Qu’est-ce qu’un chaînon manquant ?
Les évolutionnistes parlent souvent de chaînons manquants. Ils disent que le lien entre l’homme et les grands singes est le «chaînon manquant» : l’hypothétique ancêtre commun aux deux, faisant penser au singe. Mais il existe de prétendus chaînons manquants dans tout l’arbre évolutionniste.
Par exemple, les chiens et les ours sont considérés comme des cousins, apparentés au travers d’un chaînon manquant. Il en serait de même pour tous les autres niveaux de l’arborescence : toutes les espèces animales seraient le résultat de la transformation d’une autre catégorie d’animaux et, à chaque embranchement, on trouverait un chaînon manquant ainsi que plusieurs autres entre le point d’intersection et la forme moderne de l’espèce.
Si vous ignorez toujours ce que sont des chaînons manquants, ne vous inquiétez pas. Nul ne le sait vraiment, car ils sont justement manquants! Nous n’en avons jamais vu aucun; ils sont toujours introuvables! L’évolution dépend d’innombrables chaînons manquants, chacun ayant vécu dans un passé obscur et s’étant éteint, remplacé par ses descendants toujours plus évolués.
Alors que nous ne savons pas vraiment ce qu’est (ou était) un chaînon manquant, nous pouvons nous faire une idée de ce qu’il devrait être. Comme chaque espèce évoluerait vers quelque chose de différent, il devrait alors exister de nombreux spécimens intermédiaires, acquérant à chaque stade d’évolution de plus en plus des caractéristiques de leurs descendants, et perdant dans le même temps celles de leurs ancêtres.
Si une certaine espèce de poisson avait évolué en un type d’amphibien, il aurait dû y avoir des étapes distinctes en cours de processus, soit des spécimens : à 90% poisson et 10% amphibien; puis à 80% poisson et 20% amphibien, etc., conduisant au 100% amphibien que nous connaissons aujourd’hui. Vous devez bien penser – à moins que l’évolution ne se soit complètement arrêtée – que certains chaînons intermédiaires pourraient encore être vivants aujourd’hui… mais certainement ont-ils vécu et se sont-ils développés pendant un certain temps, dans le passé, avant d’être remplacés...
En fait, les évolutionnistes ne font plus tellement mention des chaînons manquants. Avec l’introduction de la théorie des «équilibres ponctués», au début des années 70, ils semblent s’être réconciliés avec l’absence de formes transitoires dans le recensement des fossiles. Ils prétendent que les espèces fondamentales d’animaux présentaient des «stases évolutives» (ou équilibres) pendant une longue période, mais qu’ils ont évolué rapidement (équilibres ponctués) lorsque l’environnement a subi un brusque changement; ils auraient évolué si rapidement qu’il n’y aurait eu quasiment aucune chance qu’ils laissent des traces fossiles.
Ainsi, nous ne devrions pas nous attendre à trouver des spécimens intermédiaires ou des chaînons manquants. Et le fait est que nous n’en trouvons pas. L’évolution prétend qu’ils ont existé, mais il n’en existe aucun recensement. La création affirme qu’ils n’ont jamais existé et convient qu’il n’en existe aucun.
Certains de ces vides, qui devraient être remplis par des chaînons manquants, sont énormes. Considérez le fossé qui existe entre les invertébrés et les poissons vertébrés. Quelle créature marine a évolué pour devenir un poisson doté d’une colonne vertébrale et d’un squelette interne?... Des fossiles de poissons sont même retrouvés dans le Cambrien inférieur et sont situés très tôt sur la frise du scénario évolutionniste. Mais il n’existe ni chaînons manquants ni aucune trace de leurs ancêtres. Les chaînons manquants qui devraient abonder sont toujours manquants!
La création et l’évolution sont toutes deux des façons de voir l’histoire, des concepts au sujet d’un passé inobservé, et les deux camps tentent de rassembler des preuves en leur propre faveur. La création affirme que chaque catégorie fondamentale de vie a été créée séparément et qu’il n’y a donc jamais eu de «chaînons manquants». L’évolution prétend que les chaînons manquants ont existé, que nous les trouvions ou non. Le fait est que nous ne les trouvons pas. La question à se poser est donc celle-ci : Quel concept historique est-il le plus scientifique et lequel est-il le plus probablement exact?
