois. Après des migrations qui furent parfois longues, chaque groupe s’est installé sur un territoire qui lui semblait favorable, nous sommes donc tous des immigrés.

Genèse 10 : Ce chapitre énumère les ancêtres des nations d’aujourd’hui, il y en a 70, c’est l’arbre généalogique de l’humanité (en tout cas les premières générations). Après Noé, il y a 3 grosses branches : Sem, Cham et Japhet, puis viennent des branches moyennes, et de nos jours, nous sommes dans les petites branches des extrémités.

Les versets 8 à 10 parlent de Nimrod (rebelle), et le 1er livre des chroniques chapitre 1 v 10 nous dit qu’il a été le 1er puissant sur la terre, c’est-à-dire le 1er homme qui s’est élevé au-dessus des autres pour dominer sur eux, fondant le premier empire mondial, celui de Babel (en grec : Babylone). L’histoire profane nous apprend que c’est là que sont nées plusieurs sciences et disciplines : médecine, pharmacie (dont les symboles sont restés jusqu’à nos jours), chirurgie, astronomie, mathématiques, géométrie, calendrier… ainsi que des «sciences» occultes telles que l’astrologie. C’est là également que serait née l’idolâtrie, la croyance à la réincarnation et à la fausse trinité (père-mère-fils). Pour plus de détails : http://religionouDieu.blogspot.com/

Plusieurs religions tirent leur origine de Babel puisque chaque tribu a emporté avec elle certains éléments de la religion initiale, en l’adaptant à son contexte et sa langue : Egypte, Canaan, Perse, Grèce, Chine, Inde, Mayas, etc... Certains (surtout les animistes) ont conservé, enfoui sous un monceau d’erreurs, la notion d’un Dieu créateur, Tout-puissant.

Selon les généalogies bibliques, seuls moyens exacts de situer les évènements, la civilisation égyptienne s'est développée juste après la dispersion de Babel (Iraq) qui est le berceau de toutes les autres civilisations. Ce ne sont pas les égyptiens qui ont inventés les pyramides, mais ils ont reproduit celles que leurs pères avaient construits quelques décennies plus tôt en Mésopotamie. Par la suite, le groupe qui a émigré depuis Babel pour l'Amérique centrale en a construit également.

Mais dans tout cela Dieu, notre créateur est absolument juste et bon. Il contrôle tout le déroulement de l’histoire, et Il a mis en place un plan de salut pour l’humanité déchue : la mort expiatoire et la résurrection de son fils Jésus-Christ. Tous ceux qui se repentent et croient en lui seront sauvés de la condamnation, et vivront éternellement dans le bonheur parfait du paradis.

Pierre Danis
pierre.danis@wanadoo.fr


LA LUMIERE DES ETOILES LOINTAINES EST- ELLE UNE PREUVE QUE L'UNIVERS EST VIEUX ?




Certaines étoiles sont à des milliers et même des milliards d'années- lumière.

Cela ne signifierait-il pas que la lumière que nous recevons maintenant de ces étoiles a mis des milliers d'années pour arriver jusqu'à nous ?

En dépit de toutes les évidences bibliques et scientifiques, pour une création récente, ceci est un problème auquel nous devons honnêtement faire face. Actuellement, il n’y a pas de solutions satisfaisantes qui soient acceptées par la majorité des scientifiques créationistes, alors nous proposerons un certain nombre d'hypothèses.

Ce que nous observons, n’est pas un vieil univers, mais nous observons certains faits à partir desquels nous pouvons déduire un âge à condition de faire au préalable certaines hypothèses. Quoiqu'elles semblent raisonnables elles sont néanmoins "des croyances" ; alors nous devons regarder attentivement à chacune de ces hypothèses à tour de rôle, en se rappelant qu'une grande humilité est nécessaire. Nous n'avons pas accès à une connaissance infinie, Dieu seul sait tout. L'histoire de la science montre que ce qui semble certain dans une génération peut être totalement détrôné par une nouvelle information dans la génération suivante.

Les hypothèses qui ont été utilisées pour donner un grand âge à l’univers par l'observation de la lumière provenant des étoiles distantes, sont les suivantes :

Présupposition 1 :

les grandes distances attribuées aux étoiles sont réelles.
Plus nous nous éloignons, plus les méthodes de mesures sont indirectes. Toutefois, même s'il y a une grande marge d'erreurs pour les étoiles très lointaines, cela n'est pas vraiment révélateur, car la structure des temps bibliques n'autorise pas plus de 6 à 10 milliers d’années. Même notre galaxie "la voie lactée" est estimée à environ 100 000 années lumière de diamètre. L’univers doit être immense compte tenu du nombre considérable de galaxies visibles.
Cependant une hypothèse intéressante est en train d'être étudiée par le physicien Russel Humphreys qui a mi le doigt sur la question réelle, à savoir :
A quelles distances étaient les galaxies quand la lumière s'est mise en route vers nous ?
La bible indique trois fois (en utilisant 3 verbes hébreux différents) que Dieu à "Etendu ou déployé les cieux (par exemple, Esaie 42 : 5/ 45 : 12/ 51 : 13/ Jéremie 10 : 12 )Puisque les cieux ont été crées avant les étoiles et les planètes, ce déploiement se réfère vraisemblablement à la création des corps célestes.

D'après le Dr Humphreys, il existe une solution à l'équation du champ gravitationnel d'Eistein qui peut permettre une très rapide expansion de l'espace et par conséquent, de toutes les choses qu'il contient. Cela pourrait donner à l'univers la possibilité de gonfler jusqu'à sa taille actuelle en moins de 6 000 ans. Par conséquent, la lumière a commencé son voyage lorsque les galaxies étaient plus proches ( et aussi plus petites et moins énergétiques ) qu'aujourd'hui. Une telle expansion engloberait symétriquement toute la matière et ne serait pas détectable par ceux « de l'intérieur ». Par contre, cela pourrait expliquer le décalage vers le rouge des longueurs d’onde de ce déploiement de la lumière des étoiles.

Présupposition II :

Nous savons avec certitude comment la lumière voyage dans l'espace profond.
En 1953 , les docteurs Moon et Spencer, qui ne sont pas créationistes, ont proposè que la lumière des étoiles a voyagé par des chemins courbés dans une structure mathématique connue comme "L'espace Riemannian". Si c'était le cas, ont-ils déclaré, la lumière la plus distante atteindrait la terre en moins de 20 ans (ils n'étaient pas en train d'essayer de prouver une création récente ou d'approuver la Bible.)

