mercredi 5 décembre 2012

L'ADN bidon !

L’ADN poubelle !                                                    

Lorsque les premières recherches sur l'ADN ont commencé dans les années 60-70, on s'est vite rendu compte qu'une part assez grande de l'ADN ne semblait pas coder pour des protéines, du moins avec les moyens disponibles à l'époque. Et les évolutionnistes, toujours à l'affut pour le marketing de leur théorie ont rapidement proposé une explication pour l'ADN non-codant. Ils l'ont affublé de l'expression "Junk DNA" ou ADN bidon et ont affirmé que cet ADN était une preuve de l'évolution car c'était des restes d'ADN de l'évolution passé.

Utile autrefois mais plus maintenant...

Mais comme c'est souvent le cas, la science avance et réduit à néant les grandes affirmations évolutionnistes. De plus en plus de données provenant de la génétique indiquent que "l'ADN bidon" est en fait tout à fait utile.

Mais les évolutionnistes sont TRES marketing et ils vont évidemment "oublier" leurs déclarations ronflantes d'hier et nous proposer de nouveaux "mécanismes évolutifs" incorporant les fonctions de l'ADN dont on avait la certitude, il y a peu de temps, qu'ils étaient "bidon"...

Et voyez un article de ma part qui comporte une section sur le fameux "ADN bidon".

Dogmes évolutionnistes et le progrès de la science.
http://www.samizdat.qc.ca/cosmos/origines/dogme_pg.htm

Paul Gosselin
St-Augustin. Canada








Pour plus de détails :

ADN bidon/Junk genes

Dans un article par W. Wayt Gibbs paru dans la revue Scientific American, portant le titre "The Unseen Genome", Gibbs note que depuis la découverte de l'ADN en 1953, les chercheurs en génétique ont tôt fait de remarquer qu'une partie de l'ADN d'un organisme produit des protéines tandis qu'une autre partie n'en produit pas. On a donc supposé que cette dernière partie ne servait à rien. Étant donné les œillères évolutionnistes que portent la majorité des chercheurs, on a donc supposé que ces gènes étaient les résidus inutiles d'une évolution passée. Dès lors ces gènes ont porté, en anglais, l'épithète "junk DNA[5]" ou de l'ADN bidon ou résiduel.

Touchant le rapport entre ADN codant et ADN dit non-codant, le généticien français André Eggen note (2004):
"En effet puisque seulement 3-5 % de l'ADN semble être de l'ADN codant, le reste était supposé ne servir à rien, d'où le terme anglais junk DNA. Mais depuis l'arrivée massive de données de séquençage de génomes complets (homme, souris, rat, ...), il est clair que des comparaisons de séquences soulignent la présence de régions similaires entre espèces et qui semblent coïncider ou même être des régions régulatrices. De plus, des transposons ont été mis en évidence, appuyant l'idée de plasticité de l'ADN: des changements peuvent intervenir au sein de cette molécule d'ADN, par exemple, par intégration de transposons ..."

Gibbs note (2003: 49) qu'un des dogmes centraux de la génétique jusqu'ici a été le postulat qu'une séquence d'ADN peut se voir désignée comme un gène seulement s'il peut produire une protéine. Gibbs remarque par ailleurs qu'on a constaté récemment que même lorsque l'ADN ne produit pas de protéines, il peut produire une molécule d'ARN qui, à son tour, peut affecter le comportement d'une cellule. Ces molécules sont désignées par le terme ARN interférence ou ARNi (Dykxhhoorn 2003) et lorsque actives, elles peuvent empêcher la production de protéines par des gènes dit codants.

Sur le plan médical, cette découverte fait entrevoir la possibilité de produire des thérapies contre certaines maladies génétiques. Standish note (2002: 19) qu'un des tests pour déterminer si de l'ADN a le potentiel de posséder une fonction est de le comparer à de l'ADN contenu dans un gène que l'on sait produisant des protéines. En utilisant cette approche on constate que l'ADN dit non-codant a les mêmes caractéristiques de structure et d'organisation que l'ADN codant. On constate, par ailleurs, que l'ADN non-codant comporte des éléments qui peuvent déterminer à quel moment une protéine sera produite et en quelle quantité. Quel est alors le jugement de Gibbs touchant l'impact de l'affirmation que les gènes non-codant étaient des rebus de l'évolution ? Gibbs cite le généticien australien John Mattick qui affirme (2003: 49)

"Je crois que cette situation deviendra un cas classique où, pendant un quart de siècle, l'orthodoxie a fait dérailler l'analyse objective des faits. (...) II se peut que l'incapacité de reconnaître toutes les implications de cette situation, en particulier la possibilité que des séquences d'ADN non-codants puissent transmettre de l'information sous la forme de molécules d'ARN soit un jour considéré comme l'une des plus grandes erreurs de l'histoire de la biologie moléculaire."[6]
Gibbs ajoute (2003: 53)

"Personne ne sait ce que sera la vision d'ensemble en génétique lorsque cette strate d'information cachée sera rendue visible. De l'avis de Mattick, 'À vrai dire, ce qui était méprisé, puisqu'il était incompris pourrait devenir la source ultime de la complexité humaine.' Si on met de côté les pseudogènes, les riboswitches et tout le reste, il y a une bonne raison de supposer que c'est le cas. Nous comprenons maintenant que l'ARN actif aide à contrôler la structure macroscopique des chromosomes ainsi que certaines modifications chimiques importantes touchant ces derniers, ce qui constitue une couche d'information épigénétique tout à fait nouvelle dans le génome[7]."

Évidemment ni Gibbs ni Mattick n'établissent un lien direct entre ces préjugés rétrogrades en génétique et la théorie de l'évolution[8], mais les faits sont là... Susumu Ohno était un chercheur en génétique de renommée mondiale. Gagnant de nombreux prix pour la recherche, il a été aussi l'auteur d'un livre sur l'évolution portant le titre "Evolution by Gene Duplication ". En 1972 Ohno a inventé le terme "Junk DNA[9]" pour désigner environ 95% du génome humain dont on ne connaissait la fonction et qui porte le titre technique ADN non-codant. Selon Ohno, le “junk DNA” réfère surtout à la perte de fonction de l'ADN en question, ce qui implique que ce code d'ADN a pu être utile dans le passé, mais ne l'est plus.

Dans la littérature scientifique, la notion de junk DNA (ou ADN bidon) englobe plusieurs types de séquences d'ADN différents. On y inclut à la fois les introns, les éléments de gènes qui ne sont pas exprimés lors de la synthèse de protéines, des éléments transposables (ou transposons), des séquences d'ADN répétées, que l'on suppose parasitaires, se répliquant sans ajouter quoi que ce soit au génome[10], les pseudogènes[11] et les éléments régulateurs située entre les gènes (promoteurs et inhibiteurs) qui servent à la transcription.

