mercredi 3 décembre 2008

Les cigales


Texte : Wikipedia ; Photos : Gérard Combes

La cigale Cicada orni fait partie de la classe des Insectes, de l'ordre des Homoptères. Elle mesure de 2 à 5 cm. A son stade juvénile, elle atteint 5 à 8 cm.

Nutrition
Les cigales se nourrissent de sève d'arbre ou d'arbuste, grâce à un appareil buccal de type piqueur-suceur.
Cycle de reproduction
Les œufs sont pondus en été en France, au collet d'arbustes et d'herbes. A la fin de l'été ou à l'automne les œufs donnent des larves qui vont s'enfouir dans le sol, pour plusieurs années en général.

Période larvaire
Pendant la période larvaire souterraine, qui dure de 10 mois à plusieurs années, la nutrition se fait sur des racines. Les pattes avant sont munies d'une structure fouisseuse qui lui permet de creuser des galeries. La structure de l'abdomen est telle que l'urine abondante des larves de cigales est canalisée vers les pattes avant, ce qui permet de ramollir la terre.


Ce n'est que durant la dernière année de sa vie que commence la vie aérienne de la cigale. La nymphe sort de terre et se fixe sur une tige ou un tronc et commence sa dernière mue ou « mue imaginale ».

La cigale se transforme alors en insecte adulte dit « parfait », ou imago, pour se reproduire durant seulement un mois et demi.


Ndlr : Tout ces paramètres n’ont pu être conçu que par un Créateur extrêmement intelligent.

mercredi 8 octobre 2008

Les plissements


Comme nous pouvons l’observer dans la nature, les roches sédimentaires sont parfois pliées, ce qui nous donne des dessins insolites.


Ces couches sont supposées s’être déposées au cours de millions d’années.
Certains plissements mesurent plusieurs centaines de mètres d’épaisseur.
Les roches soumises à un séisme ou un autre mouvement de terrain ne se plient pas, mais se cassent car elles sont dures.
Alors, comment ont-elles pu se plier ?


La réponse est simple si on tient compte de l’immense catastrophe du déluge global.
Lorsque l’eau s’est retirée des continent, les dépôts sédimentaires étaient mous pendant un certain temps, avant de durcir en séchant.
Avec les grands mouvements de terrain qui ont suivi le déluge (mouvements des plaques tectoniques, éruption volcaniques, tremblements de terre...), par endroits, les couches encore molles se sont pliées, parfois en « accordéon ».


Nous pouvons donc faire confiance au récit biblique du déluge qui nous aide à comprendre comment se sont formés les plissements, qui sont donc un formidable témoignage de l’authenticité de la Bible.

Pierre Danis

pierre.danis@wanadoo.fr
D’autres articles sur : www.aucommencement.net/





vendredi 12 septembre 2008

Vitesse de formation de la glace du Groenland

Des avions congelés !


Le 15 juillet 1942, 6 avions militaires américains P38 et 2 B17 tombé en panne au Groenland, et il s’est posé sur la glace et a été abandonné.

Ils ont été localisés avec un radar en 1988.
Et après avoir creusé un puit en faisant fondre la glace, le 1er avion a été retrouvé…..
à 75 m de profondeur.
Les autres ont été retrouvés en 1990 et 1992, et on a creusé autour des « caves » pour les voir entièrement.
75 m de neige tassée se sont donc accumulés en une cinquantaine d’année.
La couche de glace mesure environ 3000 m d’épaisseur au Groenland, ce qui nous donne une période de 2000 ans pour qu’elle se soit formée.


En tenant compte du fait qu’elle est plus tassée dans les couches inférieures, il y a largement assez de temps pour qu’elle se soit formée depuis le déluge, il y a un peu plus de 4000 ans, selon le récit de la Genèse.
Quelques personnes ont suggéré que les avions ont « coulé » en faisant fondre la glace, ce qui fausserait tout les calculs. Mais en fait, Ils n’auraient pas pu « couler », car à cette température, la glace ne fond pas.


La Bible est entièrement fiable, du 1er verset au dernier, pas seulement en matière de doctrine, mais aussi d’histoire.


Renseignements : pierre.danis@wanadoo.fr

jeudi 28 août 2008

Les records sportifs


Dans le sport de haut niveau, les athlètes améliorent sans cesse leurs performances. N’est-ce pas une preuve de l’évolution?


En date du 3 octobre 1988, un journal allemand résume ainsi les 24èmes Jeux Olympiques de Séoul: «Au cours de ces Jeux, 38 nouveaux records mondiaux ont été établis. La capitale sud-coréenne a fixé de nouvelles limites aux aptitudes humaines.

