vendredi 26 novembre 2021

On a trouvé de l'ADN de dinosaure !

Le "petit" problème?


Et bien c'est que l'ADN est une GROSSE molécule qui se détériore rapidement immédiatement après le décès de l'organisme qui l'a crée. On peut "étirer la sauce" en peu en congelant l'échantillon de reste organiques, mais en général on ne retrouve pas les restes de dinosaures dans un congélateur... C'est une chose qu'observe régulièrement les experts médico-légaux (qui font l'analyse de cadavres sur des scènes de crime). On l'a vu il y a quelques années lorsqu'on a tenté d'identifier des restes de soldats de la première guerre mondiale grâce aux résidus d'ADN, mais on a pas pu en tirer grand chose. Les évolutionnistes eux-mêmes admettaient volontiers que l'ADN ne peut être préservé plus de mille ans...

Ouais, alors retrouver de l'ADN dans des fossiles de dinosaures, des fossiles qui sont sensés avoir des centaines de millions d'années, c’est un GROS problème pour les évolutionnistes et c’est un problème qui risque de croître...


En fait, je ne serais PAS du tout surpris que tout les labos et musées de paléontologie majeures aient des tas d'échantillons fossiles cachés dans des tiroirs (et oubliés) mais qui comportent des résidus organiques de qualité comparable...

Il suffirait de fouiller un peu dans ces tiroirs et d'exécuter les tests...

Devant une telle réfutation de leur théorie (sans les centaines de millions d'années, oubliez la théorie de l'évolution), voici la perversion logique à laquelle les évolutionnistes (ils sont prévisibles...) auront inévitablement recours. À la prochaine découverte d'ADN fossile, on verra des évolutionnistes crier "EURÉKA!, on avait pensé que l'ADN ne pouvait être préservé plus de quelques milliers d'années mais cette récente découverte d'ADN d'un T-Rex daté à 150 millions d'années PROUVE que l'ADN peut survivre aussi longtemps!" Et tous les évolutionnistes poussent un GROS soupir de soulagement (en espérant que personne ne flaire l'arnaque).

Ouais, mais le petit détail c'est qu'on ne découvre pas les roches déjà étiquetés "Cette roche a 150 millions d'années". Ainsi lorsqu'un évolutionniste fera une affirmation semblable, il n'a PAS fait d'expérience en labo pendant 150 millions d'années pour observer la dégradation de l'ADN pendant toute cette période. Non, tout ce qu'il a fait est faire acte de foi qu'il SAIT quelle âge a ces roches...

Et un tel acte de foi ce n'est PAS de la science... Et ils ont RIEN prouvé..


Paul Gosselin

 http://www.samizdat.qc.ca/cosmos/origines/ADN_dinosaure_DC.htm

vendredi 1 octobre 2021

La cellule la moins complexe sur Terre

Écrit par: Josias   

Les biologistes recherchent depuis très longtemps à définir l’ensemble minimal de gènes pour opérer une cellule vivante. Depuis les 20 dernières années, le séquençage de l’ADN de plusieurs micro-organismes a été rendu disponible. Les analyses de ces génomes suggéraient en 1999 un ensemble minimal d’environ 300 gènes. Des études plus complètes ont été réalisées et publiées en 2016 menant à une réponse plus précise : un ensemble de 476 gènes est nécessaire à la vie cellulaire. J. Craig Venter, un des auteurs de cette étude affirme :

Nous avons démontré à quel point la vie est complexe même dans l’organisme le plus simple. [Science, Mars 2016]

Les chercheurs utilisent les “mycoplasmes”, ces organismes unicellulaires encore plus petit que les bactéries. Le plus petit d’entres eux est Mycoplasma Genitalium. Celui-ci constitue donc l’organisme vivant le moins complexe connu par la science. Il n’existe rien sur Terre qui soit à mi-chemin entre la matière inerte et cet organisme. L’étude de M. Genitalium nous fournit alors de précieux renseignements sur l’origine de la vie. En effet, cet organisme contient une quantité phénoménale d’informations génétiques très précises et complexes. Pourtant, M. Genitalium n’est pas un organisme assez complexe pour être parfaitement autonome et doit s’approvisionner de certains nutriments chez son hôte (par parasitage).