Un autre terme connexe est la notion d'ADN égoïste[12] (ou selfish DNA) qui a été avancée par divers chercheurs dont Francis Crick, gagnant d'un prix Nobel ainsi que par le livre populaire Le gène égoïste (1978) de Richard Dawkins. Ces chercheurs affirment que ces segments d'ADN agissent en parasite dans le génome[13] et se propagent dans le pool génétique, sans contribuer directement à la survie des organismes porteurs. C'est dans ce sens qu'ils sont égoïstes. Puisqu'il s'agit d'ADN non-codant, ils sont largement à l'abri des mécanismes de la sélection naturelle. Dans bon nombre de cas, il s'agit de séquences répétées d'ADN dérivées d'éléments transposables et ces séquences se propagent en insérant des copies d'elles-mêmes ici et là, apparemment au hasard, dans le génome.

Depuis peu, le concept d’ADN bidon est donc sujet à de plus en plus de remises en question dans la communauté scientifique, même de la part de chercheurs imminents. Le généticien Francis Collins est le directeur du Human Genome project aux Etats-Unis et il a écrit (2006 : 111) " Par ailleurs, il y avait de longues séquences d’ADN entre les gènes qui ne semblaient pas faire grand chose et certains l’ont désigné du terme junk DNA, bien que cela exige une certain arrogance pour affirmer qu’une partie du génome est du junk [bidon] étant donné notre niveau d’ignorance .* " D’autre part en 2005 un groupe de généticiens dissidents s’est formé autour de l'International PostGenetics Society .

Ces généticiens remettent en question aussi bien le concept fort répandu du gène que le concept d’ADN bidon. Ces généticiens soulignent que de plus en plus de recherches démontrent que les gènes opèrent dans un réseau d’interactions complexes et se chevauchent l’un l’autre. Entre autres, cela signifie qu’il soit possible qu’une séquence d’ADN X puisse faire partie de plus d’un gène. De l’avis de ces chercheurs, ces découvertes exigent une révision en profondeur du concept de gène, aussi bien sur le plan de sa définition que de sa fonction .

Le généticien William Gelbart a affirmé dans la revue Science (1998) « Malgré tout il semble bien que nous soyons parvenus au point où l’usage du terme gène est d’utilité limitée et peut à vrai dire nuire au progrès de la connaissance du génome.* » Pour sa part, l’ingénieur, Walter Remine, observa (1993 : 249) que les taux de mutations nécessaires pour faire avancer l'évolution chez l'homme ont des effets nocifs sur le génome humain. De ce fait, les évolutionnistes ont trouvé bon que la majorité du génome soit inerte, à l’abri des mutations. Remine note que les données de la génétique ont graduellement rendu cette hypothèse d'un génome presque entièrement inerte intenable (1993 : 250-251):

En juillet 2007 Richard Gallagher, l’éditeur de la revue britannique The Scientist, publia une note sur le concept d’ADN bidon. En somme il admet, avec quelque hésitation, que l'ADN dit bidon semble bien avoir une fonction, mais pour sa part il préfère ne pas abandonner ce concept, car à son avis il est utile pour « provoquer des discussions et des recherches ». Tout comme le cadavre de Lénine, le concept d’ADN bidon peut servir à la fois de décoration et d’instrument de propagande, mais il est utile à peu d’autres fins…. C'est un béquille boiteuse exploitée essentiellement pour rehausser le prestige de la théorie de Charles D. Dans un contexte de la lutte pour la survie dans la culture occidentale, la théorie de l’évolution a intérêt de se renouveller sans fin, afin de maintenir sa niche dominante sur le plan cosmologique en Occident.

Dans le contexte actuel, une partie du défi consiste à dépasser le présupposé que tout phénomène génétique sera considéré accidentelle ou aléatoire, à moins que l'on puisse établir un mécanisme pour l'expliquer. Cela passe sous slience une troisième possibilité, c'est-à-dire le dessein intelligent. Une telle perspective impose une explication biaisée des données de la génétique, car une origine aléatoire est présupposé par défault et n'a pas à être démontrée. Au bout du compte le développement du concept de Junk DNA est bien plus le reflet de l'ignorance de la science du 20e siècle. Une situation qui pourrait se comparer à celle d'un vieux cultivateur au début des années 1950 voyant, pour la première fois, une télévision. Ce cultivateur examine l'appareil et comprends graduellement la fonction des boutons et cadrans. Après un examen sommaire, il affirme, avec conviction, que les lampes à l'intérieur n'ont pas de fonction, sauf celle de chauffer l'appareil.

Évidemment...

La généticienne Linda Walkup note (2000: 20) que dans les études évolutionnistes en génétique, les comparaisons de séquences d'ADN sont utilisées pour construire des arbres phylogéniques afin de tracer le chemin parcouru d'un ancêtre à ses descendants. Puisqu'il est postulé que les introns sont sensés être à l'abri des contraintes de coder pour une fonction particulière lorsque des mutations causent des modifications de leur séquence les introns dans un gène particulier sont souvent comparés entre organismes différents. La différence entre les paires de bases est censé fournir une indication du temps où les deux organismes ont divergé dans leur évolution.

Dans certains cas, le postulat qu'un intron peut muter librement au cours de millions d'années d'histoire évolutive s'est avéré faux. Koop et Hood ont découvert que l'ADN du complexe du récepteur de cellule T, une protéine essentielle pour le système immunitaire, était à 71% identique entre l'homme et la souris. Il s'agissait d'une découverte embarrassante. Faut-il conclure que la divergence entre hommes et souris est récente? Puisqu'une telle conclusion est en contradiction avec le récit évolutionniste, Koop et Hood ont conclu que cette région doit alors comporter une fonctionnalité, ce qui réduit l'influence des mutations. On constate alors que lorsque les données de la génétique ne correspondent pas aux données empiriques, une explication ad hoc sera invoquée pour sauver la face et faire taire les données embarrassantes.

Parmi les chercheurs en génétique, Barbara McClintock a été une des premières à postuler que l'ADN bidon puisse avoir une fonction et ce, il y a 50 ans ! Lorsqu'on lui a accordé le prix Nobel pour sa découverte des transposons, elle déclara qu'à son avis, le génome est un organe très sensible et qu'en périodes de stress, il peut déclencher des mécanismes de restructuration lorsque l'organisme est soumis à l'irradiation ou une infection par des pathogènes par exemple. Dans le cas du maïs, McClintock nota que les transposons jouaient un rôle important dans le développement de nouveaux gènes. Pendant cinquante ans, elle fut seule à affirmer de telles choses.