Mais il y eut aussi la honte et le mépris qui sont tombés sur le sprinter canadien Ben Johnson pour avoir obtenu sa médaille d’or et son record du monde grâce à l’emploi - interdit - d’anabolisants.
Le Comité International Olympique devait découvrir dix cas de dopage, mais à n’en pas douter le nombre de cas d’athlètes dopés est bien plus grand. Aussi l’ombre du doute planera encore longtemps sur la valeur des performances obtenues à Séoul.

Ces jeux ont propulsé sur le devant de la scène sportive des athlètes remarquables: Kristin Otto de Leipzig, six fois médaillée en natation, le nageur américain Matt Biondi avec ses cinq médailles d’or, le gymnaste soviétique Wladimir Artemow et ses quatre médailles, Florence Griffith-Joyner, la superstar américaine du sprint, médaillée du 100m, du 200m et du relais.


Il faut sans aucun doute inclure dans cette galerie des «grands» de ces Olympiades la joueuse de tennis allemande Steffi Graf qui, grâce à sa médaille d’or, a pleinement confirmé son titre de première joueuse mondiale.» Il est vrai que les records mondiaux sont sans cesse améliorés. Même si l’on ne tient pas compte des cas de dopage, il faut reconnaître une progression constante des performances.

Remarquons toutefois que ces résultats sont obtenus grâce à des progrès réalisés dans la médecine sportive et grâce aussi à des méthodes draconiennes d’entraînement. Les aptitudes sportives ainsi obtenues ne deviennent pas des acquis de la nature humaine. Dès que l’entraînement cesse, les performances diminuent.

Dans l’hypothèse évolutionniste, il faut un mécanisme qui, de génération en génération, entraîne une amélioration automatique. Mutations et sélections seraient les facteurs d’un développement supérieur. Mais celles-ci n’obéissent pas à des lois prévisibles et n’ont pas de finalité.
La matière est régie par d’autres lois: celles de l’inertie, de la passivité, de la dégradation de l’énergie et de la tendance au nivellement.

Par contre, jusque dans la constitution des macromolécules, la vie répond toujours à des lois connues. Personne ne met en doute le fait que nos ordinateurs actuels ont nécessité des plans complexes et coûteux. Pourtant, même le plus sophistiqué de nos ordinateurs n’est qu’un jeu d’enfant à côté de ce qui s’effectue dans n’importe quelle cellule vivante.


Werner Gitt

vendredi 4 juillet 2008

Albert Einstein et la foi

Albert Einstein. Une personne énigmatique sur certains côtés mais un savant à l’origine de la théorie de la relativité. Dans les milieux chrétiens, on peu parfois rencontrer quelques unes de ses citations révélant son côté croyant, comme par exemple :

"Albert Einstein (1879-1955) disait:
"Je crois en un Dieu personnel et je peux dire en toute bonne conscience que jamais je n'ai eu une attitude athée devant la vie. Etudiant, déjà, je considérais les théories de Darwin, Haeckel et Huxley, comme tout à fait dépassées. L'évolution va toujours plus loin, non seulement dans la technique, mais aussi dans la science...//... . Je suis Juif, mais l'image rayonnante du Nazaréen a une influence puissante sur moi."
À la question de savoir s'il acceptait l'existence historique de Christ, il répondit: "Sans doute. Personne ne peut lire les évangiles sans éprouver la présence réelle de Jésus. Sa personnalité ressort de chaque mot.". (D'ASTIER DE LA VIGERIE ; 2007).


Il existe aussi la même citation que ci-dessus, mais plus complète :

« Quelques déclarations du Prof. Einstein: En 1950, il a déclaré: "La pensée que je suis un athée repose sur une erreur manifeste: Celui qui veut le déduire de mes recherches scientifiques, n'a pas compris ces dernières. Je crois en un Dieu personnel et je peux dire en toute bonne conscience que jamais je n'ai eu une attitude athée devant la vie.
Etudiant déjà, je considérais les théories de Darwin, Haeckel et Huxley comme tout à fait dépassées. L'évolution va toujours plus loin, non seulement dans la technique, mais aussi dans la science. On peut dire de la plupart des hommes se vouant à l'étude des sciences naturelles qu'ils s'accordent pour reconnaître que la religion et la science ne sont pas opposées l'une à l'autre."

Dans une interview avec un journaliste, il dit: "Enfant, j'ai reçu une instruction tant biblique que talmudique. Je suis Juif, mais l'image rayonnante du Nazaréen a une influence puissante sur moi.". À la question de savoir s'il acceptait l'existence historique de Christ, il répondit: "Sans doute. Personne ne peut lire les évangiles sans éprouver la présence réelle de Jésus. Sa personnalité ressort de chaque mot." ».
(Tiré d’une brochure intitulée "Shalom ... Un message de paix par le moyen des timbres-poste d'Israël").


