Nous vous proposons des sujets de réflexion qui remettent en question le point de vue conventionnel de l’origine de l’univers, de la vie et de l’homme. Notre but est de faire connaître le point de vue créationniste, qui est basé sur le texte de la Genèse ainsi que sur les observations scientifiques. Bonne lecture. Ps : Pour lire les autres articles, cliquez sur l'année, le mois, puis le titre qui se trouve en bas à gauche de la page.
dimanche 1 décembre 2013
Il faut beaucoup de foi pour être athée !
En partant du récit de la Création, de la première page de la Bible, Ralph Shallis démontre qu’il est
scientifiquement absurde de ne pas croire en Dieu ! La Création, telle qu’elle est racontée dans la Bible, comporte 23 étapes qui suivent un ordre scientifiquement on ne peut plus logique. Etape après étape il est de plus en plus évident que le Dieu de la Bible est Dieu !
Bien entendu, certains parleront de chance, de hasard. Mais il n’y a pas de place pour le hasard dans les plans de Dieu !
Si vous deviez ranger 3 objets (A, B et C) selon toutes les combinaisons possibles, vous en obtiendriez 6 : A-B-C, A-C-B, B-A-C, B-C-A, C-A-B et C-B-A.
Avec 4 objets, vous passeriez à 24 possibilités.
Avec 5 objets, vous passeriez à 120 possibilités.
Avec 7 objets, vous passeriez à 5.040 possibilités.
On continue ?
Avec 10 objets, nous avons 3.628.800 possibilités.
Et pour classer les 23 étapes de la Création, telles qu’elles sont décrites dans le récit de la Genèse, dans le seul et unique ordre scientifiquement possible, et c’est le cas, il faut étudier 25.797.936.392.212.096.640.000 possibilités !!!
En d’autres termes, pour 1 seule chance de trouver l’ordre exact, il y a plus de 25 mille millions de millions de "chances" de se tromper !!!
Oui, il faut beaucoup de foi pour être athée !!
mardi 15 octobre 2013
Le récit biblique de la création est-il allégorique ?
Question : la Création est une allégorie
Rèponse du Docteur André Eggen :
Faux. La Bible retrace l’histoire de l’humanité. Sans donner tous les détails, elle développe quelques grandes lignes de l’histoire de l’univers. La création, dans le livre de la Genèse, en est une. Le message fort de ce texte est que nous ne sommes pas le produit d’un hasard et d’une nécessité mais les créatures d’un architecte omniscient et omnipotent.
Pour nous faire réfléchir davantage, la Bible propose un moyen d’investigation : l’observation de la nature qui nous entoure. Et que dit-elle ? Un éditorialiste résumait ainsi les merveilles du corps humain : « La nature... n’est pas diplômée d’une école d’ingénieurs...
Chacun des systèmes présentés ici est en soi une merveille... une complexité qu’aucune science, si parfaite soit-elle, ne saura jamais décrire {15}... » Le biologiste Michael Denton d’ajouter à propos de notre planète : « Partout où l’on regarde, à quelque échelle que ce soit, on trouve une élégance et une ingéniosité d’une qualité absolument transcendante. À côté du niveau d’ingéniosité et de complexité présenté par la machinerie moléculaire, nos objets artificiels, même les plus avancés, paraissent grossiers {16}. »
Devant tant de complexités et d’ingéniosités, devant tant de merveilles dans l’infiniment grand comme dans l’infiniment petit, un constat s’impose et rejoint cette affirmation de Voltaire : « L’univers m’embarrasse et je ne puis songer que cette horloge existe et n’ait pas d’horloger. » Ainsi, au même titre qu’une horloge est construite par un horloger, notre univers, notre planète et toute vie existent selon le plan d’un architecte divin.
Rèponse du Docteur André Eggen :
Faux. La Bible retrace l’histoire de l’humanité. Sans donner tous les détails, elle développe quelques grandes lignes de l’histoire de l’univers. La création, dans le livre de la Genèse, en est une. Le message fort de ce texte est que nous ne sommes pas le produit d’un hasard et d’une nécessité mais les créatures d’un architecte omniscient et omnipotent.
Chacun des systèmes présentés ici est en soi une merveille... une complexité qu’aucune science, si parfaite soit-elle, ne saura jamais décrire {15}... » Le biologiste Michael Denton d’ajouter à propos de notre planète : « Partout où l’on regarde, à quelque échelle que ce soit, on trouve une élégance et une ingéniosité d’une qualité absolument transcendante. À côté du niveau d’ingéniosité et de complexité présenté par la machinerie moléculaire, nos objets artificiels, même les plus avancés, paraissent grossiers {16}. »
mardi 10 septembre 2013
Dieu a-t-il utilisé l’évolution pour créer l’homme?
Ce point de vue engendre plus de problèmes qu’il n’en résout.
par A. Rosser
À un moment donné dans votre vie, vous avez probablement rencontré les trois opinions que les gens ont sur l’origine de la vie.
1. L’idée traditionnelle de la création spéciale par Dieu Tout-Puissant qui forma l’homme de la poussière du sol. C’est la position créationniste.
2. L’évolution à partir d’éléments non-vivants, un développement sans fin en passant par des créatures simiesques jusqu’à ce que, finalement l’existence humaine devint différente de celle des primates. C’est la position évolutionniste athée.
3. Un mariage entre 1 et 2. Dieu mit l’évolution en marche, guida le progrès et le développement, et dans le fond créa l’homme. Par conséquent, l’homme est quand même responsable devant son Créateur et le scientifique évolutionniste est considéré comme étant crédible. Cette perspective est connue sous le nom d’évolution théiste.
La troisième position, celle de l’évolutionniste théiste est répandue, et pourtant c’est peut-être la plus difficile à justifier. Les livres de science, les encyclopédies et les cours de science universitaires ne présentent pas l’évolution théiste comme une option sérieuse. Le récit biblique de la Création doit être justifié, comme une parable peut-être ou en tant qu’histoire mal interprétée dont l’intention est d’enseigner une leçon théologique.
Alors, examinons cette opinion très répandue de l’évolution théiste et voyons où mène cette croyance.
De la poussière à l’homme agé de millions d’années ?
Si la Bible est la Parole divine inspirée par Dieu, correcte et qui fait authorité, l’évolutionniste théiste qui 'accepte' le récit biblique de la création de l’homme doit donc faire preuve d’un peu d’imagination pour dire que la création de l’homme à partir de la poussière a simplement pris des millions d’années en passant par des formes de vie transformatrices. Si c’est ainsi que la création s’est produite, Dieu a dû nous tromper quand Il dit qu’Il forma l’homme de la poussière. Qu’est-ce qui l’a empêché de nous parler net ?