Il faut constater que l'évolutionnisme a généré des attentes trompeuses à l'égard de la génétique. Dans la citation qui suit, l'historien de la science Stephen C Meyer est d'avis que l'ADN non-codant ne doit pas être considéré comme bidon, sans fonction, mais signale que l'on a découvert maintenant plusieurs rôles joués par cette partie du génome et que, par ailleurs, on peut y voir surtout un rôle de gestionnaire, comparable à celui du système d'opération dans un ordinateur (2009: 407):

Dans un article paru dans la revue Nature, touchant le nombre de gènes chez les organismes multicellulaires D. E. Comings a noté la contradiction entre les attentes engendrées par la théorie de l'évolution et les résultats de la génétique (1972)

"Ayant un parti pris vers notre propre espèce, nous avons tendance à penser que l'homme est sans doute l'une des espèces les plus complexes sur terre et de ce fait doit être doté d'un nombre maximal de gènes. Mais la réalité est autre. Même une simple plante telle que l'Hepatica[14] comporte dix-huit fois plus d'ADN que nous et l'Amphiuma, une salamandre banale et gluante, a vingt-six fois plus d'ADN que nous. Et pour porter atteinte plus encore à l'orgueil de l'homo sapiens, l'unicellulaire Eugène a presque la même quantité d'ADN que l'homme.*"

Ce paradoxe fut, de toute apparence, résolu plus tard par la découverte de l'ADN non-codant, mais puisqu'on se rend compte maintenant que l'ADN dit non-codant comporte de plus en plus de fonctions[15], le paradoxe signalé par Comings, en 1972, reste entier. Tout comme les notions de phlogistique[16] et d'éther[17], il ne faudrait pas s'étonner de voir le progrès de la science reléguer aux oubliettes les concepts de Junk DNA et de selfish DNA. Qui sait, c'est peut-être pour bientôt? En génétique, on peut donc affirmer que plutôt que de stimuler ou contribuer au progrès de la connaissance scientifique, l'évolutionnisme l'a plutôt retardé ! Les preuves sont là. Évidemment, dans les médias (scientifiques ou non), il ne faut pas s'attendre à rencontrer des aveux au sujet de spéculations mal avisées de la part d'évolutionnistes du 20e siècle voir même l'aveu (quelle horreur) d'erreurs.

Non, non, non... Il faut tout de même constater que les évolutionnistes ne manquent certainement pas d'imagination. Soyez assurés que l'on aura tôt fait d'annoncer la découverte de nouveaux mécanismes évolutifs à l'œuvre dans l'ADN dit non-codant. Ce sera un deuxième niveau d'évolution, le programme de la vie ou un truc du genre. Soyez sans crainte, on trouvera (voyez dans la revue Wired 2007). Et alors tout sera rentré dans l'ordre et ce sera le point final de cette histoire...

Et tout ça doit nous faire réfléchir. Lorsque les évolutionnistes claironnent au sujet de leur théorie : " nous savons que… ", " les faits démontrent que… " ou encore " tous les scientifiques sont d’accord que… ", il y a lieu de se rappeler le cas de l’ADN bidon sur lequel on avait tant de certitudes aussi.
Avec toutes les découvertes en génétique que nous réservent les années à venir, il n'est pas impensable que l'évolutionisme subisse une nouvelle mutation, comparable à celle lorsque, suit à l'acceptation de la génétique mendélienne, le néo-darwinisme est apparue. Est-ce que l'avenir nous réserve alors une théorie néo-néo-darwinniene ? N'est-ce pas rigolo de disposer d'une théorie que l'on peut ajuster à l'infini afin de prédire tout ce que les données empiriques les plus récentes nous disent? Le généticien Richard V. Sternberg, autrefois au National Museum of Natural History, Smithsonian Institution, à Washington, DC, donne son avis au sujet de la valeur finale du concept d'ADN égoïste ("selfish DNA ") (2002: 154):

"L'argument nous est présenté que l'hypothèse de l'ADN égoïste est en réalité un schéma narratif [un récit] dont la fonction est de protéger les présupposés néodarwiniens de la critique et que ce récit est irréfutable et, de ce fait, ne constitue pas une hypothèse*[18]."

Il faut noter que la phrase choc de Dobzhansky, citée au début de notre texte, "En biologie, on ne peut rien comprendre sans la lumière de la théorie de l'évolution" devient risible si on la déconstruit pour exposer à la lumière ses présupposés subliminaux. Une fois cette opération accomplie on lit alors: "Si votre vision du monde exige un mythe d'origines matérialiste, alors il va de soit qu'en biologie (comme ailleurs), on ne peut rien comprendre sans la lumière de la théorie de l'évolution." Évidemment, lorsqu'on a les yeux fermés, on ne voit rien. De l'avis de Meyer, la théorie de l'évolution a non seulement bloqué le progrès de la génétique dans le passé, mais elle continue de le faire actuellement.

Au-delà de l'ADN bidon ou «non-codant» on découvre aussi l'épigénétique, c'est-à-dire des structures ou mécanismes dans l'organisme qui peuvent le modifier sans passer par l'ADN! Le monde de l'organisme est tout le contraire des "simples cellules" envisagées par Darwin. Cela fait penser plutôt à des poupées russes où, lorsqu'on pense avoir tout compris sur la complexité de la cellule, une porte s'ouvre et on découvre des niveaux de complexité encore insoupçonnés!

mercredi 10 octobre 2012

La fosse à animaux de Romain La Roche

Par Daniel PIGNARD

«Sachant que, dans les derniers jours, … Ils veulent ignorer que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, de même qu'une terre tirée de l'eau et formée au moyen de l'eau et que par ces choses le monde d'alors périt, submergé par l'eau.» (2 Pi 3:3-7)

La fosse de Romain-la-Roche (altitude 420 m) dans le Doubs près de Rougemont découverte en 1980 est située en point haut, au bord d’un plateau dominant une vallée assez large. On y a retrouvé plusieurs centaines d’animaux en ossements (10 à 12 mammouths, 20 rhinocéros, 50 à 60 boeufs et bisons, 30 chevaux, 40 cerfs et rennes, des bois de chute de cerf, 30 ours, 3 lions, 40 renards et loups, belettes et hermines, lièvres, oiseaux, insectivores, poissons, gastéropodes ; revue archéologia N° 312 mai 95) accumulés dans un trou de 11 m de haut, 7 m de large et 18 m de long.

25 000 ossements d’une fossilisation et d’une conservation exceptionnelles. 


La présence de ces très nombreux animaux jetés pêle-mêle dans ce trou fait supposer un cataclysme soudain avec rassemblement des animaux en point haut pour survivre. Le déluge permet cet évènement.

La présence d’animaux d’espèce très différente entremêlés suppose qu’ils aient été enfouis en même temps ce que permet le déluge.


La présence de ces très nombreux animaux sans avoir le temps de décomposer les os nécessite un enfouissement très rapide et le déluge est une explication.

mercredi 5 septembre 2012

Le reniement de Darwin !

Charles Darwin reniant la théorie de l’évolution sur son lit de mort, vérité ou fiction?


On raconte souvent que le père de la théorie de l’Evolution, Charles Darwin, aurait à la fin de sa vie renié sa théorie et accepté Jésus avant de mourir. C’est du moins ce qu’un tract raconte, s’appuyant sur le récit d’une certaine Mme Hope, du 19e siècle.

Ce récit de la conversion de Darwin ne s’appuie que sur le récit de cette dame dont aucun des collègues, des membres de la famille et des amis de Darwin ne semblent se souvenir. Tous affirment que Darwin ne s’est pas converti et il ne subsiste dans les écrits du savant aucune trace de cette conversion et de ce reniement total de l’oeuvre d’une vie.