Une telle supposition est de toute évidence difficile à prouver, et a été critiquée sur le plan de l'observation . Dans une page d'un journal créationiste, V. Bounds argumentait le fait que si cette proposition était vraie, on verrait de multiples images des objets célestes. A notre connaissance, il n'y a pas encore eu de tentatives pour rejeter cette critique.
Présupposition III :

La lumière a toujours voyagé à la même vitesse tout au long de l'histoire de l'univers
Manifestement cette hypothèse est impossible à prouver, quoiqu'elle semble raisonnable au premier abord. Si la lumière était plus rapide dans la passé, alors il serait possible pour les étoiles d'être à la fois très distantes et très jeunes. Ceci pourrait être accompli soit par un changement direct dans la vitesse de la lumière, à un moment donné après la création, ou par un principe physique encore inconnu qui a provoqué le ralentissement de la vitesse de la lumière. La lumière que nous recevons actuellement des étoiles distantes, bien que voyageant à la vitesse d'aujourd'hui, aurait couvert une plus grande distance dans les années suivant la création.

En considérant ce point de vue, il est intéressant de noter que le professeur (évolutionniste) russe Troitskii, publia une étude dans le journal « Astrophysique et science de l'espace » dans lequel il déclarait que les observations relevant de la cosmologie telles que le décalage vers le rouge dans la lumière des étoiles et les radiations d'arrière-plan ( utilisées comme « preuves » du big bang ), étaient en fait mieux comprises comme ayant résultées d’un changement en C (vitesse de la lumière).Il proposait que C a commencé à une valeur presque infinie, puis a décru jusqu'à sa valeur présente.

Malheureusement, l'idée du Big Bang ( quoiqu'il y ait un nombre croissant de critiques à son encontre ) a une telle emprise dans l'imagination des cosmologistes qu'aucune autre explication pour ces phénomènes n'attire l'attention. Le travail de Troistkii est fait dans une structure de 2 milliards d'années mais le point principal à mentionner est que le changement de C ne viole aucun principe physique établi.

Ce qui est aussi intéressant , c'est la monographie publiée par les créationistes Norman et Setterfied en 1987. Ils ont accumulé toutes les mesures connues de C pour les 300 dernières années et affirment que la tabulation a montré que C n'est pas constant durant cette période, mais décline toujours jusqu'à un niveau constant dans les années 1960. Ils citent un nombre de tests statistiques qui contredisent la constante de C pendant cette période.Une hypothèse aussi radicale soulève un certain nombre de questions et de problèmes potentiels dans de nombreux domaines de la science. Certaines questions ont trouvé des réponses satisfaisantes par les partisans de cette hypothèse, d'autres non.

Heureusement les travaux futurs clarifieront certainement ce sujet mais en attendant, soyons prudents avant d'accepter cette proposition prématurément.

Présuppositions IV :

L'univers n'a pas pu être crée « prèt à fonctionner » avec des gens sur la terre voyant la lumière des étoiles .
Cela présume que Dieu n'est pas Tout Puissant . La création biblique par définition est un miracle utilisant des procédés qui ne sont pas en activité maintenant. Dieu n'est pas dépendant des lois physiques que nous observons dans le présent puisqu'Il les a instituées.

Dire que Dieu n'a pas pu créer un univers qui est à la fois très grand et très jeune défie la nature même de Dieu telle qu'elle est révélée dans Sa Parole. L'univers a été crée comme une entité en plein fonctionnement. Les étoiles créées le 4° jours l’ont été pour l'homme comme des « signes pour marquer les temps, les jours et les années » Genèse 1-14. Il n’y a aucune raison de croire qu'Adam et Eve ont du attendre 4 ans pour que la première étoile s'illumine (l'étoile la plus proche est à environ 4 années-lumière).

De même, nous ne voyons pas de nouvelles étoiles "clignoter" comme si leur lumière avait finalement atteint la terre. L'exemple qui a été mentionné précédemment par le Docteur Humphreys peut nous amener à une meilleure compréhension de la façon dont la lumière à été créée à l'origine "sur son chemin". Dans un sens, cela peut effectivement inclure un changement (apparent) de C ( les étoiles s'éloignent rapidement , le faisceau lumineux reste intact ), quoique cela ne serait pas détectable dans les mesures qui ont été faites par le passé.

Conclusion

Nous espérons que ces discussions ont été suffisantes pour rendre le lecteur capable de comprendre que le problème apparent d'un univers jeune et grand a plusieurs solutions possibles. Est-ce que la vitesse de la lumière a changé ? Si oui, est-elle devenue constante des milliers d'années auparavant, ou bien a-t-elle été détectée ?
Y-a-t’il une solution dans "l'étirement" de l'espace qui est sous-entendu dans les écritures ? Peut être une combinaison de ces facteurs ? Ou était-ce une méthode complètement différente qui a été utilisée par Dieu pendant la semaine de création pour créer un univers adulte et opérationnel, une méthode qui ne sera peut être jamais élucidée ? Quelque soit la réponse, la foi dans la Parole révélée du Créateur est le seul point de départ raisonnable pour n'importe quelle recherche.

R.Humphreys

LES JOURS DE LA CREATION



Beaucoup de chrétiens ne sont pas sûrs que Dieu ait tout créé en 6 jours ordinaires. D'autres pensent qu'il importe peu que cela ait pris 6 jours ou 6 millions d'années. Cependant, il est vital de croire en 6 jours littéraux pour plusieurs raisons. Tout d’abord, parce que la croyance aux longues périodes sape les fondements du message de l'évangile.
POURQUOI LES GENS DOUTENT-ILS DES JOURS ?

La raison principale pour laquelle on doute des jours de la création de 24 heures n'a généralement rien à voir avec ce que dit la Bible, mais vient d'influences extérieures. Par exemple, beaucoup croient que les scientifiques ont prouvé que la terre est vieille de millions d'années, et que par conséquent les jours de la création ne peuvent pas être des jours ordinaires. Si quelqu'un essaye de justifier par les Ecritures que ces jours sont de longues périodes, il utilise généralement des textes tels que 2 Pierre 3 v 8 "... 1 jour est pour le Seigneur comme 1000 ans..." et en conclut que ces jours pourraient être effectivement 1000 ans, ou même des millions d'années. Toutefois si vous lisez la suite du verset, il dit "... et 1000 ans sont comme 1 jour...".