Le fait que la mort soit entrée dans le monde par un homme, Adam (Romains 5.12) est un sérieux défi à l’évolution théiste, vu que de nombreuses créatures seraient déjà mortes dans le processus évolutif. La mort qui entra par Adam se présente en deux étapes, tout comme celle du Christ :
(i) la mort physique et
(ii) la mort spirituelle-séparation d’avec Dieu.
Jésus ressuscita de la mort physique. Il ne faut pas penser que la mort introduite par Adam fut seulement une mort spirituelle. Comme conséquence de son péché, il fut privé de manger de l’arbre de vie. Résultat, il mourut physiquement de nombreuses années plus tard. Le chapitre 5 de la Genèse mentionne huit fois 'et il mourut', sans aucun doute pour insister sur les conséquences du péché d’Adam.
Si l’on conçoit qu’Adam, homme-singe dans une certaine mesure, allait mourir, à ce moment-là, à quoi cela aurait-il servi que Dieu avertisse Adam, ' car le jour où tu en mangeras, tu mourras' ? Dieu accorda-t-il à Adam la capacité de vivre pour toujours et puis après sa chute dans le péché la lui retira-t-il ?
Dans les Écritures, nous lisons : 'Car, puisque la mort est venue par un homme, c'est aussi par un homme qu'est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ', (1 Corinthiens 15.21,22). Si Adam représentait la fin de la lignée évolutive, les milliers d’hommes ayant subi une évolution seraient donc déjà morts et la mort n’aurait pas été introduite par Adam. Le chapitre 15 de 1 Corinthiens nous parle également du second Adam qui était le Christ. Si le premier Adam – ex-homme-singe – était une personne aussi réelle que le second Adam, un jour est donc arrivé où Dieu a dû dire : 'À partir de cet instant, tu t’appelles homme, Adam !'
LES FEMELLES DE L’HOMME-SINGE ?
Soudainement, tout était différent. Maintenant il est sans péché mais capable de pécher ; bien qu’en tant qu’ 'homme-singe' ou en partie 'créature simiesque', il aurait été incapable de pécher. Maintenant il ne pourrait pas manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal ou il pécherait et mourrait. Il y a un moment, il n’existait aucune restriction, maintenant il y en a. Des années durant, il se promenait sans vêtement et bien sûr il n’aurait pas connu la honte. Mais maintenant, il est devenu homme. Quand a-t-il perdu son poil de singe ? Il y un instant, il avait des femelles, maintenant il n’en a aucune !
Si nous tenons compte de ces obstacles et que nous les surmontons, les femmes de cette époque présenteraient un problème. Revoyons le scénario. Si l’évolutionniste théiste pense qu’Adam est descendu de créatures simiesques, bien qu’étant une création de Dieu, alors que penser de la femme Ève ? Si Adam était le produit d’une 'création' par le moyen de l’évolution théiste – une interprétation du récit génésiaque qui pourtant fait preuve de beaucoup d’imagination, alors que doit-on penser d’Ève ? Dieu Lui-même dit : 'Il n’est pas bon que l’homme soit seul'.
Quelle situation incroyable ! Adam était entouré de son père et de sa mère, de ses frères et sœurs, ses oncles et tantes, ses cousins, ses neveux et nièces et peut-être de ses grands-parents et il était seul ! Peut-être Dieu les exclut-il du jardin d’Éden, ou ce premier homme était-il 'appelé' comme le fut Abraham dans le chapitre 12 de la Genèse ?
LA FAMILLE ANIMALE ?
Dieu fit venir tous les animaux vers Adam et la Bible raconte qu’il ne se trouva pas parmi ceux-ci une aide convenable pour Adam. Les animaux ne faisaient-ils pas partie de toute la liste de sa famille que nous avons énumérés ci-dessus ? Dieu amena-t-il seulement un couple de chaque animal et omit-il ceux apparentés à Adam ? Pourquoi ne pouvait-il pas se marier avec l’une d’entres elles ? Qu’est-ce qui n’allait pas avec l’une de ses parentes éloignées ou de ses proches parentes ?
Même si, chose étonnante, une famille était devenue le type de proto-homme, il aurait certainement dû en exister d’autres assez près, bien situés au sommet de l’arbre de l’évolution. Il est certain que si le défilé de filles célibataires avaient compris ses parentes femelles non-mariées, Adam aurait dit : 'Celle-ci fera l’affaire !» Et Dieu aurait dit : 'Non, Adam, tu ne peux pas épouser cette espèce, tu fais partie d’une nouvelle sorte de créature, tu es une nouvelle création. Ou plutôt une nouvelle évolution. Ce n’est pas ton genre !»
QUELLE RESSEMBLANCE ?
Adam aurait dit : 'Mais elle ressemble tellement à ma mère ou à ma sœur'. Dieu aurait répondu : ' Elles ne sont plus tes parentes et amies ».
Ou alors Dieu avait-il effacé de l’esprit d’Adam tout souvenir de ce qu’il avait été auparavant ? Dieu effaça-t-il de la mémoire de ses parents et de celle de ses proches tout ce qu’ils savaient d’Adam avant qu’il ne devienne Adam ? Ou bien Dieu le transforma-t-il si soudainement et complètement qu’il se rendit compte qu’il ne ressemblait plus en rien à son père et qu’il était résolu à commencer son propre arbre généalogique ?
Si, toutefois, il était différent à cause d’un acte créateur spécial de Dieu, alors pourquoi Dieu n’aurait-Il pas été capable de partir de zéro et de gratter la terre pour former l’homme, et de non pas simplement remanier une créature déjà existante ?
Ainsi, certains admettent que Dieu a fait évolué l’homme, mais qu’ à un point précis il déclara : 'Singe, tu es maintenant homme ! Tu t’appelles Adam !» Et à ce point, Dieu lui attribua Sa ressemblance et également la possibilité de vivre éternellement. Mais, Dieu a-t-Il oublié de faire évoluer Ève ? Est-ce la raison pour laquelle il dut la créer ? La Bible est explicite lorsqu’il s’agit de la manière dont Dieu a formé Ève. Elle fut formée d’une des côtes d’Adam.
CAÏN ET LES HYBRIDES DE SINGE ?
Des années plus tard, leur fils Caïn, après avoir tué Abel, est banni dans la contrée de Nod. Et là, il se marie avec une des filles du pays. D’où est-elle venue ? Faisait-elle partie de la famille d’hommes-singes ? Une fille qui appartiendrait à un groupe de ses ancêtres ? Si Caïn avait pu se marier avec un type d’ancêtre, alors certainement Adam aurait pu faire de même. Caïn n’était certainement pas dans le jardin d’Éden, mais est-ce qu’aucune de ses parentes n’aurait pu lui convenir, puisqu’il n’était éloigné d’elles que par deux générations ? S’il ne pouvait pas épouser une femme-singe, Dieu avait-il créé une variété hybride, une qui ne soit pas stérile ?