Dans plusieurs ouvrages, des auteurs prétendent même que Mme Hope n’a jamais existé. Dans son livre The Darwin Legend, James Moore affirme qu’il croit à l’existence d’une Mme Hope. Dans une longue analyse de la vie et de la foi de Darwin, le site Christian Answers rapporte comment le scientifique, qui avait songé dans sa jeunesse à devenir pasteur, avait progressivement renié sa foi, pour en arriver au « meurtre de Dieu », dont il proclamait qu’il n’était pas le Créateur dont parlait la Bible. « J’en suis venu », disait-il, « à ne plus croire que le christianisme soit d’inspiration divine ».

L’écrivain James Moore estime que Mme Hope a bel et bien existé, et qu’elle a probablement rendu visite à Charles Darwin entre le mercredi 28 septembre et le dimanche 2 octobre 1881, presque certainement en l’absence de la famille proche du savant, mais Emma, la femme de Charles Darwin, était vraisemblablement présente. Moore conclut la thèse de son livre "The Darwin Legend" en décrivant Mme Hope comme « une narratrice douée de talent, capable de rapporter de poignantes scènes et conversations tout en les enjolivant de sentimentalisme spirituel ». Voilà qui devrait nous inciter sinon à rejeter ce témoignage, du moins à émettre les plus grandes réserves quant à son utilisation.

(Sources: Christian Answers / James Moore / Truth or Fiction)




mercredi 1 août 2012

Le peuple qui a oublié le temps

 (et bien d’autres choses)


Les tribus isolées de chasseurs-cueilleurs sont souvent considérées en Occident comme primitives (pré-agricoles), comme des reliques “pas encore complètement évoluées” de l’âge de pierre. Ces gens sont souvent surnommés “les peuples que le temps a oubliés”.
Cependant, confrontés à de nouvelles données intrigantes, les anthropologues sont dans l’obligation de revoir complètement le stéréotype voulant que les “mondes primitifs” soient composés de “peuples perdus dans le temps”.

Les Mlabri—“Le peuple des feuilles jaunes”

Parcourant les montagnes couvertes de forêts dans certaines parties du nord de la Thaïlande et de l’ouest du Laos, le peuple mlabri a été “découvert” pour la première fois par des Européens en 1936. Ils ne pratiquaient aucune forme d’agriculture; ils chassaient, plutôt, et cherchaient la nourriture poussant à l’état sauvage dans la jungle—les seuls chasseurs-cueilleurs de la région.


Photos par Bunyuen Suksaneh

Les Mlabri vivaient en nomades dans la forêt, se déplaçant fréquemment et laissant rarement aux étrangers l’occasion de les apercevoir. Cependant, le peuple thaïlandais était au courant de leur existence et les appelait Phaw Tong Luang— “le peuple des feuilles jaunes”. On leur avait donné ce nom parce qu’après environ une semaine, lorsque les feuilles jaunissaient, ils abandonnaient leurs demeures temporaires construites avec des tiges de bambous et recouvertes de feuilles de bananiers servant de toit.

Leur mode de vie énigmatique a amené les anthropologues à conclure que les Mlabri “avaient traversé les âges sans changement”, perpétuant une culture “datant d’avant l’apparition de l’agriculture”. Bref, les scientifiques considéraient que les Mlabri étaient des “reliques de l’âge de pierre”.

Mais une des tribus voisines vivant dans les collines—les Tin Prai, un peuple agricole—ont une version différente de l’origine des Mlabri.
La “légende” des Tin Prai—un garçon et une fille chassés en aval de la rivière
Les Tin Prai racontent une histoire, qu’ils se transmettent de génération en génération, expliquant l’origine de leurs voisins chasseurs-cueilleurs si secrets.

Les Tin Prai disent qu’il y a plusieurs centaines d’années ils ont banni deux des jeunes enfants de leur communauté de fermiers, les chassant en aval de la rivière sur un radeau. Les enfants—un garçon et une fille—ont survécu et se sont enfuis dans la jungle. Ils sont demeurés en vie en cueillant les “fruits de la forêt” et en chassant ce qu’ils pouvaient—et, lorsque le temps est venu, ils ont eu des enfants. C’est ainsi que, selon les Tin Prai, le garçon et la fille bannis sont devenus les fondateurs de la tribu mlabri.
Mais ce récit a été qualifié par d’autres de “mythe tribal”—il ne correspondait tout simplement pas à la progression évolutionniste reconnue du développement des cultures humaines, c’est-à-dire à l’idée que “les chasseurs-cueilleurs précèdent les agriculteurs et non pas l’inverse”.

L’ADN mlabri: “étonnant”


De nos jours, les Mlabri forment un groupe d’environ 300 personnes et sont considérés comme “un peuple vulnérable dont le mode de vie et la langue sont menacés”. Une grande partie du territoire qu’ils parcouraient à l’origine est maintenant “perdue” à cause de l’exploitation forestière et des fermes qui empiètent sur la forêt.
Comme leurs coutumes leur interdisent de posséder un terrain ou une terre, de nombreux Mlabris vivotent en travaillant comme ouvriers pour les tribus voisines qui vivent de l’agriculture dans les collines.

Une équipe internationale d’anthropologues, espérant “découvrir des indices de leurs origines selon le schéma évolutionniste”, ont entrepris de comparer la diversité génétique des Mlabri à celle de six tribus agricoles des collines.

Les résultats obtenus sont “remarquables”. Comme le rapportait ScienceNOW: “Étonnamment, tout l’ADN mitochondrial des Mlabri’s’est révélé identique—une absence totale de variation, jamais observée dans aucune autre population humaine.”6 De façon similaire, la diversité génétique du chromosome Y et des autosomes des Mlabri était “elle aussi extraordinairement réduite”.
Les implications? Parce que les Mlabri sont génétiquement “pratiquement identiques, leur patrimoine héréditaire doit être très limité”. En fait, les chercheurs sont arrivés à la conclusion que la population mlabri descend d’une seule femme et de un à quatre hommes tout au plus, ayant vécu il y a environ 500 à 800 ans.

À cause des similarités dans la constitution génétique des Mlabri et des tribus agricoles des collines, les chercheurs concluent que “l’explication la plus probable de l’origine des Mlabri est qu’un événement extrême dans un groupe agricole aurait conduit à la fondation de ce groupe, qui aurait par la suite adopté le mode de vie des chasseurs-cueilleurs.” Et ce groupe agricole avoisinant était “tout au moins étroitement apparenté aux Tin Prai d’aujourd’hui”.

Une “étrange histoire” pas si étrange!

De plus, des études linguistiques ont démontré que la langue des Mlabri est apparentée à celle des Tin Prai—les deux langues ayant probablement divergé il y a quelques centaines d’années.
C’est ainsi que “l’étrange histoire” des Tin Prai s’avère correspondre aux faits. Il aurait été préférable de la considérer comme la transmission d’un récit de’témoins oculaires. Les Mlabri n’étaient pas “un peuple pré-agricole oublié par le temps”. Ils étaient plutôt des gens qui, ayant dû chercher à survivre dans la jungle et n’ayant plus accès aux semences permettant de faire des récoltes ni au réseau de soutien de la communauté, avaient oublié le savoir-faire nécessaire à la vie de fermier, de même que de nombreuses autres choses connues de leurs ancêtres—la fabrication de vêtements, la construction d’habitations, les lois sociales, etc.