Ces citations sont intéressantes, mais il est dommage que des personnes puissent les mentionner sans donner les références, voire sans en vérifier l’origine. Alors que faire lorsque nous avons accès à une citation contradictoire telle que celle-ci :

"Ce que vous avez lu sur mes convictions religieuses était un mensonge, bien sûr, un mensonge qui est répété systématiquement. Je ne crois pas en un Dieu personnel et je n’ai jamais dit le contraire de cela, je l’ai plutôt exprimé clairement. S’il y a quelque chose en moi que l’on puisse appeler "religieux" ce serait alors mon admiration sans bornes pour les structures de l’univers pour autant que notre science puisse le révéler." (DUKAS et HOFFMAN ; ?).


En consultant plusieurs ouvrages pour cette étude (ils sont mentionnés à la fin), on peut constater qu’Albert Einstein semblait avoir de la peine à croire, voire ne croyait pas en un Dieu personnel, à la liberté de choix de l’être humain, et en un Dieu omniscient, le tout comme enseigné dans la Bible. Par contre il n’était pas non plus athée comme nous allons le voir plus loin. On peut aussi constater chez lui une grande sincérité et une grande humilité dans les propos qu’il tenait.

Il est vrai que les deux citations mentionnées au début sont absentes de la plupart des ouvrages consultés ; mais à part la référence indiquée la troisième ne se trouve nulle part !

Albert Einstein était de nature plutôt déterministe quant à sa foi. Ceci transparaît dans la citation suivante :

« Une jeune élève de 6ème année posa la question à Einstein à savoir si les scientifiques priaient et, si oui, pour obtenir quoi ?

"J’ai essayé, dit Einstein, de répondre à votre question le plus simplement possible. Voilà ce que cela donne : la recherche scientifique est fondée sur l’idée que tout ce qui existe est déterminé par les lois de la nature, y compris, bien sûr, les actes des humains. Pour cette raison, le chercheur scientifique sera difficilement enclin à croire qu’une prière puisse influer sur les événements par un simple vœu adressé à un être surnaturel.
Il faut reconnaître, toutefois, que notre connaissance actuelle de ces lois est fragmentaire et imparfaite et que, d’une certaine manière, cette croyance en l’existence de lois fondamentales régissant la nature repose, elle aussi, sur une manière de foi. Il n’en reste pas moins que cette foi est largement justifiée par les succès de la recherche scientifique. D’autre part, tout individu réellement passionné par l’évolution de la science est convaincu de la présence d’un esprit derrière les lois de l’univers, un Esprit bien supérieur à celui de l’homme, et devant lequel on doit se montrer fort humble." »
(EINSTEIN ; Jan. 24, 1936).


Pour revenir, du moins en partie, aux deux premières citations de cet article. C’est juste après ces 50 ans dans les années 30 (et non dans les années 50 comme certains le mentionnent), qu’Albert Einstein a donné un interview remarquable qui l’a le plus révélé sur sa pensée religieuse. C’était avec George Sylvester Viereck, né en Allemagne et émigré aux Etats-Unis étant enfant. L’interview s’est passé dans l’appartement d’Einstein à Berlin. Par la suite, George Sylvester Viereck est devenu un sympathisant nazi, puis de retour aux Etats-Unis y a fait la propagande de l’Allemagne.

C’est là qu’Albert Einstein a répondu à ces question, notamment à quel point il a été influencé par la chrétienté : "Enfant, j'ai reçu une instruction tant biblique que talmudique. Je suis Juif, mais l'image rayonnante du Nazaréen a une influence puissante sur moi.", et s’il acceptait l’existence historique de Jésus :
"Sans doute. Personne ne peut lire les évangiles sans éprouver la présence réelle de Jésus. Sa personnalité ressort de chaque mot". Dans le même interview, à la question s’il croyait en Dieu, il répondit : "Je ne suis pas un athée. Le problème en question est trop vaste pour notre pensée limitée. Nous sommes dans la position d’un petit enfant qui entre dans une immense librairie remplie de livres écrits en de nombreuses langues. L’enfant sait que quelqu’un a dû écrire ces livres. Il ne sait pas comment. Il ne comprend pas les langages dans lesquels ils sont écrits. L’enfant suspecte vaguement un ordre mystérieux dans l’arrangement des livres mais ne sait pas ce que c’est. Là, il me semble, est l’attitude même de la plupart des êtres humains intelligents envers Dieu. Nous voyons l’univers arrangé merveilleusement et obéissant à certaines lois, mais ne comprenons seulement que vaguement ces lois."
(VIERECK ; Oct. 26, 1929).


