Maciej GIERTYCH, professeur à
l’institut de dendrologie de l’académie des sciences polonaise
On m’avait enseigné que la paléontologie nous
donnait de nombreuses preuves de
l’évolution…
Mais à ma grande
surprise, j’ai constaté qu’il n’y a pas de preuves, non seulement en
paléontologie, mais aussi en génétique, de même qu’en sédimentologie, dans les
méthodes de datation, et en fait dans toutes les sciences.
Microévolution
Les populations sélectionnées
et adaptées sont génétiquement plus pauvres (moins d’allèles*) que les
populations naturelles non-sélectionnées desquelles elles sont issues.
Croisement
Les croisements éliminent les gènes non désirés,
donnant des formes domestiquées, génétiquement plus pauvres. Généralement ils
périssent lorsqu’ils sont laissés sans aide humaine. Sauf s’il y a un
croisement avec des formes sauvages qui renouvellent le bassin génétique.
Mutations positives ?
Il y a beaucoup
d’exemples de mutations négatives ou neutres, mais aucune que je pourrais citer
comme exemple démontré de mutation positive. La littérature traitant de ce
sujet confond souvent les mutations avec les allèles, ou avec les
recombinassions.
L’évolution n’est pas
une conclusion tirée des observations, c’est une idéologie à laquelle les
observations sont appliquées si ça convient, et ignorées si ça ne convient pas.
* Un allèle est une (ou
2, ou plus) forme alternative d’un gène, qui détermine les mêmes
caractéristiques mais produit un effet différent. Par exemple : Le gène de
la couleur des yeux peut avoir un allèle brun ou bleu.
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