Si nous acceptons le récit biblique, alors Adam et Ève furent créés spécialement le sixième jour de la semaine de la Création. Nous découvrons également qu’Adam vécut assez longtemps pour connaître le père de Noë et que Noë connut Abraham. À l’époque d’Abraham, l’écriture existait déjà. L’histoire d’Adam n’était-elle pas écrite ? Pourquoi aucune trace des ancêtres d’Adam n’a-t-elle été révélée ? Dieu nous l’a-t-il caché et nous a-t-il trompés ? Adam n’a-t-il pas rien dit à ses enfants même jusqu’à la huitième génération, ou est-ce que Dieu lui a supprimé la mémoire ?
S’il y a quoi que ce soit de miraculeux dans la création de l’homme, il faut l’accepter par la foi. S’il n’y a rien de miraculeux, qui dit qu’il n’en est pas ainsi ? Croirait-t-on l’homme qui ne sait pas tout de Dieu ? Si Dieu est Dieu et que sa Parole est vérité, alors acceptons le sens évident des Écritures par la foi en Dieu, Lui qui est saint et qui ne ment pas.
vendredi 19 juillet 2013
Les strates
Un tsunami a permis de fabriquer 5 strates par l’avancée d’une vague sur les terres parcourant 4 km à une vitesse d’environ 4 m/s.
Combien de temps a mis le tsunami pour atteindre les 4 km à l’intérieur des terres ? (Corrigé = à peu près 17 minutes.)
Combien de fois y a-t-il 17 minutes dans un jour ? (Corrigé = 84,7 fois)
Si 5 strates peuvent être fabriquées en 17 minutes, combien de strates est capable de fabriquer un écoulement qui aurait duré un jour entier ? (Corrigé = 423 strates en un jour)
Et si l’écoulement avait duré 150 jours comme lors du déluge, combien de strates est capable de fabriquer la montée des eaux du déluge en 150 jours ? (Corrigé = 63 450 strates en 150 jours.)
Peut-on affirmer que le déluge n’a laissé aucune preuve de son passage vu que des roches sédimentaires comportant de très nombreuses strates emprisonnant de nombreux fossiles se trouvent sur toutes les régions de la terre ? (Corrigé = non)
Conclusion : Toute la science de la vie et de la terre est à revoir avec ses datations folles ayant ignorées l’histoire crue depuis plus de 4500 ans qu’un déluge a existé.
« S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu'un des morts ressusciterait. » (Luc 16 :31)
Daniel PIGNARD
Combien de temps a mis le tsunami pour atteindre les 4 km à l’intérieur des terres ? (Corrigé = à peu près 17 minutes.)
Combien de fois y a-t-il 17 minutes dans un jour ? (Corrigé = 84,7 fois)
Si 5 strates peuvent être fabriquées en 17 minutes, combien de strates est capable de fabriquer un écoulement qui aurait duré un jour entier ? (Corrigé = 423 strates en un jour)
Et si l’écoulement avait duré 150 jours comme lors du déluge, combien de strates est capable de fabriquer la montée des eaux du déluge en 150 jours ? (Corrigé = 63 450 strates en 150 jours.)
Peut-on affirmer que le déluge n’a laissé aucune preuve de son passage vu que des roches sédimentaires comportant de très nombreuses strates emprisonnant de nombreux fossiles se trouvent sur toutes les régions de la terre ? (Corrigé = non)
Conclusion : Toute la science de la vie et de la terre est à revoir avec ses datations folles ayant ignorées l’histoire crue depuis plus de 4500 ans qu’un déluge a existé.
« S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu'un des morts ressusciterait. » (Luc 16 :31)
Daniel PIGNARD
jeudi 13 juin 2013
Comment la lumière des étoiles peut-elle nous atteindre en seulement 6000 ans?
Supernova |
“Le verset biblique ci-dessus résume bien en quoi consiste l’intégrité de Dieu. En gardant cela en tête, si l’univers (et pas juste la terre) avait été créé approximativement il y a 6000 ans, alors comment interprétez-vous des évènements tels que, par exemple, la supernova 1987A, dans laquelle une étoile a explosé à une distance approximative de 170 000 années-lumière du système solaire?”
L’échelle de distance astronomique n’est bien sûr pas absolue, mais il n’y a pas de base concrète sur laquelle se baser pour croire qu’elle peut être surestimée d’un facteur de 30 à cette distance relativement proche. D’autres observations astronomiques semblent représenter des objets se trouvant à de plus vastes distances, observés donc à une époque plus reculée.
Suggérer que l’univers observable a été créé avec une série d’évènements (qui ne sont jamais vraiment arrivés) semble être inconsistant avec le caractère de Dieu tel que décrit dans la Bible.”
J’adresserai chacun des problèmes dans le même ordre que J.D. les a soulevés:
“Dieu n’est point un homme pour mentir, Ni fils d’un homme pour se repentir.” (Nombres 23:19)
Le verset biblique ci-dessus résume bien en quoi consiste l’intégrité de Dieu.”
Tout à fait, et c’est l’intégrité de Dieu qui nous donne, dans un premier temps, les bases pour l’étude et le développement de la science et c’est pourquoi la science s’est développée dans des cultures qui avaient une vision Judéo-chrétienne du monde. Les Écritures ont étaient écrites pour être comprises et que Dieu ne nous tromperait pas ou ne nous induirait pas en erreur. Le sens littéral des premiers chapitres de la Genèse peuvent donc être considérés comme un récit historique de ce qui s’est réellement passé durant la Création, la Chute, le Déluge et la dispersion à la Tour de Babel.
Bien sûr, cela ne veut pas dire que des affirmations faites par des gens faillibles, basées sur leurs observations du monde physique soient nécessairement valides et dignes de confiance.
En gardant cela en tête, si l’univers (et pas juste la terre) avait été créé approximativement il y a 6000 ans, alors comment interprétez-vous des évènements tels que, par exemple, la supernova 1987A, dans laquelle une étoile a explosé à une distance approximative de 170 000 années-lumière du système solaire?
La supernova 1987A a été observé en 1987 (d’où le nom) et il est généralement accepté qu’elle se situe a 170 000 années lumière (cf. cet article qui inclus une section sur la supernova 1987A). À première vue, il semblerait que la lumière a voyagé pendant 170 000 années ce qui est inconsistant avec un univers âgé de 6000 ans. Mais la question est, sur quelle horloge se base-t-on pour mesurer le temps?