Par ailleurs, Albert Einstein n’a jamais senti la nécessité de dénigrer ceux qui croient en Dieu, il avait plutôt tendance à dénigrer les athées comme dans les citations suivantes :

"Ce qui me sépare de la plupart de ceux ainsi appelés athées, c’est le sentiment d’une humilité totale devant les secrets inaccessibles de l’harmonie du cosmos.". Plus loin il ajoute : « Les athées fanatiques sont comme des esclaves qui sentent toujours le poids de leurs chaînes qu’ils ont rejetées après une lutte acharnée. Ce sont des créatures qui – dans leur rancune contre la religion traditionnelle comme « opium du peuple » - ne peuvent pas entendre la musique des sphères célestes. ».
(ISAACSON; 2007).

On peut constater, en étudiant Albert Einstein, qu’il ne répondait pas de façon précise aux questions directes savoir s’il croyait en Dieu ; ce qui déroutait plus d’un, d’où peut-être que certains ont voulu faire dire à cet homme des choses qu’il n’a pas dites. D’ailleurs il n’est pas étonnant que des agnostiques, voire des athées n’ont pas l’honnêteté de mentionner ce qui va à l’encontre de leurs convictions.

À un autre moment, dans la petite ville de Princeton sauf erreur, Albert Einstein avait un voisin. Ce voisin était un Dominicain (les Dominicains sont un ordre dans l’église catholique) qui en outre s’intéressait à la Science ; son nom était R.-L. Bruckberger. Il eu l’opportunité d’avoir une entrevue avec le savant.

Dans sa description de l’entretien, il mentionne une question qu’il avait posée à Albert Einstein, question posée par Paul Valéry avant lui : "Mais qu’est-ce qui me prouve qu’il y a de l’unité dans la nature ?". Einstein répondit : "C’est un acte de foi !".

Plus loin R.-L. Bruckberger mentionne l’énumération des mystère de la foi catholique, dont la Trinité, l’Incarnation de la Parole créatrice, la conception virginale de Jésus-Christ, la résurrection de la chair, en demandant à Einstein ce qu’il en pense. Celui-ci de répondre :
"Nous sommes au milieu de l’échelle. Nous ne sommes pas au plus bas, puisque nous avons émergé de l’animalité. Mais nous sommes loin d’être au sommet de l’échelle. Il y a beaucoup plus intelligent que nous. Nous ne pouvons fixer aucune limite aux virtualités de la matière. Encore moins pouvons-nous en fixer au pouvoir de l’esprit. D’ailleurs comment séparer la matière de l’esprit ? Tous ces mystères dont vous me parlez n’ont pour moi rien d’absurde et ils sont beaucoup plus que des symboles. Ce sont sans doute des réalités, mais infiniment plus chargées de sens que nous ne pouvons l’imaginer. Ce n’est que plus tard, à la fin des temps, que nous pourrons, sinon comprendre, du moins vivre peut-être leur éblouissement.".

Enfin, par souci de respect pour les origines du savant, R.-L. Bruckberger pose la question : "Pour vous, quelle est l’essence de la religion d’Israël ?
". Il s’attendait à une réponse que bien des rabbins lui avaient faite : "C’est la religion de la Loi donnée par Dieu à son peuple !". Mais Albert Einstein répondit avec une gravité presque solennelle : "C’est la religion de la vie !".
(BRUCKBERGER ; 1986).
Ouvrages consultés :