Cela annule leur argument... Le contexte de ce passage concerne la seconde venue de Jésus-Christ. L'apôtre nous dit que pour Dieu, attendre 1 jour est comme attendre 1000 ans, et attendre 1000 ans est comme attendre 1 jour, parce que Dieu est hors du temps, Il n'est pas limité. Cela n'a absolument rien à voir avec la définition des jours de la création.
QUE VEUT DIRE "JOUR" ?

Le mot hébreu pour "jour" en Genèse 1 est YOM. Il est important de comprendre que presque chaque mot peut avoir plusieurs significations, selon le contexte. Les dictionnaires hébreux donnent un certain nombre de significations pour le mot YOM, compte tenu du contexte. L'un des textes qu'ils citent pour donner à YOM le sens de jour ordinaire est Genèse 1. Chaque fois que YOM est utilisé avec un nombre, ou avec la phrase "soir et matin", dans tout l'Ancien Testament, cela veut toujours dire un jour ordinaire. Or dans Genèse 1, YOM est utilisé avec un chiffre et avec "soir et matin", pour chaque jour de la création.

L'idée des millions d'années, est venue de la croyance que les fossiles se sont formés au cours d'une très longue période. Cela crée, bien sûr, un problème insurmontable en ce qui concerne la Parole de Dieu. Les fossiles nous apprennent que des milliards de créatures ont souffert et sont mortes. La Bible est formelle : la maladie, la souffrance et la mort sont les conséquences du péché. Dieu a institué la mort et l'effusion de sang à cause du péché afin que l'homme puisse être racheté. Si les chrétiens croient que la mort et la souffrance existaient avant le péché, les fondements du message de la croix sont détruits, la doctrine du péché originel est annulée. Si la souffrance et la mort existaient avant la rébellion d'Adam, alors qu'a apporté le péché dans le monde ?

Que veut dire Paul dans Romains 8 lorsqu'il parle de la création qui soupire dans la douleur à cause de la malédiction ? Comment toutes choses peuvent-elles être restaurées dans le futur, quand il n'y aura plus de souffrance ni de mort, à moins que ces deux choses n'aient existé au début ? Tout le message de l'évangile s'effondre si l'on accepte l'idée des millions d'années pour la création.

COMMENT DEVONS-NOUS APPROCHER LES ECRITURES ?

L'un de nos principaux problèmes (en fait, le même qu'Adam et Eve avaient ), est que nous avons tendance à nous baser sur des notions extérieures à la Parole de Dieu, et ensuite chercher à interpréter ce que Dieu dit dans la Bible (dans le cas d'Adam et Eve, ce que Dieu leur avait dit directement ). C'est la cause principale des questions que l'on se pose sur les jours de la création.
Nous avons besoin de réaliser que la Bible est la Parole de Dieu. Et qu'en tant que Parole inspirée du Créateur, éternel et infini, elle s'authentifie elle-même. Ainsi, nous devrions toujours nous baser sur ce que la Bible dit, quelles que soient les idées extérieures. Seule la Parole de Dieu est infaillible. Si nous laissons nos enfants accepter que nous avons des doutes sur les jours de la création alors que le texte est si clair, pourquoi ne douteraient-ils pas de la naissance virginale de Jésus ? Pourquoi ne douteraient-ils pas de ce que la résurrection soit réellement une résurrection ? En fait, beaucoup de théologiens doutent de ces vérités, parce qu'ils ont d'abord douté des paroles claires de la Genèse.

POURQUOI DIEU A-T-IL MIS 6 JOURS ?
Si vous y réfléchissez, Dieu aurait pu tout créer en un instant ! Pourquoi donc a-t-Il mis aussi longtemps que 6 jours ? La réponse est en Exode 20 v 11. Dieu dit qu'Il a délibérément pris 6 jours, puis s'est reposé le 7ème, pour que cela soit un modèle pour l'homme.

C'est de là que vient la semaine de 7 jours. Si les jours de la création sont de longues périodes, la semaine n'a plus de sens ! La Bible dit qu'Adam a été créé le 6ème jour. S'il a vécu le 6ème et le 7ème jour, puis est mort à 930 ans, et si chaque jour durait 1000 ans ou des millions d'années, nous sommes devant un problème insoluble. Le 4ème jour ( Genèse 1 v 14 à 19 ), nous avons la comparaison des jours et des nuits, des jours et des années. Si le mot jour ne veut pas dire un jour ordinaire, alors cette comparaison est insensée. Ces jours étaient-ils de 24 heures ? Certainement ! "Que Dieu soit reconnu pour vrai, et tout homme pour menteur ". Romains 3 v 4.




Ken Ham

Création magazine vol 18 n°1

Y-A-T-IL UNE LONGUE PERIODE ENTRE LE VERSET 1 ET LE VERSET 2 DU PREMIER CHAPITRE DE LA GENESE ?



De quoi s'agit-il ?La théorie de l'intervalle temporel est une tentative de certains théologiens à faire concorder la Genèse avec la croyance populaire d'un univers extrêmement vieux. Ils placent donc les milliards d'années des ères géologiques entre le verset 1 et le verset 2 du premier chapitre . C'est également dans cet intervalle qu'ils placent la rébellion de Satan et de ses anges.Les 2 textes généralement cités concernant la chute de Satan, sont Esaie 14: 12-15 et Ezechiel 28: 13-17, mais ces versets ne donnent aucune indication sur le moment où ces événements se sont passés.

Que dit réellement la Bible à ce sujet ?

L'auteur inspiré par Dieu Lui-même, avait pour intention d’écrire un récit historique littéral de ce que Dieu lui avait révélé et pas du tout un message crypté compréhensibles uniquement par les érudits. En d’autres termes, si Dieu avait voulu que nous comprenions qu’il y a eu un décalage temporel de quelques milliards d’années entre les versets 1 et 2, tout en incluant autant de détails sur Satan, le péché, le jugement, la re-création…, n’aurait-il pas dévoilé au moins certains de ces supposés éléments à son auteur ? Dieu ne l’a pas fait. Et ces éléments de réponse n’apparaissent nulle part ailleurs dans la Bible.

En fait, les juifs orthodoxes et les chrétiens conservateurs ont toujours lus et considérés la Genèse comme une histoire à prendre au sens littéral. Le professeur Davis Young, un géologue évolutionniste-théiste reconnaît : “On ne peut pas nier le fait que malgré les nombreuses interprétations non-littérales du chapitre un de la Genèse, l’opinion presque universellement reçue dans le monde chrétien jusqu’au 18ième siècle était que la terre n’avait que quelques milliers d’années d’existence. Ce n’est qu’à partir du développement des méthodes d’investigation modernes de la terre que cette question se posa à l’intérieur de l’église.”