L’échelle de distance astronomique n’est bien sûr pas absolue, mais il n’y a pas de base concrète sur laquelle se baser pour croire qu’elle peut être surestimée d’un facteur de 30 à cette distance relativement proche. D’autres observations astronomiques semblent représenter des objets se trouvant à de plus vastes distances, observées donc à une époque plus reculée.
les adeptes du big bang ont exactement le même problème … que la température du rayonnement fossile est pratiquement uniforme, … Cependant, il n’y a pas eu assez de temps pour que cela arrive même en supposant que le Big Bang s’est passé il y a 15 milliards d’années.
Il est intéressant de noter que les adeptes du big bang ont exactement le même problème que les Créationnistes, partisans d’un univers jeune de /-6000 ans. C’est-à dire que la température du rayonnement fossile est pratiquement uniforme, avec un ratio de 1:100 000, à une température de 2.725 K (2451.85 degrés Celsius), même en regardant dans une direction opposée du cosmos. Puisque le big bang aurait prédit d’énormes différences dans les températures, comment étaient-elles devenues toutes égales? Seulement si l’énergie fut transférée des parties chaudes vers les parties froides. Cependant, il n’y a pas eu assez de temps pour que cela arrive même en supposant que le Big Bang s’est passé il y a 15 milliards d’années.
Ce “problème de l’horizon” est un véritable casse-tête pour les cosmologistes, à tel point qu’ils ont avancé des solutions assez farfelues. L’”Inflation”, par exemple. Il est possible de résoudre le problème de l’horizon en ayant l’univers s’étirant ultra-rapidement pendant un certain temps, juste après le big bang, grossissant d’un facteur de 1050 en 10-33 secondes. Mais est-ce prendre ses rêves pour des réalités?
D’autres adeptes du big bang ont essayé de résoudre ce casse-tête en proposant que la vitesse de la lumière était beaucoup plus rapide dans le passé, ex. João Magueijo et John Barrow. Pourtant quand des créationnistes ont proposé quelque chose de similaire quelques décennies auparavant, cela avait été considéré comme une hérésie! C’est-à dire que tout convient quand il faut sauver le dogme du big bang, par contre il n’est pas permit que l’on vienne à la rescousse de la Genèse par les même moyens. Cependant, les observations de l’uniformité dans le fond diffus cosmique, qui défie toute explication évolutionniste plausible, sont consistentes avec un seul Créateur de l’espace-temps et en qui toutes choses subsistent. (Colossiens 1:17).
Suggérer que l’univers observable a été créé avec une série d’évènements (qui ne sont jamais vraiment arrivés) semble être inconsistant avec le caractère de Dieu tel que décrit dans la Bible.
Je suis d’accord. Une idée qui a été avancée pour adresser ce problème est que Dieu a créé l’information de tels évènements dans le rayon lumineux sur son chemin vers la Terre. Cependant, ceci impliquerait un acte de tromperie de la part de Dieu si les événements n’avaient jamais eu lieu. La plupart des créationnistes ne soutiennent pas cette idée.
De récents développements dans la cosmologie créationniste offrent une explication élégante à propos du problème de la lumière des étoiles distantes qui est consistent avec le récit de la création de la Genèse, et est basé sur des observations astronomiques récentes et sur les équations de la Relativité Générale d’Einstein. Bien qu’une explication détaillée de cette cosmologie n’entre pas dans le cadre de cet article (qui est une réponse à la question d’un lecteur), ceci est expliqué en détail dans le livre Starlight, Time and the New Physics par John Hartnett. L’explication de Hartnett est une extrapolation de la Relativité Générale, basée sur l’expansion de l’univers et sur la Relativité Générale Cosmologique à 5D (espace-temps-vélocité) dévelopée par Moshe Carmeli.
Un des aspects les plus puissant confirmant cette cosmologie est que les concepts hautement spéculatifs du big bang sur la matière noire et l’énergie noire ne sont pas requis pour expliquer les observations faites dans les confins du cosmos—cf. Est-ce que la matière noire a été prouvée?
Cet article tente de fournir une trame de travail pour comprendre la réponse à la question de la lumière des étoiles distantes. Les éléments clés sont la dilatation du temps, les récentes observations montrant que nous vivons dans un univers galactocentrique (notre galaxie est au centre de l’univers), et les références Scripturales de Dieu “étendant les cieux” le 4ème Jour durant la semaine de Création.
La Dilatation du Temps
Une prédiction expérimentalement vérifiée de la Théorie de la Relativité Générale d’Einstein est un phénomène appelé “dilatation gravitationnelle du temps”. Cela fait longtemps qu’il est établi que la gravité affecte la vitesse de défilement du temps à n’importe quel endroit de l’univers. Une illustration de ce phénomène est le système de navigation satellite GPS qui devient une option standard dans de nombreux véhicules de nos jours.
Cela fait longtemps qu’il est établi que la gravité affecte la vitesse de défilement du temps à n’importe quel endroit de l’univers. Une illustration de ce phénomène est le système de navigation satellite GPS qui devient une option standard dans de nombreux véhicules de nos jours
La position d’un individu est déterminée en comparant le temps que prend les signaux en provenance d’un certain nombre de satellites, visibles à tout moment, pour atteindre le récepteur; d’où le besoin d’une très grande précision dans le minutage. La constellation de satellites orbite autour de la terre à une altitude de 20 000 km environ. À cette hauteur, les horloges atomiques à bord des satellites battent plus vite que les mêmes horloges sur terre de 42 microsecondes par jour.
Les satellites voyagent à la vitesse de 12 000 km/h, ce qui produit un effet relativiste opposé de ralentissement des horloges d’à peu près 5 microsecondes par jour. L’effet combiné est que les horloges des satellites GPS battent 38 microsecondes par jour plus rapidement que les mêmes horloges sur terre. En quoi cela nous intéresse-t-il? Si cette différence de temps était ignorée et aucune compensation n’était faite, les erreurs de position s’accumuleraient à une vitesse d’environ 400 mètres par heure, ce qui rendrait le système complètement inutile!
Un autre mécanisme de la dilatation du temps est l’accélération rapide de la trame cosmique dans un univers en expansion.
Nous vivons dans un univers galactocentrique
Quand Edwin Hubble découvrit le décalage vers le rouge dans les spectres des étoiles et des galaxies et les interpréta comme des distances (Loi de Hubble), il fut horrifié à l’idée que cela impliquait que la terre puisse avoir une place spéciale dans l’univers.
La théorie standard du big bang dit que l’univers n’a ni centre ni limite, ce qui est une supposition appelée “Principe Cosmologique”, inventée pour éviter l’implication que la terre est un endroit spécial. Si la Terre était spéciale de quelque manière que ce soit, cela sous-entendrait qu’elle a été mise la par un Créateur, ce qui va à l’encontre de la croyance évolutionniste athée. Quand Edwin Hubble découvrit le décalage vers le rouge dans les spectres des étoiles et des galaxies et les interpréta comme des distances (Loi de Hubble), il fut horrifié à l’idée que cela impliquait que la terre puisse avoir une place spéciale dans l’univers. Il écrivit:
“Une telle condition [le décalage vers le rouge] sous-entendrait que nous occupions une position unique dans l’univers … Mais cette supposition malvenue d’une location favorisée doit être évitée à tout prix … [et] est intolérable … de plus, ceci représente une divergence d’avec la théorie puisque la théorie postule l’homogénéité.”