- VIERECK ; Oct. 26, 1929 ; Viereck a premièrement publié l’interview dans : « What Life Means to Einstein. », Saturday Evening Post ; 372-378. Ces citations ont été généralement tirées de traduction et paraphrase dans : Brian 2005 ; 185-186 et dans Calaprice. Voir aussi : Jammer 1999 ; 22
- EINSTEIN ; Jan. 24, 1936 ; Einstein to Phyllis Wright ; AEA 52-337.
- MARIANOFF et WAYNE ; 1951 ; Einstein dans l’intimité ; Editions Jeheber.
- FRANK Philippe; 1968 ; Einstein, sa vie et son temps ; Editions Albin Michel.
- HOFFMANN Banesh ; 1975 ; Albert Einstein, Créateur et Rebelle ; Editions du Seuil.
- DÜRRENMATT Friedrich ; 1982 ; Albert Einstein ; Editions de l’Aire.
- GRIBLIN Jean-François; 1984 ; Einstein ; Editions Mengès .
- BRUCKBERGER R-L. ; 1986 ; Au diable le Père Bruck, l’Amérique 1950-1958 ; Editions Plon ; Paris.
- MERLEAU-PONTY Jacques ; 1993 ; Einstein ; Editions Flammarion (col. Figures de la science).
- BALIBAR Françoise ; 1993 ; Einstein, La joie de la pensée ; Editions Gallimard.
- ANATOLIA ; 2000 ; Albert Einstein, Pensées intimes ; Editions du Rocher.
- DE CLOSETS François ; 2004 ; Ne dites pas à Dieu ce qu’il doit faire ; Editions du Seuil.
- AUFFRAY Jean-Paul ; 2005 ; Comment je suis devenu Einstein, La véritable histoire de E=mc2 ; Editions Carnot.
- SCHWARZENBACH Alexis ; 2005 ; Le Génie Dédaigné, Albert Einstein & la Suisse ; Editions Metropolis.
- GREIF Jean-Jacques ; 2005 ; Einstein, l’homme qui chevauchait la lumière ; Editions L’Archipel.
- DUKAS Helen et HOFFMAN Banesh ; ? ; Albert Einstein / 1879-1955 / "Albert Einstein : le côté humain" ; lettre éditée du 24 mars 1954.
- ISAACSON Walter ; 2007 ; Einstein ; His Life and Universe ; Editions Simon & Schuster.
- http://www.michelledastier.org/index.php/2007/04/27/467-la-bible-et-la-science.

Avec l’aimable collaboration d’André Eggen, Généticien, et Jean-Marc Berthoud, Ecrivain.

Remerciements à Monique Stajessi, à mes parents (Marguerite et Marcel), à mes enfants (Laure-Aimée Sarah, Daniel, Mathias et son foyer), au pasteur Steve Emmet, et à l’association Au Commencement pour leur aide matérielle, morale et spirituelle.

Didier Gasser.

mercredi 7 mai 2008

Les dinosaures sont-ils rentrés dans l’arche?



Le chapitre 40 du livre de Job ne fait pas que mentionner l’existence des monstres marins, il en donne aussi une description:

«Regarde bien ce monstre (litt. behemot) qu’est l’hippopotame: Je suis son créateur, comme je suis le tien. C’est un simple mangeur d’herbe, comme le bœuf. Mais regarde la force qu’il a dans sa croupe, admire la vigueur des muscles de son ventre! Sa queue est puissante, comme le tronc d’un cèdre; ses cuisses sont nouées par des tendons puissants. Ses os sont aussi forts que des tubes de bronze, ses côtes font penser à des barres de fer ... Si le courant est fort, il ne s’en trouble pas; même si le torrent (litt. «un Jourdain») jaillit jusqu’à sa gueule, il garde tout son calme» (15-18, 23).

Luther - et après lui d’autres traducteurs de la Bible - n’a pas traduit le mot hébreu «behemot», car il ne trouvait aucun animal connu de son temps qui corresponde parfaitement à celui décrit par Job. La queue puissante pouvait faire penser à un crocodile, mais cet animal est carnivore et non herbivore comme celui décrit.

Parmi les autres grands animaux vivant en milieu aquatique, on pourrait penser à l’hippopotame; il mange bien de l’herbe, mais sa queue ne correspond pas à celle de l’animal décrit. On peut donc raisonnablement penser que Job décrit les animaux de l’espèce des dinosaures. Il faut se souvenir que le livre de Job est l’un des plus anciens de la Bible, bien que nous ne connaissions pas avec précision sa date de rédaction.
Le déluge a complètement modifié la surface de la terre; d’autres montagnes sont apparues, d’autres fleuves ont jailli, d’autres mers et d’autres océans se sont formés. La mention du Jourdain (v. 23) donne à penser que les dinosaures vivaient encore après le déluge.

Pour échapper au déluge, il a donc fallu que ces animaux trouvent refuge dans l’arche. Mais de tels monstres adultes auraient nécessité un espace trop grand. On peut donc supposer que Noé a pris avec lui des jeunes dinosaures, ou même simplement des œufs de ces animaux. Après le déluge, ces monstres n’ont plus trouvé les conditions écologiques et climatiques pour lesquelles ils avaient été créés; leur espèce a donc disparu. Cette explication sur la disparition des dinosaures est plus plausible que celle avancée par ceux qui rejettent la Bible.

Werner Gitt

J'habite à 3 kms du lac du Bourget, et au pied de la montagne d'oû j'ai pris cette photo...

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Ma région (Savoie) France

Voici un livre intérréssant

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Ce sont des généralités sur l'évolution

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