D’autres passages de la Bible sonnent le glas pour la théorie de l’intervalle temporel :· Genèse 1, v31 : “Dieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, c’était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : Ce fut le sixième jour.”Ceci ne pourrait guère constituer une description exacte si l’être qui devint Satan s’était déjà rebellé ! Comment aurait-il pu y avoir des milliards de fossiles marqués par la maladie, la violence, la mort et la déchéance avant l’existence d'Adam ? Comment Dieu aurait-il pu appeler cela « très bon » si Adam et Eve s’étaient promenés sur un tas de fossiles enterrés ?
Genèse 6-9 nous décrit un déluge mondial dans lequel tous les animaux de la terre qui n’étaient pas à bord de l’arche de Noé sont morts. Comment les partisans de la théorie de l’intervalle temporel expliquent-ils les fossiles par le "déluge de Lucifer" ? Ne sont-ils pas alors forcés de conclure que le Déluge de Noé n’a laissé quasiment aucune trace ou n’a été qu’un phénomène local. Un Déluge qui est décrit dans la Bible est sans nul doute possible une meilleure source de fossiles qu’un Déluge hypothétique que la Bible ne mentionne même pas !
Exode 20:11 : « Car en six jours, l’Eternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui s'y trouve, et il s’est reposé le septième jour : c’est pourquoi l’Eternel a béni le jour de repos et l’a sanctifié ». C’est le seul verset hors de la Genèse qui fait référence au cadre temporel de la création. Il établit catégoriquement que Dieu a tout crée en six jours. Il n’y a simplement aucune place pour un intervalle temporel.

Dans Romains 5:12 on peut lire : « Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort ». Adam a été crée le sixième jour, mais la théorie classique de l’intervalle temporel dit que la mort existait déjà avant le premier jour. Il n’en est pas ainsi d’après l’Apôtre Paul ! Ce verset dit clairement que la mort est entrée dans le monde à cause du péché d’Adam. Il n’y a rien qui limite ce verset à la mort humaine , car Romains 8:20 dit que toute la création a été soumise «à la vanité ».

La mort ne pouvait donc pas être dans le monde avant qu' Adam ait péché. Les défenseurs de la théorie de l’intervalle temporel doivent alors limiter l’interprétation de Romains 5:12 et Genèse 3:3 à la mort spirituelle. Cela reste inexact. car Adam est mort spirituellement à l'instant où il a mangé le fruit défendu , puis le processus de la mort a commencé à faire son chemin dans son corps ( genèse 2:17 - hebreu : Mourir, tu mourras ) pour aboutir à la poussière , ( Genèse 5:5) . Jésus a vécu la mort physique et la mort spirituelle pour nous sur la croix ( Mathieu 27:46). A voir aussi 1 Corinthiens 15:21-22.

LES SUPPOSÉES PREUVES BIBLIQUES DE L’INTERVALLE TEMPOREL

Les arguments des défenseurs de cette interprétation reposent largement sur les traductions alternatives de quelques mots hébreux.1. Le mot Hébreu bara («crée à partir de rien ») et asah («fait»).Genèse 1:1 utilise bara et Exode 20 ; 11 utilise asah. Les défenseurs de l’intervalle temporel clament que Exode 20:11 fait référence à la re-création, re-formation d’un monde ruiné parce qu’ils déclarent que bara et asah ne sont pas interchangeables.

La réponse :

1. Le mot Hébreu bara est utilisé trois fois dans Genèse 1, pour représenter la création d’une nouvelle entité – quelque chose qui n’existait pas avant.Dans Genèse 1:1 bara est utilisé pour la création des cieux et de la terre.Dans Genèse 1:21 bara est utilisé pour la création de la première vie animale consciente (ou nephesh).Dans Genèse 1:27 bara est utilisé pour la création du premier homme, c’est à dire la vie humaine – faite à l’image de Dieu.

Mais Genèse 1:26 cite les mots suivants de Dieu : « Faisons l’homme à notre image » alors que le verset suivant dit : « Dieu créa l’homme à son image ». La même action est décrite ici par les deux termes bara et asah, qui sont donc interchangeables. De plus Genèse 2:4 dit : « Voici les origines du ciel et de la terre, quand ils furent créés » (bara). « Lorsque l’Eternel Dieu fit (asah) la terre et les cieux ». Ici bara et asah sont utilisés en parallèle tels des synonymes démontrant à nouveau qu’ils sont interchangeables.
2. “Etait” (en Hébreux Hayetah) dans Genèse 1:2 est traduit “devint” par les défenseurs de l’intervalle temporel donnant la version suivante : « Et la terre devint (ou était devenue) informe et vide. »

A. C. Custance consacre presque les 4/5ème de son ouvrage Informe et vide en incluant 13 appendices pour apporter son soutien à cette traduction et particulièrement l’utilisation du plus-que-parfait “était devenu”. Cependant, des exégètes et des linguistes reconnus ont presque unanimement rejeté les traductions “devint” et “était devenue”.

3. Les mots Hébreux tohu et bohu, traduits par “informe” et “vide” dans Genèse 1:2 indiquent d’après les défenseurs de l’intervalle temporel une destruction par jugement plutôt que quelque chose qui est en cours de construction. Mais tohu qui apparaît plusieurs fois dans la Bible «prend un sens moralement neutre, décrivant quelque chose d’inachevé et de confus, mais pas nécessairement diabolique ! » .

Les érudits hébreux et l’église ont enseignés des siècles durant que Genèse 1:2 n’était pas une scène de Jugement ou un stade diabolique provoqué par la chute des anges, mais la description du stade non-developpé originel de l’univers. Le sens littéral est que le premier jour, il y avait une masse couverte par les eaux, sans aucune terre sèche abritant une quelconque forme (tohu : informe) et pas encore d’habitants (bohu : vide).

4. Les ténèbres. Parce que Dieu est lumière (1 Jean 1 : 5), et que dans la Bible le mot « ténèbres » est quelquefois utilisé pour le jugement des méchants, ( Exode 10 : 21, Esaïe 13 : 10, Joel 2 : 31, Mathieu 27 : 45, …) certains défenseurs de la théorie de l’intervalle temporel, ont affirmé que Genèse 1 : 2 fait référence à un état mauvais. Ceci est une erreur de logique. « Le symbole a été mélangé avec la chose qu’il symbolise au point que le symbole lui-même est à présent considéré comme malveillant ! » La terre n’aurait pu être autre que ténèbres, car la lumière n’avait pas encore été crée.