En fait, Hubble, dans ses derniers travaux, rejeta l’interprétation de la vélocité du décalage vers le rouge, et à la place préféra des idées telles que la “lumière fatiguée”, pour rejeter le big bang et l’univers en expansion en faveur d’un univers infini et stationnaire.
De récentes observations3,4 ont mesuré le décalage vers le rouge de 250 000 galaxies environ, et ont révélé une surabondance de galaxies avec certains décalages vers le rouge dont les données divergent du résultat attendu de la distribution théorique. Une interprétation directe de ces données est que les galaxies sont distribuées avec une symétrie sphérique en forme de coquillage dont la Voie Lactée est au centre ou proche du centre! Un tel résultat est entièrement consistant avec l’image biblique mais est en opposition avec les croyances traditionnelles du big bang et n’est pas consistante avec le Principe Cosmologique.
Dieu a étendu les cieux
À au moins 11 endroits différents, les Écritures parlent de Dieu “étendant les cieux” (ex.: Job 9:8, Ésaie 40:22 et 42:5, Jérémie 10:12, Zacharie 12:1) et dans Genèse 1:15 les mots “Et cela fut ainsi” font référence aux évènements du Jour 4 de la Semaine de Création, sous-entendant que les évènements de ce jour-là étaient achevés. Il est raisonnable de conclure que Dieu a étendu les cieux jusqu’aux vastes étendues de l’univers observable en une seule journée de 24 heures et a alors cessé l’action “d’étendre”. Ceci est plus rationnel que l’histoire de l’inflation des adeptes du big bang, discutée plus haut. C’est-à dire, la théorie qui dit que l’univers a subi une expansion bien plus rapide que la lumière, bien qu’il n’y est pas de cause physique connue pour démarrer ou arrêter cette expansion supraluminique.
On devrait aussi noter que Dieu créa la Terre en premier avant le soleil, la lune et les étoiles (et par inférence les planètes etc … ) donc il serait raisonnable de supposer que l’univers fut étendu avec la terre proche de son centre ou à son centre. De plus, Psaume 147:4 et Ésaie 40:26 sous-entendent qu’il y a un nombre fini d’étoiles dans l’univers. Donc, la Bible semble dire que nous vivons dans un univers fini qui a, au minimum, notre Voie Lactée à son centre.
La lumière émise par les étoiles distantes et l’échelle du temps biblique
Nous avons maintenant les clés pour comprendre comment la lumière émise par les étoiles peut nous atteindre à des distances si vastes en seulement quelques milliers d’années terrestres. Les jours de la Semaine de Création ont été écrites du point de vue d’un observateur terrestre, donc le temps de référence dans la Genèse est le temps terrestre. Au 4ème Jour, quand Dieu commença a étendre les cieux, la masse de l’univers (sans doute incluant les “eaux d’au dessus” qui ont été séparées au 2ème Jour) aurait été confiné à un volume d’espace beaucoup plus petit que ce qu’il est aujourd’hui. En supposant que la théorie de Hartnett-Carmeli soit juste, l’Univers s’est étiré rapidement avec une dilatation massive du temps comme résultat d’une accélération très rapide de la trame cosmique le 4ème Jour. D’un autre coté, le modèle d’Humphreys, aussi basé sur la Relativité Générale, contient des horloges aux limites extérieures du cosmos qui défilent beaucoup plus rapidement que les horloges sur terre, dû à la dilatation gravitationnelle du temps.
Vers la fin du 4ème Jour, quand Dieu eut fini de créer le soleil, la lune et les étoiles, et eut étiré les cieux jusqu’aux confins de l’univers, des milliards d’années de temps cosmique auraient pu passés aux limites extérieures du cosmos en seulement 24 heures terrestres. Il y aurait eu plus qu’assez de temps pour que la lumière des étoiles distantes atteigne la terre afin qu’au moment oû Adam admirait le ciel étoilé de la 6ème nuit (dernier jour de la Semaine de Création) il aurait vu à peu près le même ciel que ce que l’on peut voir aujourd’hui.
6000 ans ont passé depuis la Semaine de Création. Si les modèles soulignés ci-dessus sont corrects, la lumière de n’importe quelle étoile située à plus de 6000 années lumière de la terre, tirera son origine du 4ème Jour. Ceci inclurai la plupart des étoiles visibles, qui font toutes parties de la Voie Lactée. Lorsque nous admirons l’univers, nous regardons l’activité créatrice de Dieu le 4ème Jour.
Comment expliquons-nous alors la supernova 1987A ? À 170 000 années lumière, nous regardons un évènement qui s’est produit le 4ème Jour mais dont la lumière ne nous a atteint qu’en 1987.
Est-ce qu’une étoile qui explose est consistent avec une création parfaite? Dieu a dit que les étoiles étaient créées pour être des signes et pour marquer les saisons (Genèse 1:14) et Dieu savait à l’avance tout ce qui allait se passer dès le début. Ce qui nous semble être une destruction est simplement un processus physique qui ne dénote pas forcément un manque de perfection dans la création originelle. Ce qui est important c’est que cela n’implique pas de perte de vie au sens biblique du terme (les créatures affectées par la mort apportée par la Chute etaient celles que la Bible apelle נֶפֶשׁ חַיָּה (nephesh chayyāh)).
Mark Harwood traduit par David Musset
samedi 4 mai 2013
Méthodes radioactives de datation
Que penser des méthodes radioactives de datation?
Les faits:
TOUTES les méthodes de datation (y compris celles qui donnent comme résultats des milliers et non des milliards d’années) sont basées sur des suppositions–des croyances, peu importe qu’elles semblent raisonnables, qu’on ne peut prouver et qu’il faut accepter par une sorte de foi.
Par exemple:
L’hypothèse qu’une quantité définie d’un composant chimique spécifique était présente à l’origine.
L’hypothèse qu’il n’y a pas eu d’élimination par l’eau des composants chimiques, à l’intérieur des roches ou vers l’extérieur de celles-ci.
L’hypothèse que les taux de désintégration des éléments radioactifs (les périodes) sont restés constants pendant des milliards d’années, et davantage.
Les laboratoires de «datation’ par radioactivité ne mesurent pas l’âge—ils mesurent des quantités de produits chimiques, et ensuite par déduction ils déterminent un certain âge tributaire de leurs hypothèses de départ.