Étant donné le jeune âge des fondateurs, il est compréhensible que cette sagesse, normalement transmise par les aînés, soit déficiente. Les Tin Prai disent que cela explique également “pourquoi les Mlabri sont si enfantins” et “pourquoi ils parlent si lentement”. Cela explique aussi pourquoi la société mlabri était vulnérable à des idées définitivement peu judicieuses, comme par exemple leur coutume leur interdisant de posséder un terrain. Une telle coutume ne pouvait que les condamner à une vie d’ouvriers mal rémunérés et à la pauvreté.

“Réversion culturelle”?

À la lumière de leurs découvertes au sujet des Mlabri, les chercheurs font une mise en garde, à savoir “qu’on ne peut pas automatiquement présumer que les groupes contemporains de chasseurs-cueilleurs représentent le mode de vie de populations humaines pré-agricoles, ayant survécu sans changement depuis l’âge de pierre”.

Ils mentionnent que d’autres groupes de chasseurs-cueilleurs sont reconnus comme étant issus de peuples pratiquant l’agriculture. Par exemple, les chasseurs-cueilleurs polynésiens vivant dans les Îles Chatham et dans l’Île Sud de la Nouvelle-Zélande “qui ont abandonné l’agriculture et adopté un style de vie où ils subsistent en cherchant leur nourriture à l’état sauvage, en milieu marin principalement”.

Mais tout cela ne veut pas dire que les chercheurs ont abandonné leurs théories évolutionnistes. Ils maintiennent toujours qu’il y a eu un âge de pierre avant l’apparition de l’agriculture et disent que les exemples précités sont des exemples de “réversion culturelle”. Mais si on le leur demandait, ils auraient de la difficulté à fournir des preuves définitives que les hommes ont d’abord été des chasseurs-cueilleurs de “l’âge de pierre” et qu’ils ont plus tard évolué vers l’agriculture. Tout comme pour les Mlabri, les indications qui ressortent des données génétiques, linguistiques et folkloriques portant sur d’autres peuples chasseurs-cueilleurs de notre époque suggèrent fortement que ces peuples sont étroitement apparentés à des peuples agricoles, mais qu’ils ont souffert d’une “dégénérescence culturelle”.

Il n’y a jamais eu “d’âge de pierre”, sauf dans l’esprit de ceux qui présupposent un déroulement évolutionniste de “l’histoire”! La seule façon de savoir de manière absolue ce qui est arrivé dans le passé, c’est d’avoir un’témoignage fiable de’témoins oculaires (Deutéronome 19:15; Job 38:4,21; 2 Corinthiens 13:1). Et c’est exactement ce qu’est la Bible, ce livre qui nous ramène au commencement du temps et qui nous vient du Créateur lui-même.
Le peuple qui a oublié le temps—délibérément!

En 2 Pierre 3:3-7, la Bible nous avertit que “dans les derniers jours, il viendra des moqueurs pleins de raillerie, qui marcheront selon leurs propres convoitises”. Le texte poursuit en disant: “ils oublient volontairement qu’il y eut, autrefois, des cieux et une terre qui, au milieu de l’eau et formée par l’eau, surgit à la parole de Dieu et que, par les mêmes causes, le monde d’alors périt submergé par l’eau” (les caractères gras ont été ajoutés).

Parce que les évolutionnistes oublient le déluge universel (Genèse 6–9) qui a eu lieu il y a environ 4500 ans, ils pensent que les couches de roche sédimentaire représentent des millions d’années. Parce qu’ils oublient que toute la création n’est âgée que d’environ 6000 ans et que le premier homme a entretenu un jardin et cultivé des champs, ils disent que la chasse et la cueillette ont précédé l’agriculture. Parce qu’ils oublient ce qui s’est passé à l’époque d’Adam, puis ensuite à l’époque de Noé, puis plus tard lors de la dispersion des hommes à partir de Babel, leurs explications sont hésitantes quant il est question de la mort, de la souffrance, des fossiles et de l’origine des langues et des cultures.

Chose encore plus grave, parce qu’ils oublient que le premier homme et la première femme ont été faits à l’image de Dieu (Genèse 1:26–27), que toutes les personnes descendent d’eux et que les humains ont été intelligents dès le commencement (ex: fabriquer des outils à partir du métal—Genèse 4:22), ils ont remplacé la véritable histoire de l’homme par une histoire qui implique que certaines personnes sont “moins évoluées” (et par conséquent moins humaines) que d’autres—alimentant ainsi le racisme.

De manière générale, les évolutionnistes ne soutiennent pas les points de vue racistes, mais c’est en dépit de et non à cause de leurs convictions darwinistes. Le fait que les évidences soutiennent de plus en plus le fait que tous les humains soient étroitement liés et très proches au niveau biologique, ce qui était prévisible sur une base biblique, a entraîné une modification drastique des théories de l’évolution humaine afin d’accommoder les données.


Photo par Refugees International

De nombreux enfants mlabris fréquentent maintenant les écoles thaïlandaises.
Même là où le racisme ne se manifeste pas ouvertement, le remplacement de la ligne de temps biblique par la ligne de temps évolutionniste peut néanmoins porter de durs coups aux gens (en ce sens qu’ils peuvent en être blessés et démoralisés). Par exemple, de nombreuses personnes aborigènes en Australie ont accepté le mensonge évolutionniste selon lequel ils auraient vécu une existence de “l’âge de pierre” pendant au moins 40 000 ans—impliquant ainsi que leur existence aurait été plus primitive (moins évoluée) que celle du reste de la population.

On peut venir à bout d’une idée aussi destructrice en proclamant la vérité au sujet de nos origines. Les prédicateurs chrétiens qui visitent les communautés aborigènes ont rapporté avoir vu couler des larmes de joie lorsque leurs auditeurs réalisaient que nous formons tous “une seule race”, que nous descendons tous d’Adam et Ève (et plus tard de Noé) et que, par conséquent, nous avons tous été faits égaux à l’image de Dieu, notre Créateur.

Ces connaissances, leurs ancêtres les ont déjà possédées à un certain moment de leur histoire (tout comme celles ayant trait à l’agriculture, au travail du métal, à la fabrication des vêtements, etc.), mais, pour une raison quelconque, elles n’ont pas été transmises aux générations suivantes. En bref, ils ont oublié.

Plusieurs personnes dans le monde occidental “chrétien” sont aussi en danger d’oublier, étant donné l’étalage à grande échelle de la ligne de temps évolutionniste, présentée comme un “fait” dans les médias, les écoles et les universités, alors qu’en même temps les enfants reçoivent de moins en moins d’enseignement biblique.

Nous ferions bien de nous rappeler l’importance que la Bible accorde à la transmission de la connaissance de la Parole de Dieu (incluant la véritable histoire du déroulement du temps) à la génération suivante—c’est-à-dire nos enfants—afin qu’ils puissent à leur tour la transmettre à leurs propres enfants et ainsi de suite (voir Deutéronome 4:9–10, 31:10–13; Éphésiens 6:4).
De peur que nous oubliions (et qu’ils oublient).