En effet, Genèse 1 : 3 : « Et Dieu dit que la lumière soit » devrait suffire à éliminer cette théorie. Si le soleil, la lune et les étoiles ont été crées «au commencement » ( comme l’affirment les nouveaux défenseurs de la théorie du décalage temporel , pourquoi Dieu avait-t-Il donc besoin de créer la lumière (verset 3) après le supposé décalage temporel entre les versets 1 et 2 ?

AUTRES PROBLEMES :

1. De nombreux fossiles d’animaux sont quasiment identiques à des animaux encore vivant aujourd’hui. Les défenseurs de la théorie du décalage temporel sont confrontés au pourquoi et au comment de ce phénomène sans qu’il y ait une ligne de descendance directe avec ceux qui auraient été exterminés lors de la prétendue destruction du monde du verset 2.

2. Les Défenseurs de la théorie du décalage temporel choisissent d’ignorer les paroles de Jésus dans Marc 10 :6 : « Mais au commencement de la création, Dieu a créé l’ homme et la femme. » Notre Seigneur lui-même n’a pas mentionné de longue période entre Genèse 1 :1 et la création d’Adam et Eve.

3. De toute façon il existe bien des preuves scientifiques qui se recoupent pour affirmer que la terre n’est pas si ancienne que ça.

4. Le fait même que certains aient besoin d'un décalage temporel démontre une façon de procéder qui est à l’envers. C’est sous l'influence des philosophies humanistes et évolutionnistes qu'ils interprètent la Bible, plutôt que l’inverse.


CONCLUSION


Bien que la théorie du décalage temporel part d’un bon sentiment, elle ne trouve aucune confirmation linguistique, théologique, ou pratique. Déclarer que la mort existait avant même que Adam ait péché, est totalement contraire à la déclaration biblique que la mort fut la conséquence du péché d’Adam. Cela même qui a nécessité la mort de Jésus Christ sur la croix et Sa résurrection pour la Rédemption de l’humanité toute entière.



R.Grigg (Australie) Ex-missionnaire avec OMF

jeudi 8 mars 2007

L’information



La vie apparaît sous des formes variées et plus ou moins complexes. Mais mème la cellule la plus simple est d'une constitution si compliquée et d'une finalité telle qu’elle dépasse tout ce que l'esprit humain a pu inventer. Pour expliquer l'origine de la vie, deux thèses opposées sont en présence : l'évolutionnisme et le créationnisme.

La première donne de la vie la définition suivante : La vie est un événement purement matériel, qui peut donc se décrire en termes physico-chimiques, et elle se différencie de la matière inerte uniquement par sa complexité...

Depuis Darwin, la théorie évolutionniste a été battue en brèche par des spécialistes de différentes branches de la science (informatique, biologie, astronomie, paléontologie, géologie, médecine).


A la base de la controverse création/évolution il y aura toujours une opposition irréductible, liée au fait que les deux thèses proposent un modèle de référence radicalement différent.

On pourrait sortir de cette impasse au moyen d'un système reposant exclusivement sur des expériences scientifiques. Mais il faudrait alors que ces expériences ne prêtent flanc à aucune critique, car le seul fait de réaliser une contre-expérience solidement prouvée ou d'apporter des démentis bien étayés suffirait à discréditer la théorie scientifique en question.


Si aucune expérience contraire ne vient s'opposer à la théorie, celle-ci gagne en certitude et pourra valablement interpréter des faits encore inexplicables. Ainsi, on peut s'appuyer sur toutes les expériences qui prouvent que l'énergie est indépendante du système de référence considéré. C'est ce qui a rendu possible le vol sur la lune jamais entrepris auparavant car les techniciens étaient certains de l'absolue validité de cette loi dans n'importe quelles conditions.


Les affirmations relatives à l'échange d'informations sont d'une fiabilité comparable.

Nous disposons donc d'un argument extrêmement solide sur le plan des lois naturelles. La matière et l'énergie sont certes des grandeurs fondamentales nécessaires aux organismes vivants, mais elles ne différencient pas les organismes vivants de la matière inanimée. Ce qui caractérise formellement tout organisme vivant, c'est l'«information» qu'il contient et qui lui est indispensable pour le déroulement de sa vie. C'est l'information qui régule toutes ses fonctions vitales, c'est l'information génétique qui préside au processus de multiplication.


La transmission des informations joue un rôle considérable dans tout ce qui vit. Ainsi, lorsque des insectes transportent le pollen d'une fleur à une autre, c’est avant tout le transfert d'une information de nature génétique. La matière qui sert de support à cette information n'a que peu d'importance. L’information ne décrit pas encore la vie dans sa totalité et sa complexité, mais elle en constitue un élément essentiel.C'est sans aucun doute l'homme qui possède le système de traitement d'information le plus sophistiqué. Si on totalise toutes les informations conscientes (parole, mouvement volontaire des membres, etc) et inconscientes (système neurovégétatif, système hormonal), on arrive à un chiffre d'environ 10 puissance 24 bits par jour ! Ce chiffre astronomique qui exprime la quantité d'informations traitées journellement par l'homme est un million de fois plus élevé que la somme de toutes les connaissances consignées dans toutes les bibliothèques du monde, évaluées à 10 puissance 18 bits.


Si l'on examine la question de l'origine de la vie en s'appuyant sur le théorie de l'information, il faut considérer, comme dans tout système qui transmet ou traite l'information, les théorèmes suivants : 1. II n'existe aucune information sans code. 2. II n'existe pas de code sans accord réciproque libre. 3. II n'existe pas d'information sans émetteur. 4. II n'existe pas de chaîne d'informations qui n'ait pas à son origine un créateur spirituel. 5. II n'existe pas d'information sans une source spirituelle préalable, autrement dit, dans son essence, l'information est une grandeur spirituelle et non matérielle. 6. Il n'existe pas d'information sans une volonté qui lui donne naissance. 7. II n'existe pas d'information sans les cinq niveaux successifs suivants: ·


Statistique ((fréquence de l'information et de son transfert) · Syntaxique (aspect du code et de la manière dont l'information est composée) · Sémantique (étude de la signification) · Pragmatique (manipulation de l'information) · Critique (analyse du résultat et de l'objectif final) 8. Il n’existe aucune information qui soit le fait du hasard. Ainsi, en opposition à l'évolutionnisme, on peut définir la vie comme suit :La vie se compose d'un support matériel (aspect physico-chimique)et d'une partie immatérielle (l'information venant d'une source spirituelle).

