je partage simplement ce que j'ai découvert au cours de 45 ans de lecture de la Parole de DIEU...
Nous vous proposons des sujets de réflexion qui remettent en question le point de vue conventionnel de l’origine de l’univers, de la vie et de l’homme. Notre but est de faire connaître le point de vue créationniste, qui est basé sur le texte de la Genèse ainsi que sur les observations scientifiques. Bonne lecture. Ps : Pour lire les autres articles, cliquez sur l'année, le mois, puis le titre qui se trouve en bas à gauche de la page.
je partage simplement ce que j'ai découvert au cours de 45 ans de lecture de la Parole de DIEU...
AFP
Les virus géants, comme le "Marseillevirus" découvert par une équipe française, ont un patrimoine génétique composite, ce qui remet en question la notion darwinienne d'ancêtre commun à toutes les espèces.
Tout comme le Mimivirus, découvert en 2002 et le Mamavirus, le plus grand de tous décrit en 2008, Marseillevirus a emprunté en partie son patrimoine génétique aux espèces qu'il côtoie, a expliqué leur découvreur Didier Raoult à l'AFP.
Les Marseillevirus "sont une nouvelle famille virale entière", souligne le chercheur, qui dirige à l'université d'Aix-Marseille 2 (sud de la France) l'unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes.
Leur "squelette génomique", c'est à dire les gènes qui leurs sont propres, sont "très différents des autres virus à ADN" mais l'ensemble de leurs gènes, ou répertoire, "montre qu'il y a un échange avec les autres micro-organismes, gros virus et bactéries qui vivent dans les amibes", explique le scientifique.
Les amibes, êtres unicellulaires qui peuvent être des parasites de l'animal ou de l'homme, "sont un lieu de création, un genre de dieu des virus et des bactéries", selon M. Raoult.
"Le melting pot génétique des amibes paraît produire des organismes aux génomes complexes", selon l'étude que Didier Raoult, Bernard La Scola et leurs collègues publient cette semaine dans PNAS, la revue de l'Académie des sciences américaine.
"Avec un génome de 368.000 paires de bases, Marseillevirus est le 5ème plus grand génome viral séquencé. Son diamètre est d'environ 250 nanomètres (soit 250 millionièmes de millimètre", indique dans un communiqué le Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Mamavirus compte pour sa part plus de 2 millions de paires de bases, contre quelques dizaines de milliers pour les petits virus.
Les gènes identifiés sur Marseillevirus proviennent de sources très différentes, issues des trois grandes branches du règne du vivant, à savoir les eucaryotes (animaux et plantes dont les cellules ont des noyaux), bactéries et archées (un autre groupe d'organismes unicellulaires distinct des bactéries), ainsi que d'autres virus géants comme le Mimivirus.
La découverte des virus géants, qui présentent certaines caractéristiques propres aux bactéries a remis en cause la pertinence de la définition des êtres vivants, dont les virus avaient été exclus parce que contrairement aux bactéries, ils sont incapables de se reproduire sans cellule hôte.
Mais la découverte en 2008 de Sputnik, un virus de virus, encore appelé virophage, capable d'infecter le Mamavirus pour s'y répliquer, a montré que ce dernier pouvait "tomber malade", ce qui suppose qu'il s'agit bien d'un organisme vivant.
"Dire que les virus ne font pas partie de l'arbre de la vie n'a pas de sens, car l'arbre de la vie darwinien n'existe pas, c'est un fantasme littéraire", affirme aujourd'hui M. Raoult. Il en veut pour preuve que "quand vous parlez de virus qui sont des mosaïques (de gènes), vous ne pouvez pas mettre cela sur un arbre".
"L'idée de l'ancêtre unique est un contre-sens. C'est un idée darwinienne, mais Darwin avait tort", explique ce scientifique pour qui "il y a autant d'arbres que de gènes".
Reprenant l'idée de rhizome qui, contrairement à l'arborescence, est un modèle d'organisation sans subordination hiérarchique développé dans les années 1970 par les philosophes Gilles Deleuze et Félix Guattari, M. Raoult propose de "changer l'arbre de la vie par le rhizome de la vie".
Voici quelques évidences pour nous aider à comprendre que la croyance en la théorie de l'évolution n'a aucun fondement scientifique.
Il n'est pas nécessaire d’être très instruit pour comprendre qu'il y a un plan intelligent en toute chose dans la nature, et l'univers.
🐼
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Le chapitre 3 de la Genèse est unique au monde. C'est le seul récit qui nous faire connaitre l'origine de la souffrance, de la maladie, de la mort, et de tout nos problèmes.
Il s'agit d'une doctrine fondamentale, et non pas d'un sujet secondaire.
Etudiez-le attentivement !
L'évolution est
le carburant derrière le racisme:
Une brève histoire des préjugés raciaux inspirés de Darwin
Jerry Bergman
Les émeutes qui ont tourmenté le monde au
cours des dernières semaines ont été, selon mon expérience, les pires que j'ai
vues de ma vie. Même celles qui se sont produites après le meurtre de Martin
Luther King, Jr. n'étaient pas aussi violentes. Je suis né et j'ai grandi à
Detroit et je me souviens des émeutes raciales, des incendies et des pillages
sur la 12th Street, non loin de l'endroit où j'ai passé neuf ans à l'Université
Wayne State pour mes diplômes de licence, de maîtrise et de doctorat. Une
description suit :
Des images brûlantes de partout au pays
remplissent nos écrans, rappelant que le passé racial reste une brûlure non
cicatrisée dans le présent américain. …. Cela devient très proche de chez nous.
Certains ont appelé le racisme le "péché originel" de l'Amérique.
D'où de nombreux Blancs du passé ont-ils eu la mauvaise idée que leur vie
compte plus que la vie des Noirs ? La question est complexe mais, sans aucun
doute, la théorie darwinienne a contribué à alimenter notre feu racial actuel.
Le lien étroit entre le racisme et
l'évolution ne surprendra pas les historiens de l'évolution. La raison en est,
que la principale preuve de l'évolution humaine pendant un siècle après que
Darwin a publié son livre qui a changé le monde était la "preuve" des
"races inférieures". Un des meilleurs exemples sont les nombreux
dessins de races différentes qui ont été classées humains les plus évolués les
plus élevés aux humains les moins évolués. Les humains les moins évolués
montrés étaient très similaires aux singes les plus évolués.
Comme l'écrit Klinghoffer, Charles Darwin
a conçu l'idée de l'évolution qui postule une hiérarchie raciale. Ce n'est pas
surprenant, car la théorie voit toute la vie comme une vaste tache, passant de
la vie animale la plus simple à la plus complexe. Dans toute hiérarchie,
quelqu'un doit être en bas. Comme Darwin l'a déclaré explicitement dans [le
livre de Darwin] La
descendance de l'homme, cette
place était occupée par les Africains. Pendant des générations, les écoliers
américains ont appris de leurs manuels de biologie la pseudoscience que les
Caucasiens sont plus "avancés" sur l'échelle évolutive que les Africains.
C'était pourtant le consensus scientifique de l'époque.
L'eugénisme s'est avéré être l'un des
pires fléaux de l'humanité qui a finalement conduit à l'holocauste nazi qui, à
son tour, a entraîné le meurtre de plus de 12 millions de vies.
Lors du procès de Scopes, l’argument que
« pas moins de 180 structures vestigiales du corps humain, suffisantes
pour faire d'un homme un véritable musée d'antiquités ambulant » a été
invoqué. Aujourd'hui, la liste s'est réduite à pratiquement zéro.
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