 David Catchpoole



samedi 30 juin 2012

Des tortues figées en plein coït…


Des couples de tortues figées en plein coït ont été découverts dans un gisement de fossiles allemand vieux d'environ 47 millions d'années, ce qui constitue le plus ancien témoignage d'accouplement jamais trouvé chez des vertébrés, indiquent des chercheurs.
      
photo : Luis Robayo, AFP

C'est sur le site fossilifère de Messel, une carrière désaffectée de schiste bitumineux située près de Francfort (Allemagne), que ces couples d'"Allaeochelys crassesculpta", espèce aujourd'hui éteinte, ont été extraits.

" Il est hautement improbable que les deux partenaires meurent en même temps, et les chances que les deux soient fossilisés à la fois sont encore plus maigres", déclare Walter Joyce, de l'Université allemande de Tübingen.

Les chercheurs jugent en effet "peu plausible" qu'un couple de tortues aquatiques se soit amusé à nager, se faire la cour puis à s'accoupler dans des eaux empoisonnées.

Mais le comportement et le métabolisme des cousines actuelles des Allaeochelys, qui absorbent à travers leur peau l'oxygène contenu dans l'eau et peuvent rester très longtemps en plongée, peut expliquer le sort des infortunées tortues. "Une fois que le mâle a réussi à monter la femelle, le couple reste souvent figé dans cette position avant de se séparer", au risque de "couler à des profondeurs considérables", estiment les auteurs de l'étude.

"Nous suggérons que les tortues ont commencé à copuler dans des eaux de surface habitables et ont péri durant leur étreinte fatale lorsque leur peau a commencé à absorber des substances toxiques" contenues au fond du lac, vraisemblablement produites par des gaz volcaniques ou des matières organiques en décomposition.  AFP



Commentaire de Pierre DANIS :

Pour comprendre pourquoi ces tortues ont été surprises, il y a une meilleure explication : Elles ont été subitement ensevelies sous une masse de boue. Le livre de la Genèse nous donne un récit détaillé de la plus grande catastrophe de tout les temps, le déluge global (Voir l’article sur ce sujet). Ce fossile est un beau témoignage de la véracité du récit biblique du déluge.


lundi 21 mai 2012

Déluge local ou global ?

Le Déluge du temps de Noé fut-il global ou local ?

A l’examen des passages bibliques, il est clair que l’inondation fut totale. Genèse 7:11 déclare que « en ce jour-là toutes les sources du grand abîme jaillirent, et les écluses des cieux s'ouvrirent. ». Il est apparent selon Genèse 1:6-7 et 2:6 que l’environnement d’avant le Déluge était très différent que celui que l’on connaît aujourd’hui. A partir de ses descriptions bibliques et d’autres, en plus de marques fossiles et découvertes géologiques récentes, on peut raisonnablement spéculer que la terre était entourée d’une espèce de voûte d’eau. Cette voûte était peut-être sous forme de vapeur ou d’anneaux du type des anneaux de glace de Saturne. Cette voûte combinée avec une couche importante d’eau souterraine représente bien assez d’eau pour produire une inondation globale (Genèse 2:6).

Les versets qui expriment le plus clairement l’étendue de l’inondation sont Genèse 7:19-23 : « Les eaux grossirent et s'accrurent beaucoup sur la terre, et l'arche flotta sur la surface des eaux. Les eaux grossirent de plus en plus, et toutes les hautes montagnes qui sont sous le ciel entier furent couvertes. Les eaux s'élevèrent de quinze coudées au-dessus des montagnes, qui furent couvertes. Tout ce qui se mouvait sur la terre périt, tant les oiseaux que le bétail et les animaux, tout ce qui rampait sur la terre, et tous les hommes. Tout ce qui avait respiration, souffle de vie dans ses narines, et qui était sur la terre sèche, mourut. Tous les êtres qui étaient sur la face de la terre furent exterminés, depuis l'homme jusqu'au bétail, aux reptiles et aux oiseaux du ciel: ils furent exterminés de la terre. Il ne resta que Noé, et ce qui était avec lui dans l'arche. »




Dans ce passage, non seulement le mot « tout » est utilisé de manière répétée, mais l’on trouve des phrases comme « toutes les hautes montagnes qui sont sous le ciel entier furent couvertes », « les eaux s'élevèrent de quinze coudées au-dessus des montagnes, qui furent couvertes » (assez pour que l’arche puisse passer au dessus sans encombres) et « Tous les êtres qui étaient sur la face de la terre furent exterminés, depuis l'homme jusqu'au bétail, aux reptiles et aux oiseaux du ciel », etc. Si ces descriptions ne donnent pas l’image d’une inondation globale, alors je ne vois pas comment Dieu aurait pu être plus clair. 
De plus, si l’inondation avait été locale, pourquoi Dieu aurait-il dit à Noé de construire une arche alors qu’il aurait pu causer les animaux à migrer et encourager Noé à faire de même ? Et pourquoi aurait-il donne instruction à Noé de construire une arche suffisamment grande pour contenir toutes les espèces d’animaux présents sur terre aujourd’hui ? Même les dinosaures naissent petits, et il n’aurait pas été nécessaire que Noé prennent des animaux adultes dans l’arche.

Dieu dit à Noé de placer un couple de chaque espèce animale (exception faite des espèces aquatiques) dans l’arche (Genèse 6:19-22), à l’exception des animaux purs (pour les cérémonies) et des oiseaux desquels ils devaient prendre sept représentants dans l’arche (Genèse 7:2-3).




Pierre aussi décrit l’universalité de l’inondation dans 2 Pierre 3:6-7 où il déclare : « et c'est également par l'eau, celle de la grande inondation, que le monde ancien a été détruit. Quant au ciel et à la terre actuels, la même parole de Dieu les tient en réserve pour le feu qui les détruira. Ils sont gardés pour le jour du jugement et de la ruine des pécheurs. ». Dans ces versets, Pierre compare la venue « universelle » du jugement à l’inondation du temps de Noé et déclare que le monde d’alors fut inondé par l’eau. 

De plus, la promesse de Dieu (Genèse 8:21 ; 9:11, 15) de ne jamais envoyer une telle inondation aurait été maintes fois rompue s’il avait été question d’une inondation locale. De fait, les hommes du monde actuel sont les descendants des trois fils de Noé (Genèse 9:1, 19) et de nombreux auteurs bibliques ont plus tard confirmés l’historicité de l’inondation universelle (Esaïe 54:9 ; 1 Pierre 3:20 ; 2 Pierre 2:5; Hébreux 11:7). Et finalement, le Seigneur Jésus-Christ croyait en l’inondation universelle et la prit pour exemplifier la destruction du monde à venir lors de son retour (Matthieu 24:37-39 ; Luc 17:26, 27).

