vendredi 27 juin 2025

Une question sur l'âge de l'univers

« Comment défendre une Création en sept jours, comme l’affirme le livre de la Genèse, tandis que la perspective dominante (le mythe d’origines matérialiste) affirme que l’univers a des milliards d’années?? »

S’il existe plusieurs manières d’aborder la question, voici une approche que je propose examinant d’abord les fondements des systèmes de croyances des partis dans cet échange.

La question fondamentale ici est logique : un Agent omnipotent et omniscient peut-il être une cause suffisante de la création ? La réponse est manifestement oui. Et une fois que l’on accepte d’envisager une telle hypothèse, il n’y a aucune raison logique de rejeter l’idée qu’un Agent omnipotent et omniscient ait créé l’univers en sept jours. S'il le voulait, une seconde suffirait.

Cela dit, ceux qui rejettent un tel Agent omnipotent et omniscient comme cause de la Création n’ont PAS cette option. Ceux qui nient qu’un Agent intelligent soit la cause de l’univers (et de toute vie biologique) n’ont d’autre choix que de s’appuyer sur des processus stupides pour expliquer à la fois l’univers, les lois de la physique et particulièrement les complexités extraordinaires de la vie biologique. Ainsi lorsqu'il s'agit du monde vivant, pour produire quelque résultat digne d’attention, à ces processus stupides (mutations + sélection naturelle) il faut ajouter un autre élément, c'est-à-dire un temps quasi-infini…

Ainsi, la logique de leurs propres prémisses accule les matérialistes dans une situation où des milliards d’années sont nécessaires et inévitables. Ils n’ont pas d’autres options.

Le problème, c'est que, bien que le modèle du Big Bang comporte des données empiriques observables,
dont les observations de décalage vers le rouge, l’hypothèse du Big Bang sort du cadre de la science OBSERVABLE, car personne n'a observé le Big Bang ni ne peut reproduire ce Big Bang en laboratoire. Outre les données empiriques observables de décalage vers le rouge, le Big Bang implique inévitablement des présupposés métaphysiques indémontrables concernant les conditions initiales... Ou, pour utiliser le langage courant, les présupposés métaphysiques sont simplement des croyances (et rien d’autre)...

Paul Gausselin

mardi 3 juin 2025

Les lapins ruminent

 La Bible dit vrai

Nous sommes quelque fois étonnés de trouver dans les Ecritures des affirmations qui bousculent notre logique et nos connaissances scientifiques.

Ainsi bien des croyants ont été arrêtés par certains passages. Nous ne pouvons pas tout comprendre et nous devons admettre que Dieu ne se trompe jamais même si des esprits scientifiques poussés tendent à nous faire douter de la véracité de la Bible.

Par exemple nous lisons dans le Lévitique (chap11, ver 6 ) dans des classifications concernant les ordonnances judaïques que le lièvre et son cousin le lapin sont des ruminants.

Cette affirmation qui fait sourire nombre d’incrédules, si elle ne nous laisse pas septique nous surprend !

Voici alors à la lumière d’une encyclopédie la réalité scientifique :

Les lagomorphes présentent une adaptation particulière à la digestion de la cellulose. Leur intestin
possède un gros cæcum à fonction fermentaire dans lequel des bactéries attaquent la cellulose en produisant des acides gras volatils qui servent de nutriments. De plus, à certains moments, les lagomorphes évacuent de ce cæcum des crottes molles et sphériques qu’ils ré-avalent. Cette matière riche en vitamines et en protéines bactériennes est redigérée.

C’est la cæcothrophie, une adaptation qui leur permet, comme la rumination chez les ruminants, de tirer partie de la cellulose et d’augmenter leur ration protéique alors qu’ils ont un régime végétarien strict.

Comme les autres lagomorphes, le lapin a longtemps été considéré comme un ruminant. Ainsi, le Lévitique interdit de manger « le lièvre, car il rumine, mais il n’a pas l’ongle fendu.» Le lapin digère l’herbe qu’il a consommée : la cellulose est transformée par les bactéries anaérobies du cæcum en acides gras volatils qui servent de nutriments.

Il en résulte des cæcotrophes, sorte de crottes d’un vert olive, molles et brillantes que le lapin réingurgite d’où le mouvement des mâchoires décrit précédemment.

(encyclopédie wikipedia.org/wiki)

Conclusion : 

Bien que nos sages scientifiques n’aient pas classé le lapin et le lièvre dans la catégorie des ruminants, ceux-ci sont bien des ruminants.

Non seulement la Bible dit vrai, mais elle nous apprend des choses que nous ne supposons même pas, dans un langage clair et simple à la portée de tous.


vendredi 18 avril 2025

Il faut beaucoup de foi pour être athée !


En partant du récit de la Création, de la première page de la Bible, Ralph Shallis (qui était un très bon ami à moi), démontre qu’il est scientifiquement absurde de ne pas croire en Dieu ! La Création, telle qu’elle est racontée dans la Bible, comporte 23 étapes qui suivent un ordre scientifiquement on ne peut plus logique. Etape après étape il est de plus en plus évident que le Dieu de la Bible est Dieu !

Bien entendu, certains parleront de chance, de hasard. Mais il n’y a pas de place pour le hasard dans les plans de Dieu !

Si vous deviez ranger 3 objets (A, B et C) selon toutes les combinaisons possibles, vous en obtiendriez 6 : A-B-C, A-C-B, B-A-C, B-C-A, C-A-B et C-B-A.

Avec 4 objets, vous passeriez à 24 possibilités.

Avec 5 objets, vous passeriez à 120 possibilités.

Avec 7 objets, vous passeriez à 5.040 possibilités.

On continue ?

Avec 10 objets, nous avons 3.628.800 possibilités.

