L’idée d’une ère glaciaire est née au 19ème siècle, et a été rapidement acceptée dans les milieux scientifiques (une épaisse couche de glace recouvrant des régions qui sont actuellement habitées, par exemple la moitié nord de l’Europe, le Canada…). La Bible y fait peut-être allusion dans le livre de Job au chapitre 37 versets 9 et 10 (Elihu habitait un pays chaud, mais il avait entendu parler de glace).
Les scientifiques créationnistes constatent que les évidences de cette glace sont généralement placées au-dessus des dépôts sédimentaires laissés par le déluge, et donc ils croient que l’ère glaciaire est venue après le déluge. Un indice important est cette couche couvrait la terre sèche au-dessus du niveau de la mer, prouvant que l’eau qui a formée cette glace est venu d’en haut, sous forme de neige. L’évaporation de l’eau des océans est en équilibre avec la quantité d’eau tombée de l’atmosphère. Plus l’évaporation est forte, plus il y a de chutes de pluie, de neige ou de grêle. S’il y a un plus grand apport d’énergie dans les océans, la quantité d’eau qui est ainsi transformée augmente. Réciproquement, moins d’énergie veut dire moins de transformation. Ce qui veut dire que la terre n’a pas pu se refroidir progressivement, car cela ne permettrait pas à des millions de kilomètres cubes d’eau supplémentaires de quitter les océans et de finir sur la partie nord et sud de la terre. Donc l’explication populaire sur les causes de l’ère glaciaire, c’est-à-dire que la terre s’est refroidie, est incorrecte.
Il est aussi invraisemblable que ces énormes glaciers se soient formés lentement, en accumulant la neige. En hiver, plus il fait froid, moins il y a de neige, parce que l’air froid retient moins l’humidité. A moins qu’il n’y ait une augmentation de chaleur, il ne peut pas y avoir assez d’eau supplémentaire extraite des océans pour produire de grandes couvertures de glace. Il a dû y avoir une source d’énergie pour faire évaporer les masses d’eau des océans et les déposer sur le sol sous forme de neige, puis de glace.
Un tel réchauffement doit arriver rapidement, pour que l’évaporation et la précipitation au début de l’ère glaciaire aille plus vite que la fonte des glaciers. Il est donc certain que les couvertures de glace se sont formées rapidement, non pas pendant des milliers d’années comme cela est largement enseigné.
Un tel déséquilibre climatique doit logiquement avoir des causes catastrophiques. Dans le récit biblique du déluge, nous comprenons qu’il y a eu une augmentation considérable d’énergie.
La tiédeur des océans est d’origine souterraine (les sources du grand abîme, Genèse 7.11) , associée aux activités volcaniques dont les cendres propulsées dans l’atmosphère ont renvoyé les rayons solaires dans l’espace.
La cassure rapide des continents pendant (et peut-être après dans une moindre mesure) le déluge fait partie du plan géologique créationniste. Cette cassure implique également la libération d’une grande quantité d’énergie sous forme de chaleur. Une ère glaciaire évolutionniste est physiquement impossible. Néanmoins, cette théorie est presque universellement enseignée, car l’alternative conduirait à l’histoire biblique de la terre.
Docteur Joachim Scheven, biologiste, paléontologue, géologue, et directeur du musée créationniste de Hagen (Allemagne).
Note : Dans le livre de Job, au chapitre 6 verset 16, il est également question de neige et de glace.
La grotte de Cosquer près de Marseille en France, qui a été découverte récemment contient des belles peintures sur ses parois, attestant le fait qu’elle a été habitée par des hommes pendant un certain temps. Le fait le plus surprenant est que son entrée se trouve sous la surface de la mer méditerranée, ce qui veut dire qu’à l’époque de son occupation, le niveau de la mer était en-dessous de l’entrée. Cela s’explique par l’ère glaciaire pendant laquelle une masse importance des eaux était prise dans d’immenses glaciers.
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