Mais M. Genitalium possède toute la machinerie afin de se dupliquer ce qui fait de lui un être vivant et le candidat idéal afin d’explorer la question de l’origine de la vie (contrairement aux virus).

Le lapin sort du chapeau ?

La croyance évolutionniste soutient l’idée que la première cellule a émergé spontanément de la matière inerte. Cette croyance était bien implantée avant que l’on découvre la structure de l’ADN il y a 60 ans. Il faut savoir qu’à l’époque de Darwin, on croyait que la cellule n’était qu’une vacuole contenant des protéines. L’idée magique qu’une cellule ait pu émergé comme le lapin du chapeau pouvait être séduisante. Mais aujourd’hui nous savons que la cellule est plus complexe qu’un ordinateur moderne.

Il faut d’abord rappeler que toute cellule vivante sur Terre existe et fonctionne grâce à l’ADN. Cette structure contient les instructions (l’information génétique) nécessaires à la construction des microfilaments, les cargo-transporteur, les organites locomoteurs (la flagelle), les membranes, enfin, toutes les structures internes de la cellule.

Mais à quoi bon un livre d’instruction sans interprète ? C’est le problème des virus qui possèdent un brin d’ADN mais sans la machinerie de traduction. M. Genitalium, comme toute autre cellule vivante, possède un lecteur (molécule ARN) et un interprète (le Ribosome) afin de construire exactement selon les instructions du gène la structure cellulaire commandée par ce gène. Les processus de lecture (ou transcription) et de traduction de l’ADN sont illustrés dans l’image ci-contre

ADN flottant ?

Il est probablement important de souligner que, dans la Nature, il n’existe pas de brins d’ADN ou d’ARN ou bien des ribosomes à l’état libre et flottants n’attendant que le moment idéal pour se rencontrer et s’enfermer tous trois ensemble dans une membrane. En effet, ces trois structures fondamentales de la vie sont fabriquées … dans la cellule lorsqu’elle fait un double d’elle-même. Le débat ne devrait-il pas s’arrêter là ?

Ceci dit, faisons l’exercice d’ignorer la science quelques instants et imaginons que des brins d’ADN s’autoconstruisent dans la Nature, sans raison, et contre les lois de la chimie qui nous indiquent que l’oxygène et l’eau ne permettraient pas à ces structures de se conserver sans membrane protectrice.

Si de tels brins d’ADN émergeaient, et qu’une membrane de lipides viendrait entourer magiquement cet ADN, quel serait donc le résultat ? Nous aurions un livre avec des caractères écrits aléatoirement entouré d’une membrane. Ce que les évolutionnistes nomment les « protocellules ». Soulignons au passage que la membrane cellulaire est elle-même une structure très complexe.

Bien. Nous avons donc un livre mais personne pour le lire (ARN), encore moins pour l’interpréter (ribosome). Imaginons maintenant qu’au même moment, au même endroit sur Terre, un ARN et un ribosome (2 molécules très complexes) se forment spontanément. Imaginons, même si cela n’a aucun sens ni aucun fondement scientifique, que ces 2 biomolécules migrent à l’intérieur de notre fameuse protocellule. Quel est le résultat ? Nous avons un livre et un interprète mais aucun des deux ne connaît de langage utilisable. Dans la réalité, l’alphabet génétique se compose de mots (codons) formés par un jeu de 4 lettres. L’ordre précis des lettres est interprété par le ribosome qui fabrique des protéines selon les instructions précises de l’ADN.

Bon … disons que le miracle décrit ici-haut se produit, il faut que, du premier coup, la molécule d’ADN contienne toute l’information pour produire la machinerie de réplication. En effet, sans réplication exacte de la protocellule, tout ceci est un cul de sac. Pourquoi cet ADN qui flottait initialement dans la nature se serait combiné aléatoirement de sorte de contenir une information qui permet de construire une cellule alors que la cellule n’est pas encore quelque chose qui existe ?