Cette formule brève montre que la vie possède une composante immatérielle à coté de sa composante matérielle. La partie immatérielle comprend l'information venant d'une source spirituelle. Mais cela ne suffit pas pour décrire la partie immatérielle de la vie. Peu après la mort, les cellules du corps contiennent encore l'information génétique, mais il manque cependant ce qui fait toute la différence entre la vie et la mort. Cette différence est visible pour tous, méme si elle est insaisissable scientifiquement.

Jusqu'à présent, aucune des conceptions propagées, relatives à la naissance autonome de l'information dans la matière, n'a pu être démontrée par l'expérience. Les huit propositions indiquées ci-dessus ont été maintes fois confirmées par l'expérience et n'ont jamais été prises en défaut dans aucun laboratoire du monde. Il est donc légitime de se poser la question suivante : «La vie ne procéderait-elle pas d'une intention créatrice délibérée?..


C'est cette intention que révèle la Bible. La source spirituelle de toute information et par conséquent la source de l'information biologique, nécessaire à la science informatique, apparaît dès les premiers mots de la Bible : «Au commencement, Dieu créa .... (Genèse 1 v 1). La théorie évolutionniste prétend, quant à elle, que l'information présente dans l'organisme vivant n'a pas besoin d'émetteur. Cette affirmation est démentie tous les jours par l'informatique. C'est pourquoi cette science fournit aujourd'hui les arguments les plus solides en faveur d'une création des êtres vivants.

Werner Gitt, Directeur de l’Institut National de Physique (Allemagne).

mercredi 7 mars 2007

L'homologie







La ressemblance de structures


La comparaison des êtres vivants révèle beaucoup de similitudes. " Chez les vertébrés, le squelette du membre antérieur est un magnifique exemple d'homologie : tous les os du bras, de l'avant-bras, du poignet, de la main et des doigts ont chacun leur correspondant chez le rat, le chien, le cheval, la chauve-souris, la taupe, le marsouin ou l'homme . " Nul ne conteste ces similitudes. Mais la théorie qui les explique par une descendance commune est loin d'être aussi satisfaisante qu'on le croit .

Le fossé qui sépare l'oiseau du reptile est si énorme qu'il est infranchissable. Quels sont les changements, les mutations nécessaires ? Notons en quelques-uns de taille :
la création d'une aile ;
l'allégement des os (les os d'un oiseau sont creux) ;
les écailles qui se changent en plumes ;
la création de poumons d'oiseau, qui sont radicalement différent des poumons d'un reptile ;
l'augmentation importante de capacité cérébrale ;
la métamorphose du système sanguin : du sang froid au sang chaud.

Les exigences du vol sont précises. Vers le début du 20e siècle, l'homme a finalement créé des machines qui lui permettent d'imiter pitoyablement ce que les oiseaux font avec grande aisance. Car l'aile d'un avion est un jeu d'enfant par rapport à l'efficacité d'une aile d'oiseau. L'aile d'un oiseau est une merveille technologique. Elle est à la fois son moyen de propulsion et de maintien dans l'air. L'oiseau peut faire avec son aile des prouesses qui font rêver les constructeurs d'avions : il peut la rétrécir ou l'allonger ; il peut changer sa configuration en écartant ou serrant les plumes ; il peut changer constamment l'angle d'attaque de chaque aile indépendamment de l'autre. Un avion exige des centaines de mètres pour décoller ou atterrir ; un oiseau arrive à le faire à partir d'une branche.

Imaginez alors que cette aile ait émergé par hasard, par une succession sans nombre de mutations fortuites, sur le dos des lézards, à travers des milliers de générations. D'abord il y a la petite bosse, juste au bon endroit - car l'aile doit se situer exactement au centre de gravité.
Ensuite, cette bosse que voici se développe, sans plan ni prévision, uniquement sous la pression de la sélection naturelle qui favorise les mieux adaptés. Seulement, cette aile en voie de développement risque fort bien de constituer un inconvénient plus qu'un avantage - un bagage lourd à porter, mais inutile avant d'être complètement formé. En effet, il est très difficile d'imaginer les dizaines de milliers de générations de chaînons (qui sont effectivement manquants) qui auraient dû exister entre le reptile et l'oiseau.

Mais ce n'est pas la seule difficulté, car l'aile n'est qu'un élément parmi plusieurs. Il faut croire que tous les changements radicaux nécessaires au vol se font parallèlement, en même temps que l'aile grandit. Considérons un instant la structure d'une " simple " plume : Chaque plume consiste en une tige centrale portant une série de barbes disposées à angle droit qui forment la lame. Les barbes de la lame sont attachées entre elles par des rangées de barbules.

A partir des barbules antérieures, des crochets font saillie vers le bas et s'entrecroisent avec des crochets portés par les barbules postérieures. Dans la rémige d'un grand oiseau, près d'un million de barbules coopèrent pour lier les barbes en une lame étanche . La plume d'un oiseau est alors en elle-même un chef-d’œuvre de construction. Ces petits crochets font que la plume est à la fois très légère et résistante, tout en lui donnant une très grande efficacité dans le vol :
Les plumes permettent aussi à l'oiseau d'utiliser une géométrie variable pour modifier la forme et les propriétés aérodynamiques de ses ailes au décollage ou à l'atterrissage.

Chez la plupart des oiseaux, le positionnement des plumes est assuré par un système complexe de tendons qui leur permet d'adopter différentes configurations : lorsque l'aile s'élève, les plumes s'ouvrent comme les lames d'un store vénitien, tandis qu'elles se ferment complètement pendant que l'aile s'abaisse... Vu la perfection, la finesse, et l'efficacité de l'aile dans ses moindres composants, il faut beaucoup de foi pour croire que c'est le produit de millions de mutations successives pratiquées sur le dos d'un lézard ! Quand on considère la beauté et le dessein ingénieux de la plume, croire que les écailles sont devenues des plumes, c'est croire aux miracles !

L'Archéoptéryx a bel et bien existé, mais l'examen des fossiles porte à croire que ses ailes étaient parfaitement formées, avec des plumes, et capables de vol. Il ne peut alors être considéré comme un chaînon entre reptile et oiseau ; c'est plutôt une espèce d'oiseau qui a disparu de la Terre.