Il y a de nombreuses preuves non-bibliques qui pointent vers une catastrophe universelle du type inondation. Les vastes cimentières de fossiles trouvés sur tous les continents, les réserves immense de charbon qui ont requis la transformation rapide de très large quantité de matière végétale, le fait de trouver des fossiles océaniques au haut des montagnes, les récits anciens d’inondations en provenance de la planète entière et les grandes étendues de formations géologiques qui montrent de vastes couches de dépôts sédimentaires, tous ces faits ajoutent du poids à la survenance d’une inondation globale.
Anonyme

mercredi 4 avril 2012

Araignées fossiles

Des fossiles d'araignées de 165 millions d'années
Par Yves Miserey  le 12/02/2010 | Le figaro magazine


L'araignée fossile, mise au jour dans le site de Daohugou, en Mongolie-Intérieure en 2008, dépasse à peine un centimètre.
Découverts dans le nord-est de la Chine, ils sont dans un parfait état de conservation.
Plusieurs araignées fossiles datant du Jurassique (entre 200 et 145 millions d'années) ont été découvertes dans le nord-est de la Chine. Leur ancienneté et leur état de conservation sont tout à fait exceptionnels (Naturwissenschaften, en ligne). Sur l'une d'entre elles les poils de ses pattes sont intacts et encore parfaitement visibles ainsi que ses organes sexuels, un élément déterminant pour l'identification des espèces chez les araignées. «On pourrait presque imaginer qu'il s'agit d'une espèce actuelle», confie Paul Selden, l'un des rares spécialistes des fossiles d'araignées qui a rédigé l'étude avec Diying Huang, de l'université de Nankin (Chine).


«C'est une superbe découverte», confirme Christine Rollard, arachnologue au Muséum de Paris. À ce jour, le plus ancien fossile parfaitement conservé dans de l'ambre remontait seulement à 40 millions d'années. En effet, les araignées ont des corps mous et les rares empreintes qu'ils ont laissées sur les minéraux sont souvent floues et fragmentaires et donc difficiles à interpréter.

C'est pour cette raison d'ailleurs que leur évolution au cours des temps paléontologiques est très mal connue. «On est loin d'avoir reconstitué le puzzle», affirme Christine Rollard.
L'espèce fossile découverte en Chine en 2008 dépasse à peine un centimètre. Elle est très étroitement apparentée aux Plectreuridae, une famille d'araignées qui ne se retrouve plus aujourd'hui que dans le sud des États-Unis, au Mexique et à Cuba. Elle a donc très peu évolué. «Ces araignées devaient couvrir à l'époque un territoire beaucoup plus vaste mais elles ont dû être victimes des glaciations qui se sont succédé durant l'Éocène (de 55 à 33 millions d'années) et le Pléistocène (de 1,8 million d'années à 11 000 ans)».

Les fossiles ont été mis au jour dans le site de Daohugou, en Mongolie intérieure. Bien connu des paléontologues, il a déjà livré quantité de fossiles de dinosaures, d'oiseaux, d'amphibiens, d'insectes et de végétaux. Cette région rurale de la Chine est pauvre et, selon Paul Selden, le trafic de fossiles n'existe pas. «Les spécimens les mieux conservés ont dû être piégés par la cendre volcanique et recouverts ensuite d'une fine couche de glaise, sans être écrasés».

Commentaires de Pierre Danis

Ce fossile d'araignée a été exceptionnellement bien conservé (bien que l'araignée n’ait pas de squelette), pendant plus de « 145 millions d’années »… ! Cela défie le bon sens le plus élémentaire ! Elle a très peu « évoluée », et ressemble a une araignée actuelle…pas très cohérent tout ça ! 


Il est plus logique de croire que ce petit insecte a été subitement enseveli, avant que son corps ne se décompose, lors du déluge universel ou juste après, il y a environ 4500 ans comme cela a été scrupuleusement relaté dans le livre de la Genèse par des témoins oculaires. 



vendredi 2 mars 2012

TIMING CREATION


Karim Boutkhil

Lorsque l'on parle de la création selon la Sainte Bible, la parole de Dieu, la première pensée qui vient à l'esprit est que cela a durée 6 jours! Il est vrai qu'avec tout le tapage des évolutionnistes dans le monde cela semble bien peu comparé au 4.5 milliards d'années annoncées selon leur théorie, qui repose sur quoi? Ou sont les preuves???

Le monde semble bien plus crédule à leurs imaginations, qu'à la réalité de l'œuvre de la création.
"En effet les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'œil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, car ayant connu Dieu ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leur pensées, et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres". Rom.1-20 à 21

Personnellement je préfère m'appuyer sur la parole de Dieu qui a fait ses preuves au travers des siècles, en révélant le Salut de Dieu manifesté en Jésus-Christ, le fils du Dieu tout puissant, que sur des hommes limités aux mobiles pas toujours des plus honnêtes.

Nous savons aujourd'hui de manière certaine, au moyen de nombreuses preuves scientifiques plus d'une centaine dans tous les domaines, biologie, géologie et astronomie, ex : Helium-4 dans l'atmosphère, décroissance du champ magnétique terrestre, sédiment dans le fond des océans, érosion des continents trop rapide, quantité de sodium dans les océans, etc.(*) Que la terre est jeune, et âgée de moins de 12.000 années au grand maximum. L'histoire biblique quant à elle nous donne un âge d'environ 6.000 à 6.500 ans pour l'humanité, d'Adam & Eve à nos jours.

Sans vouloir remettre en question l'œuvre créatrice de notre grand Dieu et sous-estimer sa puissance éternelle, car notre Dieu dit et la chose arrive, Il ordonne et elle existe Psm.33-9... J'aimerai partager une pensée, qui apportera un nouvel éclairage sur le commencement, qui je pense est négligée lorsque l'on parle de la création selon la parole de Dieu. Il ne s'agit pas ici de donner du crédit aux évolutionnistes, mais simplement de montrer '' que nous ne connaissons qu'en partie '' 1Cor.13-12 le timing et l'œuvre de la création, seulement les 6 derniers jours.

Premier verset Genèse.1-1 "Au commencement Dieu créa les cieux et la terre".(version Segond, Darby) Il est intéressant de remarquer que dans ce verset le mot ciel est au pluriel! La version Chouraqui ne dit pas cieux mais ciels (avec un s).

Puis ensuite le récit de la création proprement dit commence Genèse.1-2 à 5 La terre était informe et vide, il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'Esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. 3 Dieu dit: que la lumière soit ! Et la lumière fut. 4 Dieu vit que la lumière était bonne; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. 5 Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le premier jour. Etc.

Ce qu'il faut tout d'abord remarquer, c'est que la première œuvre créatrice de Dieu ce sont les cieux! Nous savons qu'il existe 3 cieux:
- le ciel terrestre que nous voyons et connaissons, qui est le premier ciel selon nos connaissances,
- le troisième ciel tel que l'apôtre Paul le décrit dans 2Cor.12-2 à 4 comme étant le paradis de Dieu, '' qui habite une lumière inaccessible, que nul homme n'a vu ni ne peut voir '' 1Tim.6-16,
- et le deuxième ciel qui est l'espace entre le ciel terrestre et le paradis (qui est en fait l'univers). Il est très probable que cela soit le domaine des puissances ténébreuses comme il est dit dans Eph.6-12 '' les esprits méchants dans les lieux célestes ''.