L’information minimale de la vie

Si nous revenons dans la réalité, nous savons que l’organisme le moins complexe sur Terre possède un ADN d’environ 500 gènes lesquels sont d’une longueur moyenne de 1 000 caractères. C’est comme un livre de 500 pages dont chaque page contient 1 000 caractères ordonnés dans un langage et une grammaire très précise. Pour être concret, prenons l’exemple du cycle du glucose chez M. Genitalium lequel est un mécanisme essentiel à la survie de la cellule puisqu’il produit l’énergie. Ce cycle chimique fait intervenir des dizaines de biomolécules précisément construites à partir de l’information contenue dans l’ADN. De même, la machinerie qui permet de dupliquer la cellule et son ADN est produite à partir de … l’ADN, comme tout le reste.

L’étude de 2016 publiée dans Science est le résultat de 20 années de recherches. Le Dr. Ann Gauger commente les résultats de cette étude en ces termes :

Tout ceci mène à une question évidente. Cette petite bactérie doit être capable de copier son ADN, de la transcrire et la traduire en protéine, en plus d’être capable de coordonner toutes les étapes de la division cellulaire. Cette cellule doit être capable de fabriquer les choses qu’elle ne peut obtenir de l’environnement. C’est beaucoup d’information à entreposer et à utiliser correctement. Par conséquent, 476 gènes. [Evolution News, Mars 2016]

Le Dr Gauger est zoologiste et possède un post-doctorat de Harvard où elle a fait des recherches en biologie cellulaire. Elle est auteure pour la Discovery Institute qui défend la thèse de l’Intelligent Design.

Conclusions

C’est donc dire que la première cellule apparue sur Terre avait au moins 476 gènes. C’est un constat de la science qui est incontournable, que vous soyez créationniste ou évolutionniste. Ce constat mène à l’inévitable conclusion que la vie a été créée intelligemment. La création intelligente est l’unique mécanisme connue par la science qui peut expliquer l’apparition d’un système organisé contenant de l’information. Bien que le discours évolutionniste évoque qu’avec des milliards d’années l’impossible peut se produire, notons que le nombre de combinaisons possibles des lettres de l’alphabet génétique (pour un seul gène) dépasse déjà le nombre d’atomes de l’univers.

Dr Gauger poursuit :

Mais de quoi a été formée la cellule en premier ? C’est un problème de « l’oeuf ou la poule ». Étant donné le nombre de choses que la cellule doit accomplir pour être un organisme vivant, comment cela a commencé ? L’ADN ou l’ARN ne sont pas suffisants, puisque les protéines sont nécessaires pour copier l’ADN et supporter les processus élémentaires de la cellule. Mais les protéines seules ne sont pas suffisantes non plus. L’ADN est requis afin de conserver et transmettre de façon stable l’information génétique qui indique comment faire les protéines. [Evolution News, Mars 2016]

Références :

Design and synthesis of a minimal bacterial genome, Science 25 Mar 2016:Vol. 351, Issue 6280, aad6253 DOI: 10.1126/science.aad6253

Curr Opin Genet Dev. 1999 Dec;9(6):709-14. “The minimal genome concept. »

An Engineered “Minimal” Microbe Is Irreducibly Complex, Thus Evidence of Intelligent Design, Ann Gauger, 24 Mars, 2016, Evolution News

 

mardi 24 août 2021

vendredi 16 juillet 2021

mardi 4 mai 2021

Le Cosmos et la Bible

Voici une conférence en video :  

(64) Le Cosmos et la Bible - YouTube  😃



mercredi 24 mars 2021

Vaccins contre la Covid-19 et utilisation de cellules d’origine fœtale

Dr Michel Cambrelin 

La pandémie Covid-19 due au nouveau Coronavirus SARS-CoV-2 n’épargne pas nos sociétés occidentales, qui sont fortement ébranlées malgré leur richesse et leur technologie, et notre pays ne fait pas exception . 

Après les échecs successifs des tentatives de contenir cette épidémie, la vaccination nous est présentée comme la planche de salut. Cette vaccination a pour principe de présenter à l’organisme receveur des éléments inoffensifs appartenant au virus, ce qui va lui permettre de fabriquer des anticorps prêts à le défendre lorsque le virus essaiera de le pénétrer. 