Quand ces hypothèses sont testées à partir de roches d’un âge connu—coulées récentes de lave volcanique par exemple—elle aboutissent le plus souvent à un échec lamentable.
On a constaté que des objets ayant le même âge, examinés par des méthodes différentes, ont donné des dates pouvant varier d’un facteur mille.
Le fait qu’il y a une certaine cohérence dans les chiffres obtenus par la datation radioactive s’explique en partie par la tendance à ne publier que les résultats qui s’accordent avec «l’âge évolutionniste» déjà «reconnu» d’après les fossiles. La plupart des laboratoires de datation radioactive préfèrent que vous leur disiez l’âge auquel vous vous «attendez». Il est difficile de voir pourquoi ce serait nécessaire si ces méthodes étaient infaillibles.
Le concept géologique de millions d’années était déjà bien en place, basé sur les hypothèses philosophiques formulées par des hommes comme Charles Lyell et James Hutton (du 19me siècle), et cela même avant la découverte de la radioactivité. Lorsqu’une date contredit le «système», elle est invariablement rejetée.
Si l’âge «radiométrique» et l’âge d’un «fossile» (selon la théorie évolutionniste) entrent en conflit, c’est toujours l’âge radiométrique qui est rejeté.
Il y a beaucoup d’autres excellentes raisons pour ne pas accepter les méthodes faillibles élaborées par les hommes. La «datation» radioactive, par exemple, qui fait pourtant autorité est en opposition avec le témoignage clair de la Parole infaillible de Dieu.
Les faits:
TOUTES les méthodes de datation (y compris celles qui donnent comme résultats des milliers et non des milliards d’années) sont basées sur des suppositions–des croyances, peu importe qu’elles semblent raisonnables, qu’on ne peut prouver et qu’il faut accepter par une sorte de foi.
Par exemple:
L’hypothèse qu’une quantité définie d’un composant chimique spécifique était présente à l’origine.
L’hypothèse qu’il n’y a pas eu d’élimination par l’eau des composants chimiques, à l’intérieur des roches ou vers l’extérieur de celles-ci.
L’hypothèse que les taux de désintégration des éléments radioactifs (les périodes) sont restés constants pendant des milliards d’années, et davantage.
Les laboratoires de «datation’ par radioactivité ne mesurent pas l’âge—ils mesurent des quantités de produits chimiques, et ensuite par déduction ils déterminent un certain âge tributaire de leurs hypothèses de départ.
Quand ces hypothèses sont testées à partir de roches d’un âge connu—coulées récentes de lave volcanique par exemple—elle aboutissent le plus souvent à un échec lamentable.
On a constaté que des objets ayant le même âge, examinés par des méthodes différentes, ont donné des dates pouvant varier d’un facteur mille.
Le fait qu’il y a une certaine cohérence dans les chiffres obtenus par la datation radioactive s’explique en partie par la tendance à ne publier que les résultats qui s’accordent avec «l’âge évolutionniste» déjà «reconnu» d’après les fossiles. La plupart des laboratoires de datation radioactive préfèrent que vous leur disiez l’âge auquel vous vous «attendez». Il est difficile de voir pourquoi ce serait nécessaire si ces méthodes étaient infaillibles.
Le concept géologique de millions d’années était déjà bien en place, basé sur les hypothèses philosophiques formulées par des hommes comme Charles Lyell et James Hutton (du 19me siècle), et cela même avant la découverte de la radioactivité. Lorsqu’une date contredit le «système», elle est invariablement rejetée.
Si l’âge «radiométrique» et l’âge d’un «fossile» (selon la théorie évolutionniste) entrent en conflit, c’est toujours l’âge radiométrique qui est rejeté.
mardi 2 avril 2013
Les dinosaures se sont-ils transformés en oiseaux ?
Evolution des dinosaures en oiseaux
Détaillons, d’abord, les principaux arguments scientifiques, étayés par les découvertes les plus récentes, qu’invoquent un nombre croissant de scientifiques pour affirmer que l’Archaeoptéryx n’était qu’un oiseau, et non une forme intermédiaire.
a. En premier lieu, l’Archaeopteryx apparaît soudainement dans le registre fossile, entièrement formé (tout comme le reste des invertébrés et les vertébrés), sans aucune trace d’un quelconque ancêtre présumé.
b. Les os de l’Archaeoptéryx : l’Archaeoptéryx a des os creux comme tous les oiseaux, ce qui lui donne stabilité et légèreté pour le vol, tandis que les dino saures ont des os épais et solides. Il est donc impossible que les dinosaures aient évolué en oiseau.
c. Les ailes étaient bien développées et prévues pour le vol. Les plumes d’Archaeoptéryx étaient asymétriques, découpage typique des plumes chez les oiseaux volants, qui démontre la spécia lisation et l’aptitude d’Archaeoptéryx au vol. Le spécialiste mondialement renommé Alan Feduccia a écrit : « Les plumes sont une adaptation presque parfaite pour le vol », parce qu’elles sont légères, fortes, d’une forme aérodynamique et possèdent une structure complexe de rémiges et plumules.
d. L’Archaeoptéryx avait les plumes d’un oiseau moderne. C’est ce qu’a montré une étude des plumes de l’Archaeoptéryx d’Alan Feduccia parue dans Science. « Grâce à ses plumes, l’Archaeoptéryx peut clairement être classé comme un oiseau. »
e. Impossibilité de transformation des écailles en plumes. La plupart des évolutionnistes croient, comme Richard Dawkins, que « mes plumes sont des écailles reptiliens modifiés ». Mais cette explication ne peut pas être soutenue pour les raisons suivantes :
Les écailles représentent des plis dans la peau, des plaques cornées, tandis que les plumes sont très complexes dans leur structure, consistant en une tige centrale de laquelle partent des barbes, entre lesquelles il y a des barbules. De plus, les plumes et les écailles proviennent de deux couches différentes de la peau, et le développement de la plume est fondamentalement différent de celui des écailles. Les plumes proviennent des follicules de la peau (structure macro ou microscopique en forme de sac) tout comme les poils.