John Morris, Docteur en philosophie,
Source : Institute for Creation Research
Numéro 208, avril 2006
Les évolutionnistes parlent souvent de chaînons manquants. Ils disent que le lien entre l’homme et les grands singes est le «chaînon manquant» : l’hypothétique ancêtre commun aux deux, faisant penser au singe. Mais il existe de prétendus chaînons manquants dans tout l’arbre évolutionniste.
Par exemple, les chiens et les ours sont considérés comme des cousins, apparentés au travers d’un chaînon manquant. Il en serait de même pour tous les autres niveaux de l’arborescence : toutes les espèces animales seraient le résultat de la transformation d’une autre catégorie d’animaux et, à chaque embranchement, on trouverait un chaînon manquant ainsi que plusieurs autres entre le point d’intersection et la forme moderne de l’espèce.
Si vous ignorez toujours ce que sont des chaînons manquants, ne vous inquiétez pas. Nul ne le sait vraiment, car ils sont justement manquants! Nous n’en avons jamais vu aucun; ils sont toujours introuvables! L’évolution dépend d’innombrables chaînons manquants, chacun ayant vécu dans un passé obscur et s’étant éteint, remplacé par ses descendants toujours plus évolués.
Alors que nous ne savons pas vraiment ce qu’est (ou était) un chaînon manquant, nous pouvons nous faire une idée de ce qu’il devrait être. Comme chaque espèce évoluerait vers quelque chose de différent, il devrait alors exister de nombreux spécimens intermédiaires, acquérant à chaque stade d’évolution de plus en plus des caractéristiques de leurs descendants, et perdant dans le même temps celles de leurs ancêtres.
Si une certaine espèce de poisson avait évolué en un type d’amphibien, il aurait dû y avoir des étapes distinctes en cours de processus, soit des spécimens : à 90% poisson et 10% amphibien; puis à 80% poisson et 20% amphibien, etc., conduisant au 100% amphibien que nous connaissons aujourd’hui. Vous devez bien penser – à moins que l’évolution ne se soit complètement arrêtée – que certains chaînons intermédiaires pourraient encore être vivants aujourd’hui… mais certainement ont-ils vécu et se sont-ils développés pendant un certain temps, dans le passé, avant d’être remplacés...
En fait, les évolutionnistes ne font plus tellement mention des chaînons manquants. Avec l’introduction de la théorie des «équilibres ponctués», au début des années 70, ils semblent s’être réconciliés avec l’absence de formes transitoires dans le recensement des fossiles. Ils prétendent que les espèces fondamentales d’animaux présentaient des «stases évolutives» (ou équilibres) pendant une longue période, mais qu’ils ont évolué rapidement (équilibres ponctués) lorsque l’environnement a subi un brusque changement; ils auraient évolué si rapidement qu’il n’y aurait eu quasiment aucune chance qu’ils laissent des traces fossiles.
Ainsi, nous ne devrions pas nous attendre à trouver des spécimens intermédiaires ou des chaînons manquants. Et le fait est que nous n’en trouvons pas. L’évolution prétend qu’ils ont existé, mais il n’en existe aucun recensement. La création affirme qu’ils n’ont jamais existé et convient qu’il n’en existe aucun.
Certains de ces vides, qui devraient être remplis par des chaînons manquants, sont énormes. Considérez le fossé qui existe entre les invertébrés et les poissons vertébrés. Quelle créature marine a évolué pour devenir un poisson doté d’une colonne vertébrale et d’un squelette interne?... Des fossiles de poissons sont même retrouvés dans le Cambrien inférieur et sont situés très tôt sur la frise du scénario évolutionniste. Mais il n’existe ni chaînons manquants ni aucune trace de leurs ancêtres. Les chaînons manquants qui devraient abonder sont toujours manquants!
La création et l’évolution sont toutes deux des façons de voir l’histoire, des concepts au sujet d’un passé inobservé, et les deux camps tentent de rassembler des preuves en leur propre faveur. La création affirme que chaque catégorie fondamentale de vie a été créée séparément et qu’il n’y a donc jamais eu de «chaînons manquants». L’évolution prétend que les chaînons manquants ont existé, que nous les trouvions ou non. Le fait est que nous ne les trouvons pas. La question à se poser est donc celle-ci : Quel concept historique est-il le plus scientifique et lequel est-il le plus probablement exact?
John Morris, Docteur en philosophie,
Source : Institute for Creation Research
Numéro 208, avril 2006
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