Ainsi, une difficulté majeure, voire insurmontable, de la théorie générale de l'évolution est son incapacité d'expliquer la formation de nouveaux organes et structures. Darwin lui-même reconnaissait ce problème, car il a écrit : " Il semble absurde au possible, je le reconnais, de supposer que la sélection naturelle ait put former l’œil... " Il a eu raison d'être troublé, car l’œil, comme tout autre organe important d'ailleurs, n'est pas un élément isolé dans le corps. Pour que l’œil fonctionne, il est nécessaire que tout un réseau soit en place, comme pour une caméra de télévision hautement perfectionnée :

· la partie " mécanique " de l’œil, avec les muscles oculomoteurs qui assurent sa mobilité ; la cornée, l'iris, et le cristallin, qui constituent un système perfectionné de mise au point automatique ; pour n'en donner que quelques-uns...
· la partie " photo-électrique ", avec, pour l’œil humain, ses quelques 125 millions de cellules photo-électriques qui envoient leurs informations par le moyen de près de trois millions de circuits cellulaires appelés ganglions. Le film le plus sensible utilisé par les photographes a besoin de capter au moins 25 photons pour détecter de la lumière. Certains yeux arrivent à détecter un seul photon, toute la partie " électronique ", celle qui traite les signaux et les rend " visibles " pour nous. C'est cette partie de notre cerveau qui est tout aussi essentielle à la vision que l’œil.

La difficulté consiste à faire évoluer séparément tous ces systèmes, mais en même temps et au bon endroit : On peut imaginer qu'à l'origine, par variation brusque et fortuite, certaines cellules tégumentaires (cellules des tissus recouvrant le corps des animaux) devinrent photosensibles, photo-réceptives et que leurs possesseurs supplantèrent les individus invariés. De nouvelles mutations firent apparaître de nouvelles parties qui s'ajustèrent exactement les unes aux autres.
Mais le problème devient bien plus ardu quand on se représente que l’œil résulte de l'évolution coordonnée de deux ébauches, l'une ectodermique (cornée, cristallin), l'autre nerveuse (rétine) et que le progrès de l'organe va de pair avec celui de l'encéphale. ...Il faut admettre que les mutations furent en si grand nombre et de nature si variée que parmi elles, parurent se trouver celles qui, précisément, étaient utiles. Mais encore fallut-il que la mutation nécessaire se présentât à point nommé. Pour celui qui refuse d'y voir l’œuvre de Dieu, le seul outil disponible pour le façonnage de l’œil est la mutation.

Le dictionnaire définit ainsi une mutation :
Apparition, dans une lignée animale ou végétale, de caractères héréditaires nouveaux, par suite d'un changement dans la structure des chromosomes (qui sont les éléments de l'ADN qui déterminent ces caractères) . Il n'est pas inexact de dire que toute mutation est un défaut dans la transmission du patrimoine génétique d'une génération à l'autre. Pour cette raison la mutation est un événement rare, et la quasi-totalité des mutations sont néfastes à l'organisme. Il est aussi facile de comprendre que plus une mutation est importante, plus elle est dangereuse.

Quand un constructeur change la couleur de la peinture indiquée sur le plan de la maison qu'il construit, les conséquences ne sont pas très sérieuses. Mais quand il change la section d'une poutre qui soutient la toiture, cela peut avoir des retombées graves. A plus forte raison dans un organisme où tout est lié. Une mutation qui change sensiblement le fonctionnement d'un membre du corps doit être obligatoirement accompagnée par d'autres mutations qui permettent au reste du corps de s'y adapter.
Ce problème ne date pas d'aujourd'hui. C'est ce qui a fait de Cuvier un grand sceptique au début du 19e siècle : Tout être organisé forme un ensemble, un système unique et clos, dont les parties se correspondent mutuellement et concourent à la même action définitive par une réaction réciproque. Aucune de ces parties ne peut changer sans que les autres changent aussi...

James Crow l'exprime d'une manière plus moderne : Car une mutation est un changement aléatoire dans un corps humain hautement organisé et qui fonctionne normalement sans accrocs. Un changement aléatoire dans un système hautement intégré de processus chimiques, c'est-à-dire la vie, va certainement faire des dégâts - exactement comme une manipulation aléatoire de connections dans un poste de télévision ne va pas, selon toute probabilité, améliorer l'image . Les évolutionnistes citent l'homologie, ou la similitude de structures, comme l'une des meilleures preuves de la parenté des êtres vivants.

Mais très souvent, cette même similitude devient assez embarrassante. D'abord, parce que tous reconnaissent que des organismes très différents peuvent posséder des structures presque identiques. C'est si courant que la science a donné un nom à ce phénomène : la convergence. Par exemple :
Les yeux de la pieuvre ressemblent beaucoup aux yeux humains, mais on ne les mettrait jamais dans la même branche évolutive. Il y a parfois une ressemblance presque parfaite entre certains marsupiaux de l'Australie avec leurs homologues placentaires : structure du squelette, dents, crâne tellement proche que seul un expert peut les distinguer, mais personne ne les considère comme des parents proches .

Le vol : Pour qu'un animal non-volant puisse acquérir cette capacité, il faudrait que presque toute sa structure soit modifiée par l'évolution. Et pourtant, selon cette théorie, cela est arrivé...non seulement une fois, pour les oiseaux, mais au moins dans quatre classes d'animaux distincts : les mammifères, tels que la chauve-souris, les insectes, les oiseaux, et même les reptiles, car nous possédons des fossiles de reptiles volants .

L'homologie présente une autre difficulté pour la théorie de l'évolution, au niveau de l'ADN et des gènes. Si le squelette de tous les vertébrés a conservé " le même plan, la même structure fondamentale héritée d'un ancêtre commun ", c'est parce que cet ancêtre leur a transmis les mêmes gènes. Ainsi, si deux animaux possèdent des structures homologues héritées d'un ancêtre commun, normalement cette similitude doit trouver son reflet dans les gènes des deux. Autrement dit, les gènes qui déterminent les structures homologues doivent eux-mêmes se ressembler, ou être homologues. Mais ce n'est pas le cas : ces gènes sont le plus souvent complètement différents, sauf dans le cas d'espèces très proches l'une de l'autre .