Pour ces vaccins différentes techniques ont été utilisées, qui pour certaines sont assez nouvelles, que nous expliquerons plus loin. De multiples questions et rumeurs circulent sur les vaccins Covid en particulier à ARN messager (ARNm), auxquelles l’OMS et la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française ont apporté leurs réponses. 

Cependant une autre question interpelle les chrétiens, respectueux de la vie humaine constituant un don de Dieu dès la conception , question qui n’est pas abordée dans les médias ni dans les recommandations scientifiques : certains vaccins contre la Covid auraient été élaborés à l’aide de cellules de fœtus avortés !

 Nous allons tenter d’apporter les éléments de réponse nécessaires à cette question, qui semble ignorée du débat public, sans aborder les autres questions d’innocuité et d’efficacité de ces vaccins qui ont aussi leur importance éthique.

 I - Quels sont les vaccins contre la Covid utilisant des cellules d’origine fœtale ? Des cellules provenant de fœtus avortés sont effectivement utilisées par certains laboratoires pour leur vaccin, mais de manière plus ou moins importante et à différents stades : 

 Pour leur conception et développement  Au cours de leur production industrielle  A l’occasion des Tests de contrôles en laboratoire, nécessaires en cours de production.

C’est le cas, à un degré modéré, pour les vaccins des laboratoires PFIZER & BioNTech (COMIRNATY)  et MODERNA (COVID-19 VACCINE MODERNA) . De même mais à un degré plus important, pour le vaccin de ASTRA ZENECA7 et OXFORD (COVID-19 VACCINE ASTRAZENECA)


 Qu’est qu’une lignée cellulaire d’origine fœtale ? 

Il s’agit de cellules cultivées à partir de cellules provenant d’organes de fœtus avortés. Voici les 2 lignées utilisées pour certains vaccins contre la Covid : 

 La lignée HEK2938 9 est issue du rein d’un fœtus avorté en 1972 aux Pays-Bas, elle est la plus fréquemment utilisée ici. 

 La lignée PER.C610 est issue du tissu rétinien d'un fœtus de 4 mois avorté aux Pays-Bas en 1985. L’utilisation de Cellules Souches Embryonnaires Humaines (CSEH) pour la recherche en France est régie par l’Agence de la biomédecine11 , selon une réglementation stricte qui risque d’être hélas assouplie par le projet de loi bioéthique en cours de débat. Ces cellules issues donc d’un organe de fœtus sont cultivées et multipliées « à l’infini » comme si elles devenaient « immortelles », et sont donc utilisées pour des recherches en laboratoire. 

 Il est à noter que leur utilisation (et donc la conception de produits tels que des vaccins qui utiliseraient cette technique) ne nécessite donc pas de nouvel avortement, et que les avortements dont il est question n’ont pas été provoqués dans le but de la recherche médicale. Leur avantage par rapport à des cellules adultes est qu’elles se multiplient plus longtemps et que leur patrimoine génétique est moins susceptible d’être altéré (par des mutations ou des contaminations virales ou bactériennes).



vendredi 12 février 2021

Les virus émergents, sont-ils le produit d'une création?


Selon vous, l'ensemble des nouveaux virus émergents, sont-ils le produit d'une création ? 


oui, mais pas dans leur état actuel.

les microbes avaient tous une utilité, à l'origine, mais ils ont subit de nombreuses mutations au cours de l'histoire, et certains sont devenus dangereux.

 j'ignore l'origine des virus (peut-être que ce sont des noyaux qui ont quitté leur cellule, et ont besoin d'en parasiter d'autres ???)

A la fin de la création, le Créateur a dit que "Tout est très bon".

Les maladies sont venues plu tard, en conséquence de la révolte de l'homme contre Dieu.



J'habite à 3 kms du lac du Bourget, et au pied de la montagne d'oû j'ai pris cette photo...

J'habite à 3 kms du lac du Bourget, et au pied de la montagne d'oû j'ai pris cette photo...
Ma région (Savoie) France

Voici un livre intérréssant

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Ce sont des généralités sur l'évolution

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Voici des super DVD que je vous conseille :

  • "Qu'est-ce que la science?"
  • "Débat sur les origines"

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