Et pour classer les 23 étapes de la Création, telles qu’elles sont décrites dans le récit de la Genèse, dans le seul et unique ordre scientifiquement possible, et c’est le cas, il faut étudier 25.797.936.392.212.096.640.000 possibilités !!!

En d’autres termes, pour 1 seule chance de trouver l’ordre exact, il y a plus de 25 mille millions de millions de "chances" de se tromper !!!

Oui, il faut beaucoup de foi pour être athée !!



vendredi 14 mars 2025

La machine à calculer

  Antoine de Quelen

« Calcul » vient du mot latin calculus, « caillou ». Dès l’Antiquité, les êtres humains utilisent leur imagination pour calculer. Ils se servent de cailloux, de jetons, de boules et, bien sûr, de l’outil qu’ils ont toujours sur eux : leurs dix doigts - d’où les termes « décimal » et « digital » - avec lesquels ils peuvent compter.

Sans remonter au grand mathématicien grec Euclide, 300 ans avant J.-C., et sans parler des ingénieurs qui ont fait progresser les mathématiques depuis toujours, nous devons en priorité la maîtrise des chiffres et du calcul à trois hommes : l’inventeur de la première machine à calculer de l’histoire, Blaise Pascal (1642) ; le précurseur de l’informatique, l’Anglais Charles Babbage (1834) ; et celui qui a récemment (1973) créé le tout premier ordinateur personnel, l’ingénieur français François Gernelle. Il s’agit du Micral. Il ne vient pas d’Amérique, même si Steve Jobs et Apple vont le développer ensuite aux États-Unis et sur tout le globe.


Revenons à Blaise Pascal. Nous l’avons tous étudié à l’école. Sans bien réaliser que c’est sans doute le génie des génies. Mais nombreux sont ceux qui gardent quand même le souvenir du philosophe et du grand penseur. 

Si, au fil des années, on a oublié beaucoup de ses écrits, chacun de nous se souvient au moins de son fameux pari sur l’existence de Dieu, puis des deux infinis : « une sphère dont le centre est partout, la circonférence nulle part » ; ou encore de telle ou telle citation, comme « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas ». Certaines formules ne manquent pas d’une pointe d’humour, telle celle-ci : « Tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre. »

Le génie des mots nous aurait presque fait oublier qu’il a été d’abord le génie des chiffres, le « Mozart » de l’arithmétique. Dès l’âge de 11 ans, il écoute les savants que fréquente son père. Il a même déjà écrit un livre de physique.

Pascal a 19 ans quand il pense à la première machine à calculer. Et simplement pour faire plaisir à son père, comptable et conseiller à la cour de Richelieu. Le voyant veiller tard pour son travail, le fils génial, attendri et compatissant, lui invente la première machine dite « intelligente » de l'Histoire. L’appareil - la pascaline - permet d’effectuer des additions et des soustractions. Pascal, c’est la lumière bien avant et bien au-dessus des Lumières.


Pour finir, rendons hommage à l’inventeur d’un mot français, cette fois. Il s’agit d’une réponse précise à une commande. En 1954, IBM France cherche un nom pour désigner une de ses premières machines électroniques destinées au traitement de l’information. La compagnie demande le conseil d’un professeur à la Sorbonne, Jacques Perret. Celui-ci explore plusieurs pistes et finit par proposer le mot « ordinateur » : « C’est un mot correctement formé, écrit-il, qui se trouve même dans le Littré comme adjectif désignant Dieu qui met de l’ordre dans le monde. »

Pour IBM, l’idée de mise en ordre est la bonne. Malgré le terme anglais computer - calculateur, en français - qui s’est généralisé dans de nombreux pays, les vocables « ordinateur » et, plus tard, « micro-ordinateur » sauront s’imposer chez nous.

Commentaire de Pierre Danis : 

Blaise Pascal était probablement un vrai chrétien.

C'est lui qui a dit :

« Il y a dans le cœur de tout homme un vide qui a la forme de Dieu ».

mardi 4 février 2025

La lumière des étoiles lointaines

 Selon la théorie de la relativité générale, le temps peut varier en fonction de notre position dans l’espace. Le temps est ralenti par les forces gravitationnelles.

Il a été démontré qu’une horloge tourne moins vite au niveau de la mer, qu’une autre située au sommet d’une montagne car celle du bord de mer est affectée par une gravité plus forte.

Cette dilation temporelle a été démontrée expérimentalement.

Bien que nous ne savons pas où se trouve la Terre dans l’univers, il n’y a rien qui prouve qu’elle n’est pas à son centre.

Des astrophysiciens chrétiens pensent que l’univers s’est rapidement expansé dans « trou blanc » (ou trou noir à l’envers).

Au début, la gravité aurait ralenti l’horloge terrestre, beaucoup plus que l’horloge du bord de l’univers.

Donc les « milliards d’années » auxquels croient les adeptes de la théorie de l’évolution, nécessaires pour que la lumière des régions lointaines de l’espace atteigne la Terre, ainsi que pour calculer l’âge des étoiles. Pendant ce temps, il ne se passe qu’un jour sur la Terre (mesuré avec l’horloge terrestre), ce qui est conforme avec les données du temps révélés qans la Bible au chapitre 1 du livre de la Genèse.


J'habite à 3 kms du lac du Bourget, et au pied de la montagne d'oû j'ai pris cette photo...

J'habite à 3 kms du lac du Bourget, et au pied de la montagne d'oû j'ai pris cette photo...
Ma région (Savoie) France

Voici un livre intérréssant

Voici un livre intérréssant
Ce sont des généralités sur l'évolution

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Voici des super DVD que je vous conseille :

  • "Qu'est-ce que la science?"
  • "Débat sur les origines"

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