Comment expliquer l'homologie qui existe entre les organismes ? Pourquoi une telle similitude ? Est-ce la preuve que " le dernier, incontestablement, est descendu du premier " ?
Au risque de trop simplifier la question, une autre explication est tout aussi crédible. De nos jours, nous avons souvent l'occasion de voir des lotissements où toutes les maisons sont presque identiques. Pour quelle raison ?
Parce qu'elles sont issues l'une de autre ? Mais non !
Elles se ressemblent parce qu'elles ont toutes été construites par un même constructeur, avec les mêmes matériaux, pour répondre aux mêmes exigences imposées par les autorités, le climat et d'autres facteurs de l'environnement. Elles sont la réalisation de plans conçus par un seul architecte. Il n'est pas difficile de penser que le Créateur, l'Architecte et le Constructeur de l'univers, par l'emploi des mêmes éléments et pour répondre au mieux aux conditions de notre terre, a su imaginer et créer d'infinies variations à un plan global pour tout organisme vivant.

Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de relation entre certains organismes. La possibilité de variation au sein d'une même espèce est très grande. La différence entre le chihuahua (ce petit chien qui tient dans une main) et le saint-bernard est énorme. Et pourtant, ils sont tous deux de la même espèce. Par le biais de la sélection naturelle (ou artificielle, comme dans le cas cité), les possibilités de variation sont immenses, mais quand même limitées. De tous les milliards d'êtres humains, il n'y en a pas deux qui soient identiques, exception faite des jumeaux, mais ils restent quand même des humains. L'isolement géographique a contribué à diversifier les pinsons des Galápagos, mais non pas à créer un tout autre oiseau.

Les expériences faites en sélection artificielle montrent toutes que la variation génétique présente des limites infranchissables. On augmente la productivité du maïs, la quantité de sucre dans les betteraves, la vitesse de croissance du bétail, mais jusqu'à un certain point seulement. Ces réalités scientifiques s'accordent parfaitement bien avec le récit biblique de la création. Selon le premier chapitre de la Bible, Dieu a créé tout être vivant " selon son espèce. " On y voit non pas un arbre généalogique mais une forêt d'arbres généalogiques. Dieu a créé plusieurs sortes d'organismes vivants, tous avec une grande capacité de variation et d'adaptation.

Nous avons déjà comparé ce polymère d'ADN, qui est enfoui dans toutes les cellules vivantes, à une sorte de bibliothèque qui contient toutes les instructions nécessaires à la formation de l'organisme. Nous pouvons pousser plus loin cette comparaison. Les mêmes règles et principes qui gouvernent un langage s'appliquent aussi aux processus de stockage d'information dans l'ADN. La structure statistique d'une langue imprimée se manifeste par la fréquence des lettres, diagrammes,..., fréquence des mots, etc. ainsi que par les règles d'orthographe, de grammaire...

Il est important de savoir que nous ne procédons pas par analogie. L'hypothèse des séquences s'applique directement à la protéine et au texte génétique aussi bien qu'à la langue écrite. Le traitement est alors mathématiquement identique . Sans vouloir entrer dans les détails, il paraîtrait alors qu'il existe une ressemblance formelle entre l'écriture de la langue parlée dans un livre et celle du " texte génétique " dans ce minuscule ruban qu'est l'ADN. Car ce polymère est composé d'éléments comparables à des lettres discrètes (les nucléotides) ainsi que d'espèces de longues phrases (les gènes, qui comptent en moyenne un millier de nucléotides). Vu de cette perspective, il est inimaginable que cette " écriture " soit non seulement inventée mais aussi utilisée par le pur hasard.

Michael Denton, dans son livre, "l'Evolution, Une théorie en crise", montre combien il est difficile de trouver ou de modifier des mots et des phrases par hasard pour obtenir une information intelligible. Si trouver des mots par hasard pose problème, c'est surtout parce que l'espace de toutes les combinaisons de lettres possibles est immense et que l'écrasante majorité de ces combinaisons n'ont aucun sens. [...] Bien entendu les phrases même les plus courtes sont encore plus rares, et la rareté des phrases longues est un défi à l'imagination.....

Denton n'arrête pas là la discussion. Il montre ensuite qu'il est impossible de changer un mot d'une phrase au hasard sans transgresser les règles de grammaire qui exigent une combinaison rigoureuse non seulement de lettres, mais aussi de noms, de verbes, et ainsi de suite. Il arrive à la conclusion que toute phrase est un système complexe que le hasard ne peut ni formuler ni transformer.
Puisque " le texte " génétique est gouverné par les mêmes principes que la langue écrite, il est difficile de ne pas arriver aux mêmes conclusions concernant l'ADN. Cette comparaison nous montre aussi pourquoi la mutation fortuite est presque toujours nocive à l'organisme. Car une mutation n'est autre que la substitution de " lettres " ou de " mots " dans le texte génétique. Un petit changement dans une phrase n'est pas invraisemblable. Mais toute transformation majeure, qu'il s'agisse d'une mutation isolée ou de plusieurs mutations accumulées, détruit immanquablement l'information que la phrase contient.

Le professeur Schützenberger est aussi convaincu de l'impossibilité de modification majeure dans le code génétique : Une modification typographique d'un programme informatique ne change pas un peu le programme, elle l'annule purement et simplement. Il en va de même avec un numéro de téléphone. Si j'essaie d'appeler par téléphone un correspondant, il importe peu que je me trompe sur un, deux, trois ou huit chiffres de son numéro. [...] Il y a toute une grammaire de formation des protéines, en trois dimensions, que l'on connaît encore bien mal.

Nous ne disposons d'aucune règle physico-chimique nous permettant de relier de manière intelligible les modifications typographiques à une structure biologique efficace . Cette difficulté n'est pas une lacune mineure dans la théorie générale de l'évolution, elle sape sa fondation même. La science permet de comprendre de plus en plus comment la cellule fonctionne, de quoi elle est faite et comment elle se reproduit. Mais il est arrogant de croire que par cela nous nous sommes débarrassés de Dieu. Le contraire est vrai. La vraie science ne fait que découvrir comment Dieu agit dans notre monde.

Et chaque cellule est, en fin de compte un livre écrit et signé de la main du Créateur, complètement hors de portée du hasard.

J'habite à 3 kms du lac du Bourget, et au pied de la montagne d'oû j'ai pris cette photo...

J'habite à 3 kms du lac du Bourget, et au pied de la montagne d'oû j'ai pris cette photo...
Ma région (Savoie) France

Voici un livre intérréssant

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Ce sont des généralités sur l'évolution

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  • "Qu'est-ce que la science?"
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