Les protéines (F-kératines) des plumes sont biochimiquement différentes des protéines de la peau et des écailles (a-kératines). C’est ce qu’atteste A.H. Brush, professeur de physiologie et de neurobiologie à l’Université du Connecticut : « Au niveau morphologique, les plumes sont considérées comme similaires aux écailles reptiliennes. Pourtant, (…) la structure protéinique des plumes est unique dans le monde des vertébrés (…). Nous n’avons pas détecté chez les reptiles de tissu épidermique qui puisse nous donner un point de départ pour les plumes des oiseaux. »
Les écailles qui couvrent les corps des reptiles sont totalement différentes des plumes aviaires. A la différence des plumes, les écailles ne pénètrent pas la peau, mais représentent seulement une couche dure à la surface du corps. L’évolutionniste Alan Feduccia est formel : « Les plumes sont une caractéristique unique aux oiseaux. »
Les plumes possèdent une organisation arborescente complexe (enchevêtrement ordonné des divers filaments) qui n’a rien à voir avec une écaille plate.
f. Impossibilité de l’évolution du poil en plume. Les évolutionnistes ont finalement changé d’argument en disant que la plume ne vient pas de l’écaille mais du poil. Mais d’où provient alors le poil ? Comment une structure simple comme le poil peut-elle arriver à donner une structure complexe comme la plume ? N’oublions pas sa légèreté, sa forme parfaite, ses couleurs, ses différentes tailles selon son rôle, sa fixation solide, son orientation parfaite et coordonnée, etc.
g. Des appareils respiratoires différents : les oiseaux possèdent un poumon où l’oxygène s’échange dans des canaux alors que, pour les reptiles, il s’échange dans des alvéoles. Qui a trouvé la solution pour une telle évolution ? Malheureusement, ce genre de problème est passé très souvent sous silence.
Détaillons, d’abord, les principaux arguments scientifiques, étayés par les découvertes les plus récentes, qu’invoquent un nombre croissant de scientifiques pour affirmer que l’Archaeoptéryx n’était qu’un oiseau, et non une forme intermédiaire.
a. En premier lieu, l’Archaeopteryx apparaît soudainement dans le registre fossile, entièrement formé (tout comme le reste des invertébrés et les vertébrés), sans aucune trace d’un quelconque ancêtre présumé.
b. Les os de l’Archaeoptéryx : l’Archaeoptéryx a des os creux comme tous les oiseaux, ce qui lui donne stabilité et légèreté pour le vol, tandis que les dino saures ont des os épais et solides. Il est donc impossible que les dinosaures aient évolué en oiseau.
c. Les ailes étaient bien développées et prévues pour le vol. Les plumes d’Archaeoptéryx étaient asymétriques, découpage typique des plumes chez les oiseaux volants, qui démontre la spécia lisation et l’aptitude d’Archaeoptéryx au vol. Le spécialiste mondialement renommé Alan Feduccia a écrit : « Les plumes sont une adaptation presque parfaite pour le vol », parce qu’elles sont légères, fortes, d’une forme aérodynamique et possèdent une structure complexe de rémiges et plumules.
d. L’Archaeoptéryx avait les plumes d’un oiseau moderne. C’est ce qu’a montré une étude des plumes de l’Archaeoptéryx d’Alan Feduccia parue dans Science. « Grâce à ses plumes, l’Archaeoptéryx peut clairement être classé comme un oiseau. »
e. Impossibilité de transformation des écailles en plumes. La plupart des évolutionnistes croient, comme Richard Dawkins, que « mes plumes sont des écailles reptiliens modifiés ». Mais cette explication ne peut pas être soutenue pour les raisons suivantes :
Les écailles représentent des plis dans la peau, des plaques cornées, tandis que les plumes sont très complexes dans leur structure, consistant en une tige centrale de laquelle partent des barbes, entre lesquelles il y a des barbules. De plus, les plumes et les écailles proviennent de deux couches différentes de la peau, et le développement de la plume est fondamentalement différent de celui des écailles. Les plumes proviennent des follicules de la peau (structure macro ou microscopique en forme de sac) tout comme les poils.
Les protéines (F-kératines) des plumes sont biochimiquement différentes des protéines de la peau et des écailles (a-kératines). C’est ce qu’atteste A.H. Brush, professeur de physiologie et de neurobiologie à l’Université du Connecticut : « Au niveau morphologique, les plumes sont considérées comme similaires aux écailles reptiliennes. Pourtant, (…) la structure protéinique des plumes est unique dans le monde des vertébrés (…). Nous n’avons pas détecté chez les reptiles de tissu épidermique qui puisse nous donner un point de départ pour les plumes des oiseaux. »
Les écailles qui couvrent les corps des reptiles sont totalement différentes des plumes aviaires. A la différence des plumes, les écailles ne pénètrent pas la peau, mais représentent seulement une couche dure à la surface du corps. L’évolutionniste Alan Feduccia est formel : « Les plumes sont une caractéristique unique aux oiseaux. »
Les plumes possèdent une organisation arborescente complexe (enchevêtrement ordonné des divers filaments) qui n’a rien à voir avec une écaille plate.
f. Impossibilité de l’évolution du poil en plume. Les évolutionnistes ont finalement changé d’argument en disant que la plume ne vient pas de l’écaille mais du poil. Mais d’où provient alors le poil ? Comment une structure simple comme le poil peut-elle arriver à donner une structure complexe comme la plume ? N’oublions pas sa légèreté, sa forme parfaite, ses couleurs, ses différentes tailles selon son rôle, sa fixation solide, son orientation parfaite et coordonnée, etc.
g. Des appareils respiratoires différents : les oiseaux possèdent un poumon où l’oxygène s’échange dans des canaux alors que, pour les reptiles, il s’échange dans des alvéoles. Qui a trouvé la solution pour une telle évolution ? Malheureusement, ce genre de problème est passé très souvent sous silence.
mercredi 13 février 2013
Australie: une analyse génétique révèle une migration d'Inde il y a 4.000 ans
L'Australie qu'on pensait avoir été isolée entre l'arrivée des premiers humains il y a 40.000 ans et la venue des Européens au 19e siècle, a connu une vague d'immigration d'Inde il y a environ 4.000 ans, selon une analyse génétique publiée lundi aux Etats-Unis.
AFP
Les auteurs de l'étude expliquent que ces immigrants auraient aussi apporté certains outils de pierre de petite taille appelés microlithe ainsi que le dingo, un chien sauvage trouvé en Australie.
Les datations de ces outils et des restes fossilisés de ces animaux, les font remonter à environ 4.000 ans, précisent ces scientifique du Max Planck Institute en Allemagne, auteurs de cette recherche parue dans les Annales de l'Académie américaine des sciences (PNAS) datées du 14-18 janvier.
Ces chercheurs ont comparé certaines variations génétiques des aborigènes d'Australie à celles des populations de Nouvelle Guinée, d'Asie du Sud-Est et d'Inde.
"Les résultats laissent penser à un flux substantiel de gènes d'Inde vers l'Australie il y a 4.230 ans, bien avant les premiers contacts avec les Européens", explique Irina Pugach du Max Planck Institute et principal auteur de la recherche.
"Cette période coïncide aussi avec de nombreux changements dans les données archéologiques en Australie comme la technologie des outils de pierre et la manière de transformer les plantes", poursuit-elle.
"Dans la mesure où nous détectons le flux de gènes d'Inde vers l'Australie autour de cette même période, il est probable que ces changements et l'apparition du dingo soient liés à cette migration", conclut Irina Pugash.