Ce qui veut dire que dans ce premier verset Genèse 1-1, il n'est pas question ici de la création du ciel terrestre, qui d'ailleurs sera créé le 2ème jour, mais de la création du troisième et du deuxième ciel! Il fallait bien un contenant '' l'univers '' avant de créer la terre (Contrairement à la plupart des théologiens, je ne crois pas qu'il s'agisse ici dans ce premier verset, que d'un résumé de la création. Un verset peut aussi avoir plusieurs sens)

Chose importante, il est aussi dit qu'il créa la terre juste après les cieux! Ce qui veut dire qu'il n'est pas possible de donner un âge précis à la terre, puisque le compteur des jours n'a commencé qu'à partir du 4ème verset, quand '' Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres '', alors que la terre était déjà bien là, créée informe et vide! D'un point de vu des lois physiques, la présence de matière indique forcément la dimension Temps!...

Dans Genèse.2-2, Il est seulement dit que Dieu acheva au septième jour son œuvre. De plus Dieu est hors du temps, c'est lui qui l'a créé, il est celui qui est (je suis) l'Eternel, Il n'a ni commencement ni fin. Comment quantifier le temps entre le 1er et le 4ème verset! Notre Dieu est au ciel, il fait tout ce qu'il veut Psm.115-3. Le temps lui appartient, il en fixe les bornes.

Sachant que l'on pourrait encore s'interroger sur la lumière des 3 premiers jours, quelle était cette lumière? Sa composition et surtout sa puissance. Car les astres qui président au jour et à la nuit n'ont étés créés que le 4ème jour. Il est intéressant de remarquer que cette lumière a été nécessaire pour la création du ciel terrestre (2ème jour) et du règne végétal (3ème jour), qui nous savons bien ont besoins de beaucoup de lumière.

Concernant les évolutionnistes, il est dit dans 2Pier.3-5 à 6: "Ils veulent ignorer, en effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, ainsi qu'une terre tirée de l'eau et formée au moyen de l'eau, et que par ces choses le monde d'alors périt, submergé par l'eau (le déluge). N'est-ce pas là leur discours aujourd'hui. L'insensé dit en son cœur : il n'y a pas de Dieu ! Psm.53-2 Apprenant toujours et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité. 2Tim.3-7. "Si notre Evangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent, pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l'intelligence, afin qu'ils ne voient pas briller la splendeur de l'Evangile de la gloire de Christ, qui est l'image de Dieu." 2Cor.4-3 à 4 .

Le plus beau des versets de la création, Genèse 2-7. "L'Eternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint une âme vivante". Et oui nous ne sommes pas que matière, cellules et atome. La complexité de La Vie, ne peut que nous attirer à l'humilité d'un Dieu créateur, aimant et tout puissant. "Car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l'être." Act.17-28

"Mais tu es un Dieu qui te caches, Dieu d'Israël, sauveur !" Ésaïe 45-15. Jésus tressaillie de joie par le Saint Esprit et il dit : "Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants. Oui, Père, je te loue de ce que tu l'as voulu ainsi". Luc 10-21 à 22." La gloire de Dieu c'est de cacher les choses ; La gloire des rois c'est de sonder les choses." Prov.25-2.

La justice et l'équité sont la base de son trône. Psm.97-2 Il compte le nombre des étoiles, Il leur donne à toutes des noms. Notre Seigneur est grand, puissant par sa force, Son intelligence n'a point de limites. Psm.147- 4 à 5 Les cieux et les cieux des cieux ne peuvent le contenir. 2Chro.2-6 .

"O profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu ! Que ses jugements sont insondables, et ses voies incompréhensibles ! Car qui a connu la pensée du Seigneur, Ou qui a été son conseiller? Qui lui a donné le premier, pour qu'il ait à recevoir en retour? C'est de lui, par lui, et pour lui que sont toutes choses. A lui la gloire dans tous les siècles! Amen !" Rom. 11-33 à 36.

(*) 101 preuves:
www.creationnisme.com/2010/07/lage-de-la-terre-101-preuves-de-la-jeunesse-de-la-terre-et-de-lunivers/

mardi 31 janvier 2012

Adam et Eve

Adam et Ève : plus qu’une allégorie symbolique

L’histoire d’Adam et Ève au Jardin d’Éden est souvent l’objet de railleries cyniques de la part des athées & agnostiques. Ceux-ci feraient bien de reconsidérer leurs idées pré-conçues.

La génétique

Les darwinistes disent souvent que « c’est impossible que tous les humains descendent d’Adam et d’Ève uniquement car si c’était le cas nous aurions tous des malformations physiques. » Cette affirmation typique témoigne surtout de leur méconnaissance de la génétique de base.

Génétiquement, il n’est pas impossible qu’un groupe restreint d’être humains soient les ancêtres de tous ceux ayant peuplé la terre.
Aujourd’hui, nous observons une accumulation constante du nombre de gênes défectueux autant dans les populations humaines qu’animales. En d’autres mots, l’accumulation des mutations — c’est à dire petites altérations du génome (code ADN) lorsqu’il est copié pendant la fécondation — font en sorte que nous allons génétiquement en qualité décroissante. Pour faire une analogie, un document photocopié n’est jamais aussi beau que l’original. Si on photocopiait un document en chaine un million de fois, le résultat final serait épouvantable en comparaison à l’original.


Ceci est justement compatible avec la narration biblique de l’histoire. Originalement, la Création était « très bonne » (Genèse 1:31), mais à cause de la désobéissance de l’être humain, Dieu a cessé de bénir l’humanité, enclenchant les problèmes génétiques que nous connaissons depuis la Chute (Genèse 3:6). Cela veut dire qu’Adam et Ève n’avaient pas les erreurs génétiques accumulées que nous avons aujourd’hui. Leurs génomes étaient flambant neufs, parfaits, mais au fur et à mesure que les gênes ont été transmis d’une génération à l’autre, le processus de copiage, désormais imparfait, a résulté dans des maladies héréditaires.   

Par l’époque de Moïse (plus de 2000 ans après la Création), les erreurs dégénératrices ont atteint un point où il n’est pas surprenant que Dieu ait interdit le mariage entre les enfants de même parents (Lévitique 18:9) et entre demi-frères et demi-sœurs (Deutéronome 27:22). Le bassin génétique d’une famille était devenus trop « contaminé », on ne pouvait plus risquer les mariages consanguins.
Anonyme

J'habite à 3 kms du lac du Bourget, et au pied de la montagne d'oû j'ai pris cette photo...

J'habite à 3 kms du lac du Bourget, et au pied de la montagne d'oû j'ai pris cette photo...
Ma région (Savoie) France

Voici un livre intérréssant

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Ce sont des généralités sur l'évolution

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Voici des super DVD que je vous conseille :

  • "Qu'est-ce que la science?"
  • "Débat sur les origines"

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