Cette analyse génétique révèle également une origine commune des populations aborigène d'Australie, de Nouvelle Guinée et des Mamanwa, un groupe Negritos des Philippines.
Durant cette période, l'Australie et la Nouvelle Guinée ne formait qu'un seul bloc géographique appelé Sahul.
Ces données génétiques indiquent également que les aborigènes australiens et les Néo-Guinéens ont divergé plus tôt dans l'histoire du Sahul et non pas quand la Nouvelle-Guinée et l'Australie ont été séparées par la montée du niveau de l'océan il y a environ 8.000 ans, relève-t-il.
Commentaire de Pierre Danis : Cet article de l'AFP vient confirmer le récit biblique de la dispersion mondiale à partir de BABEL, il y a environ 4300 ans.
dimanche 13 janvier 2013
Les fossiles
Comme Darwin l’avait reconnu en son temps, la doctrine de l’évolution tient ou tombe avec les fossiles. Selon cette théorie, si elle est vraie, une quantité colossale de fossiles de créatures intermédiaires doit être enfermée dans les strates géologiques. Ces fossiles sont l’unique preuve possible de l’existence, à un moment donné du passé, du passage entre espèces différentes. Or, cette preuve unique était absente à l’époque de Darwin.
Darwin reconnaissait cette absence de formes intermédiaires, mais il l’attribuait au faible nombre de fossiles découverts et à l’extrême rareté de leur formation.
« La géologie ne révèle assurément pas une série organique bien graduée, et c’est en cela, peut-être, que consiste l’objection la plus sérieuse qu’on puisse faire à la théorie. Je crois que l’explication se trouve dans l’extrême insuffisance des documents géologiques. »
Darwin pensait, espérait que les recherches paléontologiques confirmeraient sa théorie ; de son vivant, il se cramponnait à cette hypothèse devenue sa vision du monde. Mais aujourd’hui les muséums du monde entier contiennent plus de 200 millions de fossiles, de sorte qu’il est impossible d’avancer que le registre fossile est incomplet. Comme Carl Werner l’écrit en citant de nombreux paléontologues réputés, « les archives fossiles sont complètes, équilibrées, précises et impressionnantes ». Que nous enseignent donc, aujourd’hui, les fossiles après cent cinquante ans de recherches et de fouilles intenses ? Il est possible d’affirmer que les fossiles témoignent d’une histoire de la Terre marquée par des catastrophes de grande ampleur, de la discontinuité, de la complexité et de la stabilité des espèces.
La discontinuité du registre fossile
Pratiquement toutes les nouvelles espèces fossiles découvertes depuis les années 1860, représentant des milliers d’espèces différentes, montrent soit des formes voisines ou identiques aux espèces connues, soit des types, des groupes uniques de parenté inconnue. L’absence de nombreuses formes intermédiaires exigées par la théorie de l’évolution est remarquable. Dès le début de leur apparition dans les archives fossiles, les onze grands types d’invertébrés sont complètement distincts les uns des autres. Ces groupes fondamentaux sont donc apparus sans histoire évolutive. Les fossiles démontrent les fossés énormes qui existent entre toutes les espèces, passées et présentes. Ces faits bruts justifient un verdict sans appel de la part des scientifiques évolutionnistes les plus renommés :
George Neville : « … le registre fossile continue toujours d’être composé principalement par des fossés. »
Stephen Jay Gould : « … L’archive fossile avec ses transitions abruptes ne soutient en rien un changement graduel… Tous les paléontologistes savent que l’archive fossile contient précisément peu de formes transitoires ; les transitions entre les groupes majeurs sont caractéristiquement abruptes. »
Steven M. Stanley : « … le registre fossile connu ne documente pas un seul exemple d’évolution phylogénique accomplissant une transition morphologique majeure et donc n’offre aucune preuve que le modèle gradualiste puisse être valable. »
Autrement dit, les fossiles ne témoignent en rien d’une histoire transformiste graduelle mais bien plutôt d’apparitions soudaines de créatures entièrement formées et fonctionnelles, soit de créations spéciales.
La complexité
Aujourd’hui, les organismes sont rangés dans des séquences allant du plus « simple » au plus « complexe » ; mais si nous regardons chaque plan de base séparément, nous nous apercevons que les types « primaires » ne sont pas simples. Ils sont, au contraire, extrêmement complexes. Dès la base de la colonne géologique se trouvent beaucoup d’exemples d’organismes complexes défiant toute imagination : par exemple, l’œil incroyablement complexe des trilobites qui font partie pourtant des animaux les plus anciens.
L’apparition quasi simultanée des grands groupes d’invertébrés dès le début de la vie montre la présence d’organes complexes : yeux composés, appareils digestifs, appareils locomoteurs, système nerveux, organes des sens (fossiles du gisement d’Ediacara, etc.).
La stabilité ou invariance des espèces
Un « fossile vivant » est un animal ou une plante vivant aujourd’hui, mais présent en même temps dans le registre fossile. Ce sont des organismes que les scientifiques croyaient éteints et que l’on a retrouvés vivants. Il existe des centaines de fossiles vivants.
Les plus connus sont le Cœlacanthe (qui était censé être un fossile caractéristique d’une époque, ainsi qu’une forme transitoire), le Dipneuste, le Trilobite, le Limule, l’Huître, le Nautile, le Péripate, la Myxine, la Lamproie, le Grand Requin Blanc, l’Esturgeon, les Mille-pattes, le Poisson d’argent, le Cafard, la Libellule, l’Hattéria, la Salamandre et presque tous les autres reptiles. Parmi les oiseaux, on peut citer le Huard (plongeon arctique) et le Grèbe, le Rouge-Bec tropical et la Frégate, le Coucou et la Mouette. Viennent ensuite l’opossum et le tatou à neuf bandes, le castor, la chauve-souris frugivore, le lamantin. Les plantes sont souvent aussi préservées en état fossile : les lycopodes, la prêle, la fougère, le Ginkgo, les Araucarias, le Séquoia… Sans parler aussi des nombreux insectes trouvés inchangés dans l’ambre : blattes, moustiques…
Les « fossiles vivants » sont des témoins fidèles de la stabilité des espèces dans le temps, puisque les organismes sont restés identiques à eux-mêmes ; cela contredit l’histoire évolutive supposée remplie de stades temporaires et intermédiaires reliant l’amibe à l’homme.
Face à ces faits vérifiables et vérifiés qui rendent un témoignage éloquent à la stabilité et à la discontinuité des espèces, comment expliquer les affirmations enthousiastes, selon lesquelles les fossiles prouvent l’évolution ?
Inscription à :
Articles (Atom)
Rechercher dans ce blog
Voici des super DVD que je vous conseille :
- "Qu'est-ce que la science?"
- "Débat sur les origines"